lion sur mer

maison dite Beau Rivage, dite la Sarabande

Deux maisons très semblables construites pour deux soeurs (tradition orale) : celle de l'ouest pour la veuve Jamard née Capelle, de Passy, en 1866, l'autre pour la veuve Pierre Désiré Isaac Isabelle en 1870 ; à l'origine de plan carré. Une troisième très semblable existe au 28 du boulevard du Calvados.

Maison dite Villa Henriette

Maison construite en 1866 pour Mme Angot, veuve Lemanissier (contrat de vente de 1885) . Agrandie d'une aile à l'ouest vers la fin du siècle, au moment où était ajoutée la fabrique en pan de bois, qui marquait à l'origine le bord du terrain sur la digue et qui aurait été construit pour récupérer la vue masquée par le chalet Henri. Lucarnes modifiées. Au 11 de la rue se trouvent les anciens communs.

maison dite la Salamandre

Maison peut-être construite en 1859, puis agrandie en 1862 et 1882 pour Charles Emile Hippolyte Lecomte Vernet, peintre d'histoire à Paris. Les communs datent de 1883. Elle a été louée par Gyp qui y recevait Anatole France et qui s'était aménagé un atelier dans les communs.

Maison 5 rue Edmond Bellin

Maison construite en 1885 pour Jacques Jules Alphonse Hersan et sa femme née _Montezer, de Colombes. Elle a été vendue dès 1892 à Gautier qui l'aurait terminée (tradition orale) . Une partie des jardins et les communs ont été vendus puis détruits. Dans la salle à manger subsistent les boiseries avec deux vaisseliers et la cheminée en pierre avec céramiques.

Maison Bella Vista

Le pavillon central de plan rectangulaire a été construit en 1851 pour Charles-Antoine Calenge, propriétaire à Escoville. Il est acheté en 1860 par Adolphe Honegger, négociant, consul de Bolivie, 28 rue de la Rochefoucauld à Paris.

maison dite Sans Souci

Maison sans doute construite en 1879 pour Alfred Edouard Bacot, de Caen, qui possédait le terrain depuis un moment et qui s'était fait construire une maison de l'autre côté de la rue du maréchal Gallieni ; le pavillon est semble avoir été ajouté, il porte un L sur l'angle nord-est.

Maison dite villa Génissieu, puis la Horde

Maison construite en 1867 pour Louis Auguste Paul Genissieu, secrétaire général de la Société des Omnibus à Paris, sur un terrain acheté par sa femme dont le père, Alexandre Joseph Bacot, habitait Ranville. A l'origine dans le style du chalet cordier de Trouville, puis en partie surhaussée avec un pignon gothique en 1879, puis agrandie de bow-windows et corps de bâtiment en pan de bois normand en 1897.

Château

Patrimoine classé, étudié ou inscrit dit 'Château' à lion sur mer (calvados 14780). La forteresse de Lyon fut remplacée par le château actuel du XVIe siècle. Il est en partie de la renaissance : tel est le charmant pavillon à toits pyramidaux, à tourelles en encorbellement aux angles, à la tour cylindrique appliquée, renfermant probablement l'escalier, et, aux longues cheminées.

hôtel de voyageurs dit Grand Hôtel

Hôtel construit en 1866 pour Ambroise Auguste Masson, rentier à Paris ; son plan parfaitement symétrique et l'absence d'entrée principale ferait penser à deux maisons jumelles, mais le guide d'Auriac parle d'un hôtel Masson des 1866 ; un agrandissement en 1887 correspond sans doute à la construction du corps de bâtiment en pierre, brique et enduit, qui longe la rue Marcotte et qui contenait une grande salle à manger et des chambres

Maison dite Chalet Henri

Maison construite en 1889 pour la veuve de Joseph bureau dit Henri, propriétaire à Paris, il s'agit d'un pavillon de l'exposition universelle de 1889, d'après tradition orale ; agrandi des deux travées latérales au début du siècle

Eglise

L'église de Lion, remarquable surtout par une tour romane assez élevée, que l'on aperçoit de Luc et des environs, offre plusieurs époques bien distinctes. La nef romane peut dater du XIe siècle ; elle était, dans l'origine, garnie de bas-côtés dont la suppression a nécessité le remplissage des arcades qui mettaient les deux ailes en communication avec la partie centrale.