Eglise Saint-Nectaire

Histoire


Davanne, Alphonse (1824-1912)

Nous n’avons malheureusement aucun renseignement historique sur la construction de l’église. Son étude archéologique semble prouver qu’elle fut élevée d’un seul jet entre 1146 et 1178, lors de l'arrivée des moines de la Chaise-Dieu qui y assurèrent le culte paroissial confié à un prieur jusqu’au jour où, le concile de Clermont ayant interdit aux religieux d’exercer des fonctions curiales, le prieur fut remplacé par un vicaire perpétuel nommé sur la présentation des abbés de la Chaise-Dieu et assisté de prêtres-filleuls.

On sait en revanche, que c’est en 1794 Que le clocher central de l’église fut démoli, sur l’ordre du conventionnel Couthon, par un maçon limousin nommé Nuger, que l'autel fut brisé et les cloches fondues à l'exception d’une seule envoyée à Clermont avec des objets précieux.

L'église devenue une fabrique de salpêtre ne devait être ré-ouverte qu’en 1804 après avoir reçu quelques réparations de fortune. Elle fut définitivement restaurée en 1876 par l'architecte Bruyerre qui, entre autres choses, refit complètement le clocher.


Saint-Austremoine
Issoire
source wiki

Nota : Vous trouverez sur cette page plusieurs gravures anciennes attribuées à St Nectaire. Et une photo, ci dessus de Davanne, sensée représenter l'église.

Un détail attire pourtant l'attention en ce qui concerne la flèche. Vous verrez en effet un simple étage d'ouverture sur ces représentations alors que l'église actuelle en comprend deux.

On pourrait penser que ces représentations datent d'avant la démolition du clocher (1794) seulement Alphonse Davane (1824-1912) ne pouvait matériellement pas être là pour les photographier. La seule conclusion logique est donc que l'architecte Bruyerre aurait ajouté un niveau à la flèche qui n'était pas totalement détruite avant la restauration de 1876 (période que davane aurait pu photographier).

Si tel est le cas, il est fort probable que l'architecte Bruyerre se soit inspiré de Saint-Austremoine d'Issoire (par exemple) pour cette réalisation. Toute information est la bienvenue (cliquez sur contact)

Description

Plan

Le plan de cette église se compose d’une nef, de cinq travées dont la première forme un vestibule ou un narthex surmonté d’une tribune entre deux tours de façade, disposition commune avec beaucoup d’églises d’Auvergne et que l’on retrouve par exemple à Notre-Dame-du-Port, à Chamalières, à Manglieu, dans l’église à nef unique de Royat, etc. La nef, flanquée de collatéraux, est suivie d’un transept sur lequel s’ouvrent deux absidioles demi-circulaires. Le choeur, précédé d’une travée droite, est entouré d'un déambulatoire donnant naissance a trois-chapelles rayonnantes également en hémicycle. Un clocher central s'élève sur le carré du transept.

Nef

Le vestibule qui forme la première travée de la nef est formé de trois vaisseaux séparés par un doubleau aux arêtes vives et formées d’un seul rang de claveaux comme tous les arcs de cette église qui, partout y sont nus et en plein cintre. Ces trois vaisseaux communiquent avec la nef par trois arcades placées sur des piles barlongues cantonnées de quatre colonnes. Ils sont recouverts de voûtes d'arêtes ramenées au carré au moyen d’une imposte qui reçoit leurs retombées en avant, des colonnes engagées soutenant le doubleau. Il y a la un artifice très caractéristique des procédés auvergnats ainsi que M. du Ranquet l’a plusieurs fois remarqué, Les tailloirs des chapiteaux sont creusés d’un cavet comme tous ceux du monument et quelques uns portent, délimités par des filets, de longs rectangles, derniers souvenirs des cartouches carolingiens. Au-dessous, les corbeilles sont diversement décorées : plusieurs sont revêtues de feuilles d’eau terminées par de petits crochets, sur l’une d’e1les des feuillages émergent comme d’une corbeille de vannerie. Deux autres, très particulières, sont simplement profilées d’une série de moulures superposées au-dessus de l'astragale ; baguettes, bandes, gorges ne forment pas de saillies les unes au-dessus des autres. A première vue, ce chapiteau pourrait passer pour être une base renversée surmontée d'un coussinet. Il n’en est rien, mais il s’agit d’un parti assez étrange qui consiste a placer un chapiteau ainsi mouluré sous une tribune, car nous avons retrouvé le même dans les narthex de Manglieu, d’Orcival, du Moutier de Thiers, etc. Enfin, les bases comme toutes celles de cette église sont cerclées de deux tores débordant l’un sous l’autre et allégés de filets.

Au nord, un escalier en berceau continu, sur lequel des marques de couchis demeurent apparentes monte dans la tribune divisée de même en trois vaisseaux couverts de voûtes d’arêtes, sectionnés par des doubleaux dont les angles seuls appareillés renferment entre eux une fourrure centrale. Le vaisseau principal est éclairé a l’ouest par une fenêtre aux ébrasements nus et il s’ouvre sur la nef par une grande arcade étrésillonnée comme les tribunes similaires de la région par un linteau surmonté de trois petites arcades semblables reposant sur des colonnettes monolithes dont les chapiteaux sont garnis de feuilles d’eau. L’extrados de cette arcade est lui-même allégé par deux petites baies. Les bas-cotés de la tribune sont éclairés par une fenêtre latérale et leur ouverture sur la nef présente un système d’étrésillonnement semblable a celui qui est voisin, avec cette différence que l’arcade est subdivisée qu’en deux arcades secondaires et n’est pas extradossée, car les rampants de la toiture s’y opposent.

Les quatre travées qui font suite dans la nef sont couvertes d’un berceau continu en plein cintre. Rappelons, après Eugene Lefevre-Pontalis, que l’absence de doubleaux n’est constatée sur les nefs auvergnates que dans les seules églises de Chauriat, d’Ennezat, de Saint-Amable de Riom, de Mozac et dans celle que nous étudions. Sous le berceau et sans fenêtres intermédiaires, sont placées les tribunes qui s’ouvrent sur la nef par des baies géminées dont les arcs fourrés sont séparés par des colonnes monolithes. Les tribunes sont voûtées d’un demi-berceau en quart de cercle sectionné de doubleaux extradossés et qui contrebute le vaisseau central. On a voulu soutenir que ce contrebutement de la nef par le demi-berceau des tribunes était la principale marque distinctive des églises auvergnates. On le trouve en effet à Notre-Dame du Port, à Issoire, à Ennezat, à Orcival, à Saint-Amable de Riom, à Saint-Saturnin, à l'église du Moutier de Thiers et il existait autrefois dans celle de Mozac. Mais à la vérité ce système très logique et très habile, se rencontre ailleurs, ainsi qu’Eugéne Lefévre-Pontalis 1’a maintes fois fait remarquer. Des architectes expérimentés n’ont pas craint de l’employer dans les régions les plus diverses qui n’ont eu aucun rapport d’influence avec l’Auvergne, comme le prouvent les églises de Saint-Etienne de Caen; de Beaulieu (Corrèze), de Saint-Sernin de Toulouse, de Conques-en-Rouergue, comme le prouvait jadis celle de Saint-Martial de Limoges. On le trouve même à l'étranger aussi bien dans la cathédrale de Gloucester que dans celle de Santiago de Compostelle.

Bas-côtés

Chaque travée des bas-côtés, délimitée par des doubleaux est revêtue de voûtes d’arêtes dont les compartiments viennent se fondre avec les grandes arcades qui ne font pas saillie sur eux, suivant un procédé très spécial à 1’Auvergne et que nous avons relevé à Notre-Dame du Port, à Chauriat, à Ennezat, à Issoire, à Saint-Nectaire, et par exception à Saint-Savin dans la Vienne. Mais au contraire cette disposition n’a pas été observée à Orcival. Contre le mur, la retombée des voûtes est assurée par des impostes prolongeant les tailloirs de colonnes engagées suivant le procédé que nous avons relevé dans les tribunes de la façade et que nous pouvons encore Signaler comme ayant été employé à Orcival, à Saint-Saturnin, à Issoire, à Ennezat, mais qui par exception ne le fut pas à Manglieu. Ici, quelques chapiteaux des colonnes engagées sont historiés et nous les étudierons en examinant l'ensemble de l'iconographie du monument.

Chaque travée est éclairée par une fenêtre aux ébrasements nus et une porte en plein cintre fait communiquer, au sud, la quatrième travée avec l’extérieur.

Transept

Le carré du transept est délimité par quatre arcades dont l'extradossement est évidé au moyen d’une petite baie à l’est, et de deux baies semblables sur les autres faces. l'ensemble forme un puissant étrésillonnement allégé par des évidements qui n’en altérant pas la solidité. On retrouve les cages ajourées sous presque toutes les coupoles de la région, à Ennezat, à Saint-Genés de Thiers, à Notre-Dame du Port, à Issoire, à Artonne, à Orcival, à Saint-Saturnin, et à Glaine-Montaigut dont la coupole, une des plus anciennes de l’Auvergne, parait remonter au 11e siècle. Mais il faut dire que pareil système se retrouve, exceptionnellement il est vrai, loin de la province, comme à Vignory (Haute-Marne), à Morienval (Oise), à Saint-Marcel-les-Sauzet (Drôme), à Saint-Etienne de Nevers et à Saint-Martin d’Ainay, à Lyon. Ici, les arcades sont montées sur des piles carrées cantonnées de quatre demi-colonnes dont les chapiteaux sont plus finement sculptés que ceux de la nef ou sont revêtus de scènes comme ceux du choeur. Dans la partie haute, une coupole octogone repose sur des trompes prenant leur origine au-dessus d’une pierre plate ou linteau posé horizontalement, marque distinctive des trompes auvergnates. A l’est, la coupole est éclairée par une petite fenêtre.

Les croisillons sont divisés en deux travées :

  • La première forme le prolongement des bas-côtés et est couverte d’un quart de cercle qui vient buter contre la coupole et donne un puissant renfort à sa solidité. ll y a la encore un témoiguage du souci des architectes auvergnats à équilibrer la masse de la construction.
  • L’autre travée est voûtée d’un berceau en plein cintre perpendiculaire à l’axe et, ajoure, dans le mur du fond, d’une fenêtre placée au-dessus de trois arcatures hautes, celle du milieu étant tracée en mitre, décoration que nous avons relevée, a la même place, dans plusieurs autres églises de l’Auvergne.

Une absidiole voûtée en cul-de-four et éclairée par une fenêtre s’ouvre sur chaque bras du transept.

Choeur

Le rond-point fait suite précédé d’une travée droite et séparé comme lui du deambulatoire par des arcades surhaussées et montées sur des colonnes. Cinq fenêtres hautes éclairent son cul-de-four. Tout autour le déambulatoire est voûté d’arêtes et donne naissance à trois chapelles rayonnantes en hémicycle entre lesquelles ont été percées des fenêtres, lesquelles, comme celles du choeur et comme les trois qui éclairent chaque chapelle, sont cantonnées de colonnettes dont les beaux chapiteaux sont ornés de feuilles, de têtes, etc.

Iconographie des chapiteaux

On a voulu attribuer aux sculptures de plusieurs des chapiteaux de cette église un sens symbolique ou allégorique et même le trouver dans la représentation de thèmes fort connus. C’est ainsi que M. l’abbe Rochias, au cours d’une étude très consciencieuse, a cependant cru voir la Trinité dans les trois masques qui garnissent la corbeille du chapiteau de la colonne engagée en avant de la troisième travée du bas-côte méridional, et le Sabbat dans un boeuf qui joue de la harpe, à Côté d’un personnage chevauchant un bouc. Nous croyons qu’il faut être très réservé clans l’interprétation symbolique des oeuvres de sculpture du moyen âge. Si l’artiste a parfois voulu faire du symbolisme, il ne l’a tenté qu’en interprétant le texte précis d’un commentateur, unique auteur du sens figuré. C’est en général dans ce texte seul qu'existe le symbolisme. Souvent même l'imagier ne l’a pas compris ou même il l’a déformé en se contentant de mal copier des interprétations déjà exécutées. Le sculpteur de Saint-Nectaire a eu des conceptions beaucoup plus simples et moins originales qu’on pourrait le croire. Là où il n’a pas exécuté des scènes faciles à identifier ou que notre ignorance ne comprend pas, il n’a fait que reproduire des types connus caractérisant certains thèmes religieux. Encore, sans doute, a-t-i1 reproduit, sans chercher a les interpréter, des motifs fournis par les étoffes, les ivoires ou des objets d’orfèvrerie; tels sont ces oiseaux affrontés qui ornent le chapiteau de la colonne engagée contre la première travée septentrionale du déambulatoire.

Ces chapiteaux portent encore la trace très apparente de peintures anciennes remontant peut-être à l’origine, origine contemporaine de la construction de l’église, car certains détails de costume comme les casques a nasal en placent la sculpture au milieu du 12e siècle. Il convient enfin de remarquer que les différentes scènes représentées, histoire religieuse ou légendaire, sujets empruntés à des thèmes traditionnels, sont placés sans ordre et qu’il ne faut pas chercher dans l’ensemble un cycle allégorique se déroulant avec méthode, comme on l’a insinué.

Mobilier

On voit sur le mur gouttereau du bas-côté nord, une descente de Croix du 16e siècle, très mutilée, mais portant la-signature BRASSAC qui est accompagnée d’un taillant, instrument du tailleur de pierre. Brassac, qui a signé cette oeuvre, serait, d'après 1’abbé Forestier, l’auteur du maître-autel brisé sous la Révolution et dont on a réuni les morceaux pour en faire 1’armoire qui contient aujourd’hui le trésor de l’ég1ise. Peut-on se fier à cette affirmation ? Toujours est-il que cette armoire porte une inscription du 15e siècle, antérieure, semble-t-il, à l’oeuvre de Brassac. On y lit :

"L'AN MIL CCCCIIIXXVIII LE 7 JOURS DE NOVEMBRE FUT RELEVE LE GLORIEUX CORPS DE MONSr SAINT NECTAIRE LORS ESTANT Sr ANTHOINE DE SAINT NECTERE FILS A FEU MESSIRE ANTHOINE DE SAINT NECTERE ET DE DAME ANTHOINE DE MONTMORIN ESTANT CONJOINT A MARIAGE A DEMOISELLE MARIE ALLEGRE ET LORS ESTANT PRIEUR FRERE GUILLAUME MAS LEQUEL A FAIT LES DILIGENCES DU DIT RELEVEMENT A LA POSTULATION DU DIT SEIGNEUR ET DES PAROISSIENS."

Un inventaire de 1462, conservé aux archives de la Haute-Loire, dit qu’i1 y avait sur le maître-autel une grande chasse émaillée contenant cinquante-sept reliques. Il disparut sous la Révolution. Il ne reste en réalité du trésor de l’église qu’un buste reliquaire, deux plaques d'évangéliaires, une statue de la Vierge et un bras reliquaire qui sont étudiés dans un article spécial que M. le Marquis de Fayolle veut bien consacrer à l'orfèvrerie auvergnate.

Extérieur

La façade de l'église de Saint-Nectaire est très simple : une porte en plein cintre s’ouvre dans un avant-corps un montant jusqu’au niveau des tribunes, puis s’élève le pignon ajouré d’une fenêtre et surmonté d’une antéfixe. De chaque coté se dresse une tour carrée cantonnée de contreforts et éclairée par un seul rang de fenêtres géminées au-dessous du toit en pavillon. L'élévation latérale sud est renforcée d’arcatures basses dans lesquelles sont percées les fenêtres des bas-cotés. Au-dessus, d’autres petites baies éclairent les tribunes, mais elles sont ouvertes dans des arcatures qui ne seraient qu’une adjonction moderne. En face de la quatrième travée une porte en plein cintre a son tympan décoré de pierres colorées et disposées en marqueterie au-dessus d’un linteau en bâtière. Sous le comble règne la tablette droite d’une corniche reposant sur des modillons à copeaux séparés par un nerf centrale, modillons si communs en Auvergne. Enfin, une crête de pierre amortit l’angle du toit. Il faut remarquer, sur la sacristie moderne placée de ce coté, un écusson rapporté et non identifié. Le transept a été très restauré. Éclairé par une fenêtre dont l’archivolte se poursuit en cordon jusqu’aux contreforts des angles, il se termine par un pignon orné d’une croix faite de pierres de différentes couleurs.

Le chevet a été établi dans la belle-ordonnance des chevets auvergnats. Les absidioles soutenues par des contreforts, colonnes sans chapiteaux et qui laisse un vide entre leur sommet et la corniche, forment, avec les chapelles rayonnantes, un harmonieux ensemble. Leurs fenêtres sont cerclées d’archivoltes ornées de billettes et qui se terminent par un cordon. Les combles, placés au-dessus de corniches semblables a celles de la nef, mais débordant comme des soffites antiques non sculptés sont recouverts de toits plats arrêtés par des pignons saillants au-dessus du choeur. Celui-ci émerge, semblablement coiffé, mais il est orné, entre les fenêtres, de cadres rectangulaires placés sous un riche bandeau de marqueterie ou de matériaux colorés figurant des étoiles et des rosaces. Ces rectangles forment sur les chevets un ensemble décoratif très spécial à 1’Auvergne. Le clocher central moderne se dresse au-dessus d’un tambour barlong amorti par des glacis et qui renferme les quarts de cercle des croisillons destinés à épauler la coupole. Il faut noter dans différentes parties de cette église des pierres d’appareil marquées de signes lapidaires.

Source :

  • Titre : Congrès archéologique de France
  • Auteur : Société française d'archéologie
  • Éditeur : Derache (Paris)
  • Date d'édition : 1847

photo pour Eglise Saint-Nectaire

Localisation et informations générales

  • identifiant unique de la notice : 103570
  • item : Eglise Saint-Nectaire
  • Localisation :
    • Auvergne
    • Puy-de-Dôme
    • Saint-Nectaire
  • Code INSEE commune : 63380
  • Code postal de la commune : 63710
  • Ordre dans la liste : 4
  • Nom commun de la construction :
    • La dénomination principale pour cette construction est : église
  • Etat :
    • L'état actuel de cette construction ne nous est pas connue.

Dates et époques

  • Périodes de construction :
    • Nous n'avons aucune informlation sur les périodes de constructions de cet édifice.
  • Date de protection : 1840 : classé MH
  • Date de versement : 1993/08/26

Construction, architecture et style

  • Materiaux:
    • non communiqué
  • Couverture :
    • non communiqué
  • Materiaux (de couverture) :
    • non communiqué
  • Autre a propos de la couverture :
    • non communiqué
  • Etages :
    • non communiqué
  • Escaliers :
    • non communiqué
  • Décoration de l'édifice :
    • Le décor est composé de : 'sculpture'
  • Ornementation :
    • non communiqué
  • Typologie :
    • non communiqué
  • Plan :
    • non communiqué

Monument et histoire du lieu

  • Eléments protégés MH (Monument Historique) :
    • Notre base de données ne comprend aucun élément particulier qui fasse l'objet d'une protection.
  • Parties constituantes :
    • non communiqué
  • Parties constituantes étudiées :
    • non communiqué
  • Utilisation successives :
    • non communiqué

Autre

  • Divers :
    • Autre Information : 1992
  • Photo : 2c403dc27f6fff5b71c65dc9c75dd13f.jpg
  • Détails : Eglise : classement par liste de 1840
  • Référence Mérimée : PA00092376

photo : Lomyre

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photo : pierre bastien

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