Ruines du théâtre antique de Lillebonne

Époque Gauloise

Bon nombre d'auteurs ont pensé que la métropole des Calètes, avant la conquête de Jules César, était placée à Lillebonne même, là où fut plus tard la cité romaine de Juliobona. Ils donnent à cette ville le nom de Calet, de Calète et de Cité Calète. Les savants modernes, et surtout les numismates (Bouteroue, Lelewel, de La Goy, E. Lambert et Deville), attribuent, soit à la métropole gauloise des Calètes, soit aux Calètes eux-mêmes, les monnaies celtiques en or, en argent ou en bronze, qui portent les noms de Kal, Kalet, Kaledv, Kaletv. Du reste, tous ceux qui tiennent pour la ville gauloise de Calel s'accordent à en affirmer la destruction par Jules César et la reconstruction sous l'administration romaine.

Nous n'avons guère à nous prononcer dans une question tout hypothétique et que jusqu'ici les monuments n'ont pas démontrée. Nul ne sait si César est jamais venu chez les Calètes.

Sans la combattre en aucune manière, nous ferons toutefois observer qu'il est dans l'ancien pays de Caux un point qui pourrait assurément disputer à Lillebonne l'honneur d'avoir été la tête des Calètes gallo-belges : c'est une colline de Caudebec appelée le Mont Calidu, le Calidu ou le Calidois. Cette persévérance de dénomination est frappante. Ajoutez à cela que ce mont est couvert de débris, et que dans l'opinion de bien des gens, Caudebec, dont le nom ne paraît cependant pas antérieur au moyen-âge, passe néanmoins pour la capitale du pays de Caux. Du reste, nous renvoyons pour tout ceci à l'article que nous consacrerons à Caudebec-en-Caux.

Les seuls monuments gaulois de Lillebonne parfaitement incontestables sont les médailles celtiques, dont quelques-unes sont à Caen, à Rouen et à Bayeux. Le Musée de Rouen possède une monnaie de bronze et deux petites monnaies d'argent. En 1828, on trouva dans une tourbière, à trois mètres de profondeur, une boîte en bois contenant cinq cent dix médailles romaines et gauloises en argent. Cinq de ces dernières ont été publiées par M. Edouard Lambert, dans son bel ouvrage sur la Numismatique gauloise du Nord-Ouest de la France (pl. VII, fig. 30, 31, 34, 35; pl. X, fig. 28). « La plupart de ces pièces, dit cet auteur, étaient an-épigraphiques et du plus petit module. Il s'y trouvait pourtant un certain nombre d'exemplaires de la jolie médaille d'Epadnactus. »

Époque Romaine

Lillebonne fut, à l'époque romaine, la cité de Juliobona. Ce nom, elle paraît l'avoir pris sous Auguste, quoique aux yeux de quelques-uns (MM. Gaillard, Cousin, etc.) cette appellation « semble révéler un bienfait même de Jules César. » Ils s'appuient en ceci sur une assertion d'Hirtius qui dit que César pacifia les Gaules en honorant les villes: « Honorificè civitates appellando. » (Hirtius, Lib. VIII, c. 49.)

Quoi qu'il en soit, le nom de Juliobona apparaît pour la première fois sous les Antonins dans le livre de Ptolémée qui, au second siècle de notre ère, écrivait en grec une géographie qui est arrivée jusqu'à nous.

L'itinéraire d'Antonin, monument du 4e siècle que l'on a surnommé le livre de poste de l'empire romain, cite une seule fois Juliobonam, à propos de la grande voie militaire qui allait de Caracotinum (Harfleur?), situé aux bouches de la Seine, jusqu'à Augustobona Tricassium (Troyes en Champagne).

La Carte Théodosienne dressée sous l'empereur Théodose Ier, appelée maintenant Table de Peutinger, marque Luliobona sur la voie militaire qui de Gesoriacum ou Bononia (Boulogne-sur-Mer) se dirigeait sur la Basse-Normandie, la Bretagne et la Loire par Brevoduro (Brionne), Condate (Condé), Durocassis (Dreux), Subdinnum (le Mans).

Ailleurs, le même monument géographique cite encore Juliobona comme tête de ligne de la voie de Subdinnum (le Mans), laquelle comptait XCI milles. Une troisième route de XXXIV milles est tracée entre Juliobona et Mediolanum Aulercorum, aujourd'hui Évreux ou plutôt le Vieil-Évreux qui est voisin. Enfin Juliobona apparaît encore sur une quatrième route de LXXVIII milles qui allait à Durocassis (Dreux) et à Neomagus fortasse Lexoviis, aujourd'hui Lisieux. Il est bon d'ajouter que ces trois derniers chemins ne sont pour Lillebonne et l'arrondissement du Havre que la première voie, trois fois répétée, selon les directions qu'elle prenait au delà de la Seine.

En dehors de ces trois sources, nous n'avons plus rien qui parle de Juliobona dans l'antiquité.

Disons tout de suite que son identité avec la Lillebonne moderne et Villebonam ou l'Insulambonam du moyen-âge, n'a fait doute que pour un si petit nombre qu'il ne doit compter pour rien.

Dès l'époque carlovingienne nous avons pour elle la Chronique de Fontenelle, et au 12e siècle les deux historiens normands Orderic Vital, moine de Saint-Évroul, et Bobert, moine du Mont-Saint-Michel.

Au 16e siècle nous possédons en faveur de Lillebonne le chroniqueur Nagerel et le géographe Abraham Ortellius. Mais au 17e la scène change, et les oracles de cet âge, Philippe Cluvier, Nicolas Samson et Hadrien Valois, cherchent Juliobona à Dieppe ou ailleurs.

Le 18e dont la voix sur ce point est unanime, remet les choses à leur place, et elles n'en sortent plus. Nous citerons, parmi les principaux organes de cette légitime restitution, M. Clérot, de Rouen, l'un des écrivains du Mercure de France; Toussaint Duplessis, dans sa Description géographique de la Haute-Normandie; l'abbé Belley, qui en fit à l'Académie une dissertation spéciale; D'Anville, le grand restaurateur de l'ancienne Gaule, et le comte de Caylus, qui le premier fit revivre les monuments antiques, l'objet de la constante étude de notre époque.

C'est à peine si dans ce concert nous devons mentionner la dissonance de l'abbé de Longuerue, dont l'impression est entièrement effacée aujourd'hui. Si nous citons cette exception, c'est pour ajouter tout de suite qu'au 19e siècle pas une seule voix ne s'est égarée. On le verra tout à l'heure par la bibliographie de Lillebonne et par la série des témoignages qui ont inscrit les découvertes sans nombre faites sur ce sol riche et fécond.

Les Monuments

Les monuments qui existent encore à Lillebonne et ceux qui y ont été découverts depuis cent cinquante ans, mais surtout depuis un demi-siècle que les observations ont été suivies avec plus de soin, démontrent autant que les opinions des savants l'importance romaine de cette ville et son identité avec Juliobona. Le cadre de ce travail nous interdit même une analyse sommaire des travaux publiés et du récit des découvertes. Nous nous contenterons d'indiquer au lecteur studieux la série des monuments trouvés et les ouvrages qui les ont décrits. Nous suivrons en ceci l'ordre chronologique.

Dès 1705, une inscription tumulaire, à la mémoire de Magninus Sénécion (memoriae M | Magnini Senecionis), fut trouvée sur les collines sépulcrales du Mesnil. Encadrée quelque temps dans une muraille voisine du château, de l'église et du marché, où elle a été vue par Gaignières, cette pierre fut portée à la Mailleraye, puis donnée par M. le marquis de Harcourt-Beuvron à M. Foucault, intendant de la généralité de Caen. Comme ce haut fonctionnaire explorait alors, à ses frais, les ruines romaines de Vieux, l'antique Arœgenus, on crut volontiers que la pierre de Lillebonne avait été trouvée par lui. De là, la confusion qui s'est établie à son sujet.

Pendant le siècle dernier, plusieurs auteurs assurément ont parlé de Lillebonne; mais c'est dans le nôtre que la bibliographie antique de cette ville a été vraiment créée : elle a grandi d'une façon vraiment merveilleuse et à proportion des fouilles faites et des découvertes observées dans ce pays depuis cinquante ans. Esquissons à grands traits ce curieux tableau.

Le théâtre antique, propriété du château de Lillebonne, fut confisqué sur la maison de Harcourt par la Révolution française, et vendu le 17 frimaire an II (7 décembre 1794) à Pierre Caron, cafetier du lieu. En 1812, cet industriel permit d'enlever des terres pour la filature de Jacques Lemaître, et le monument alors connu sous le nom de la Roquelle apparut dans toute sa grandeur et sa beauté. Pendant cinq ans, Caron vendit des pierres antiques jusqu'à ce que le département de la Seine-Inférieure achetât l'édifice, le 30 octobre 1818, pour le prix de 6,750 francs. Cette acquisition se fit aux instances de MM. Auguste Le Prévost, Jean Rondeaux et l'abbé Rêver. Ce dernier, qui avait appelé l'attention sur ce grand édifice, fut chargé de l'explorer, ainsi que les autres ruines de Lillebonne. De 1819 à 1826, il fouilla aux frais du département de la Seine-Inférieure, et publia à diverses reprises le fruit de ses explorations qui furent généralement heureuses.

Parmi les découvertes de M. Rêver, on peut citer en première ligne l'aqueduc romain qui amenait les eaux à Lillebonne, puis deux têtes de statues en marbre blanc, des fragments d'inscriptions, des médailles et des épingles en os, en bronze et en ivoire.

Le 24 juillet 1823, M. Timothée Holley découvrit au sein de la terre une grande et belle statue en bronze doré, sur laquelle plusieurs dissertations ont paru : on en a fait un Auguste, un Antinous, et plus généralement un Bacchus ou un Apollon. Avec elle étaient deux autres statuettes de bronze. Cette belle image, après avoir été achetée par des Anglais et avoir long-temps habité Londres, est revenue en France en 1853 : elle est à présent au Musée du Louvre qui l'a payée 1,250 francs seulement.

De 1826 à 1836, les fouilles de Lillebonne furent continuées, toujours aux frais du département, par M. Emmanuel Gaillard, qui habita tour-à-tour Rouen et Saint-Jean-de-Folleville. M. Gaillard continua de déblayer le théâtre. De 1827 à 1829, il fouilla entièrement le balnéaire dont il publia le plan et la description.

Ce fut dans ce balnéaire, placé au pied du château, qu'il découvrit, le 31 mai 1828, la belle statue pédestre de marbre blanc qui fait aujourd'hui l'un des plus beaux ornements du Musée de Rouen. Malheureusement la tête manquait à cet antique que l'explorateur crut être l'image de Faustine, femme d'Antonin-le-Pieux. En 1862 on a surmonté ce tronc d'une tête de marbre blanc, venant de Lillebonne, laquelle paraît s'y adapter parfaitement.

Le 6 mai 1835, M. Timothée Holley trouva encore sur son terrain une belle tête de femme, en marbre blanc, dont le tronc manquait à son tour.

M. Gaillard étant mort en 1836, les fouilles du théâtre de Lillebonne furent continuées par M. Deville jusqu'en 1840, où le monument fut mis dans l'état où il est aujourd'hui. Nous reproduisons le plan de ce curieux édifice d'après les archives de la Commission des Antiquités.

M. Deville nous a révélé un fait curieux relatif an théâtre de Lillebonne. Il parait que dans les murs de ce grand édifice on a découvert une monnaie d'Adrien, ce qui tendrait a prouver que cet illustre César, l'ami des Gaules et de la Bretagne, serait le fondateur de ce beau monument. Nous ponvons citer un grand nombre d'édifices romains, publics ou privés, où l'on a également rencontré des médailles adhérentes ou cachées dans la maçonnerie. — A Luxeuil, en 1857, en faisant sauter, à l'aide de la mine, une portion des bains antiques pour préparer le Bain impérial de Napoléon III, on a trouvé, au milieu d'un bloc de béton, une médaille de bronze toute neuve, de Marcus Agrippa, contemporain d'Auguste. A Beauvais, en 1782, lorsque l'on creusa les fondations de l'hôtel de-ville, on trouva, à sept pieds du sol, des pierres taillées et une base de colonne dans laquelle on avait introduit une monnaie d'Adrien. Dans les murs romains de Beauvais on a rencontré un Posthume et plusieurs autres pièces. M. Bizeul, de Blain, disait au Congrès de Nantes, en 1886, qu'en 1808, lorsque l'on démolit dans cette ville un mur de construction romaine pour y asseoir la clôture de l'hôtel-de-ville, on y trouva deux médailles évidemment placées comme date. L'une, en bronze neuf, était de Faustine, femme de Marc-Aurèle; l'autre, en argent, était de Lucile, sa fille. « Il parait bien, dit M. Bizeul, que les Romains mettaient des monnaies dans les fondations comme souvenir. A Nantes, ajoute-t-il, on a encore trouvé trois monnaies de Néron dans des places ménagées avec soin dans les fondations de murailles antiques qui annonçaient avoir fait partie de grands monuments. L'une était dans la rue du Port-Maillard, les deux autres dans la rue de Verdun. Ces médailles étaient neuves et à fleur de coin. » Dans cette même rue de Verdun on a encore rencontré dans la fondation d'un mur romain deux médailles de Trajan. Elles étaient voisines d'une inscription consacrée à cet empereur. Dans les fondations de l'ancien pont d'Acquigny (Eure) on a recueilli une monnaie de Constantin. M. Bonnin assure que dans les fondations d'un temple du Vieil-Évreux, M. Robillard a rencontré, en 1838, entre deux pierres d'appareil, une médaille d'Antonin. Dans un édifice romain situé aux Ponts-de-Cé, près Angers, on a rencontré, en 1849, une monnaie de Vespasien logée parmi les blocs d'un édifice. A Auxerre, dans la maçonnerie de la tour d'Orléandelle, qui faisait partie de l'enceinte gallo-romaine, on a trouvé une médaille de Tétricus. Le 15 juillet 1860, le « Bulletin du Bouquiniste » annonçait, sous le n° 6,770, une « Notice sur une Médaille de Valons, trouvée dans la maçonnerie de l'aqueduc de Gorze, à Metz, en 1839. » Il en est à peu près de même à l'étranger, car nous lisons dans les « Publications de la Société archéologique du Grand-Duché de Luxembourg, », qu'a Berdorf on a trouvé, en 1860, un moyen bronze de Vespasien dans une construction romaine. Dans les fouilles même de Carlbage, faites en 1861 et 1862, on a rencontré, a la source de l'aqueduc de cette grande ville, un monument romain enclavé dans le temple de Djouggar. La était caché, évidemment avec intention, dans le mortier qui reliait deux pierres de taille, un tiers de sol d'or d'Héraclius Flavius (612).

Ce fut M. Deville qui découvrit le puits du théâtre, au fond duquel était un seau en bronze. Il trouva aussi, le long de la muraille, la moitié d'un lingot en plomb, marqué de ces deux mots incohérents: ".... NACIS | AVG. PA....", que l'on reconnut plus tard pour être la marque de l'empereur Septime Sévère.

Après les grandes découvertes, signalons les moindres. Citons d'abord des vases funéraires, rencontrés vers 1800, vus et dessinés, en 1807, par l'ingénieur Leboullenger; des mosaïques aperçues, en 1836, dans l'enclos de MM. Levesque frères, fabricants; des statuettes de Midas et d'Hercule, rencontrées en 1830; une jolie statuette de bronze, représentant un gladiateur, trouvée en 1841, et décrite par MM. Deville et de Boutteville; de magnifiques constructions antiques, reconnues en 1852, sur le nouveau chemin de grande communication n° 29, qui va de Lillebonne à la station d'Alvimare; la belle villa antique constatée par M. Duval, de 1853 à 1858, dans l'enceinte de l'église et du cimetière de Saint-Denis.

Dans ces derniers temps, les découvertes n'ont pas été moins abondantes. J'en citerai surtout trois que j'ai eu l'avantage de publier et qui ne sont en rien inférieures aux précédentes.

L'une d'elles eut lieu en 1856, à la côte de Caudebec et assez près de l'ancienne léproserie de Saint-Léonard. Là, un meunier nommé Delacourt rencontra une belle sépulture antique renfermée dans un dolium. Cette grande amphore contenait dans son sein une olla en terre noire, une urne en verre remplie d'os brûlés, deux vases aux offrandes en terre et en verre, et un curieux petit couteau en fer avec manche de bois très-bien conservé. Tous les objets provenant de cette trouvaille ont été donnés par M. Delacourt au Musée du Havre, à l'exception du couteau.

L'autre découverte eut lieu en 1860, à la côte de Folleville et non loin de la voie qui conduisait à Caracotinum (Harfleur). Elle fut faite par M. Auguste Fauquet, qui recueillit dans son château de Folleville les objets qui en sortirent. Nous y avons surtout remarqué des clous provenant des caisses funèbres, un grand dolium contenant encore des os brûlés, et une belle urne de verre également remplie d'ossements incinérés; puis venaient des ollas, cinq lacrymatoires en verre, une coupe en verre blanc, un petit godet de vingt-cinq millimètres de hauteur, et un bâton de verre long de seize centimètres. Ce bâton, tors comme une corde, se termine à un bout par un anneau, et à l'autre par un bouton. Il y avait aussi une paire de fibules en bronze décorées d'émail. Mais la pièce la plus curieuse était une boîte en bronze contenant deux miroirs métalliques et ornée sur ses deux couvercles d'une monnaie de Néron coupée en deux parties.

Enfin il nous sera permis de citer la fouille importante que nous avons faite à Lillebonnecn 1853. Nous avons trouvé à la Côte du Câtillon, située sur le Mesnil, un cimetière romain à incinération pour les adultes et à inhumation pour les enfants. Plus de cent dix pièces sont sorties de cette exploration dont les produits ont enrichi les Musées du Havre, de Neufchâtel, de Saint-Germain-en-Laye, et surtout le Musée départemental de Rouen. Nous avons décrit dans le 9e chapitre de notre "Normandie souterraine" cette nécropole gallo-romaine.

Du reste, le Musée de Rouen est peuplé des débris de Lillebonne : on peut dire qu'il a été en partie créé par eux et pour eux. Plusieurs collections de médailles et d'objets d'art ont été formées avec les épaves sorties du sol de Juliobona.

Source : La Seine-inférieure historique et archéologique Par Jean Benoît D. Cochet

Voir aussi le théâtre antique de lillebonne sur normandie héritage.

Localisation et informations générales

  • identifiant unique de la notice : 123796
  • item : Ruines du théâtre antique de Lillebonne
  • Localisation :
    • Haute-Normandie
    • Seine-Maritime
    • Lillebonne
  • Code INSEE commune : 76384
  • Code postal de la commune : 76170
  • Ordre dans la liste : 46
  • Nom commun de la construction :
    • La dénomination principale pour cette construction est : théâtre
  • Etat :
    • Etat courrant du monument : vestiges (suceptible à changement)

Dates et époques

  • Périodes de construction :
    • La construction date principalement de la période : gallo-romain
  • Type d'enregistrement : zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysager
  • Date de protection : 1840 : classé MH
  • Date de versement : 1993/09/15

Construction, architecture et style

  • Materiaux:
    • non communiqué
  • Couverture :
    • non communiqué
  • Materiaux (de couverture) :
    • non communiqué
  • Autre a propos de la couverture :
    • non communiqué
  • Etages :
    • non communiqué
  • Escaliers :
    • non communiqué
  • Décoration de l'édifice :
    • non communiqué
  • Ornementation :
    • non communiqué
  • Typologie :
    • non communiqué
  • Plan :
    • non communiqué

Monument et histoire du lieu

  • Interêt de l'oeuvre : Site archéologique : 76 384 2 AH ; 18 04 1914 (J.O.).
  • Eléments protégés MH (Monument Historique) :
    • Notre base de données ne comprend aucun élément particulier qui fasse l'objet d'une protection.
  • Parties constituantes :
    • non communiqué
  • Parties constituantes étudiées :
    • non communiqué
  • Utilisation successives :
    • non communiqué

Autre

  • Divers :
    • Autre Information : propriété du département 1992
  • Détails : Théâtre antique (ruines) : classement par liste de 1840
  • Référence Mérimée : PA00100732

photo : Normandie Héritage

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