Eglise Saint-Suliau, chapelle mortuaire, ancien cimetière et arc de triomphe

Le ministère de la culture nous donne un résumé historique intetéressant qui met bien en perspective l'histoire du lieu :

De l'église du XVIe siècle ne restent que les deux premières travées de la nef et des bas-côtés, ainsi que le porche méridional. De 1638 à 1643, élévation du transept. En 1665, reconstruction du choeur et de l'abside. Le clocher date de 1723-1735. L'édifice se compose :

  • d'une nef à bas-côtés de trois travées, allongée vers l'ouest
  • d'une fausse travée séparée des collatéraux par deux murs pleins,
  • d'un transept également flanqué de collatéraux,
  • d'une quatrième travée au delà du transept,
  • d'un choeur terminé par une abside à trois pans et
  • d'un clocher porche carré terminé par une flèche ocotgonale avec clochetons remplissant les angles de la plateforme.

Les bras du transept se terminent par des pignons aux crochets sculptés. Les pans du choeur et de l'abside se terminent également par des pignons très ornés avec pinacles, niches décorant les contreforts, et baies à meneaux. A l'intérieur, les sablières sont décorées et sculptées. Un ossuaire et un arc de triomphe complètent l'ensemble.

Arc de triomphe

Histoire de Saint Suliau

I

Saint Suliau naquit en la Province de Wales, en la Grande Bretagne, l'an de grâce 530, sous le Pontificat de Boniface II et l'Empire de Justinian I du nom. Son Père était Seigneur Souverain de ce Pays et s'appelait Brocmail, qui eut trois enfants mâles, notre saint Suliau et deux autres, lesquels il fit soigneusement élever, spécialement Suliau, comme son aîné et l'héritier présomptif de sa Principauté ; mais Dieu en disposa autrement, attirant ce jeune Prince à son service et l'inspirant de quitter les délices de la Cour, pour embrasser la Croix de la Pénitence et suivre Jésus-Christ, par le chemin étroit de la perfection Évangélique. Il y avait, en cette Province, une grande Ville, nommée alors Meibot, prés de laquelle les Princes du Pays avaient fondé une riche Abbaye, qui était alors gouvernée par un Abbé, nommé Guymarch, lequel allant, de fois à autre, en la Cour du Prince Brocmail, entretenait familièrement Suliau, et l'échauffa tellement en l'amour de Dieu, qu'il se résolut de se rendre Religieux : il en parla audit Abbé, qui loua son dessein et en rendit grâces à Dieu. La difficulté était de sortir de chez son Père, duquel il n'espérait obtenir son congé ; néanmoins, il se résolut de franchir cette difficulté, aimant mieux manquer, en ce point, au respect qu'il devait à ses Parents, que de manquer à répondre à sa vocation. Il feignit, un jour, de vouloir aller à la chasse, et, étant deux lieues hors la Ville, il embrassa ses deux Frères, leur ayant déclaré son dessein, et, ayant pris congé d'eux, se rendit dans le Monastère.

II

Incontinent qu'il vit l'abbé Guymarch, il se jeta à ses pieds et le supplia très-humblement de lui donner l'habit le plus tôt qu'il pourrait : car il ne doutait pas que, si on tardait, son Père n’empêcherait sa réception : l'abbé le releva, et, l'ayant présenté à ses Moines, de leur gré et consentement, il lui donna l'habit. Cependant, ses deux frères, étant de retour, racontèrent au Prince, leur Père, ce qui était arrivé, et que leur frère aîné s'était retiré dans le Monastère de Meibot. Le Prince fut extrêmement troublé de cette nouvelle et envoya aussitôt une compagnie de trois cens Cavaliers pour aller quérir le Prince Suliau, son fils, et lui apporter la tête de l'abbé Guymarch, en cas de refus, ou résistance. Les satellites montèrent à cheval, et, à toute bride, ne cessèrent de galoper jusqu'à ce qu'ils furent arrivez en la Ville de Meibot, où, s'étant rafraîchis, ils furent trouver le Gouverneur et la Justice pour les assister et leur tenir main forte, afin d'exécuter le commandement du Prince. Ils descendirent tous, de compagnie, au Monastère, et, ayant fait venir l'abbé, ils lui reprochèrent qu'il avait débauché Suliau, lui conseillant et lui faisans commandement de le leur mettre entre mains ; autrement, qu'ils avaient ordre de le faire mourir. L’abbé leur répondit modestement « qu'il n'avait pas débauché le Prince, ni persuadé de se faire Religieux ; mais que puisqu'il s'était rendu, de son plein gré, dans son Monastère, il ne le pouvait sans blâme d'une punissable ingratitude, refuser l'un, ni dénier l'autre ; et que, pour satisfaire au commandement de leur Maître, et leur faire voir qu'il disait la vérité, il le leur ferait venir, et que, s'il voulait lui rendre l'habit Monacal et s'en retourner avec eux, il ne l'en empêcherait pas ; mais que, s'il désirait demeurer au Monastère, il ne pouvait, mettre par force dehors, et plutôt endurerait la mort que de le faire. »

III

Cette humble et modeste réponse refroidit, quelque peu, l'ardeur de leur colère ; mais ils voulurent voir le Prince Suliau, lequel, ayant paru sous l'habit, les rendit bien étonnez : car ils ne croyaient pas qu'il eut été sitôt vêtu, vu qu'en ce Monastère on laissait les Postulants un an en habit Séculier pour éprouver leur persévérance. Les ayant saluez et demandé permission à son Abbé de leur parler, il leur dit : « Messieurs, je confesse ingénument que si j'ai commis une faute contre mon Père (sans faute toutefois, puisque je n'ai jamais eu intention de l'offenser), cela a été d'être sorti de sa Maison sans son congé et bénédiction ; mais, me voyant appelé de Dieu en cette sainte Compagnie, et tenant pour certain que jamais mon Père ne s'y fût accordé, plutôt y eut mis empêchement, j'ai pris cette résolution, ayant appris que, lorsque Dieu nous appelle à son service, il faut quitter Père et Mère, et, sans avoir égard à leurs larmes, embrasser constamment la Croix de Jésus-Christ ; cela tenant plus de piété et de Religion que de cruauté et ingratitude. Au reste, si mon Père est si implacablement irrité contre ce Monastère, qu'il ne se puisse apaiser que par le sang des serviteurs de Dieu, tenez, coupez ma teste et la lui portez, ne trempez vos mains dans le sang de mon Père Abbé que voici et ses Religieux, qui n'en peuvent moins ; et, puisque j'ai commis la faute (puisqu'on la croit telle), que seul je la puisse réparer. »

chapelle mortuaire

IV

Cette réponse du jeune Prince les apaisa, et s'en retournèrent devers leur Maître lui dire que son fils Suliau était résolu de mourir plutôt que de quitter l'habit qu'il avait reçu. Le Prince Brocmail, voyant la résolution de son fils, s'apaisa. Toutefois, saint Suliau, craignant qu'il ne vint le chercher au Monastère, supplia son Abbé de l'envoyer quelque autre part pour un temps : ce qui lui fut accordé, et eut obédience pour aller demeurer en un Prieuré dépendant de son Monastère de Meibot, situé dans une Île, que fait le fleuve Mené, laquelle, depuis, fut de son nom appelée Enez Suliau, c'est à dire, l'île de Suliau, où il demeura l'espace de sept ans, menant une vie plus Angélique qu'humaine. Ce temps expiré, son Abbé le rappela au Monastère, parce qu'il désirait faire voyage à Rome ; mais saint Suliau, prévoyant le dommage que causerait l'absence d'un si bon Prélat, le dissuada d'entreprendre ce voyage, et l'y voyant résolu, il le tira un jour à part, et lui dit : « Mon Père, vous avez grande envie de voir la Ville de Rome, et êtes sur le point de vous y acheminer et laisser vos enfants, comme pauvres orphelins, privez de votre présence ; que si, sans bouger de céans, on vous fait voir cette grande Ville, ses Temples et Palais somptueux, vous contenterez-vous ? » l'abbé, voyant que ses Religieux n’agréaient son voyage, accepta la condition et promit qu'il se contenterait, si saint Suliau fournissait à sa promesse.

V

Le Saint passa cette nuit en l'église, priant Dieu de donner cette satisfaction à son Abbé ; que, sans quitter son Monastère, il contentât sa curiosité de la vue de cette Ville : son Oraison fut exaucée, et les Religieux étant à la recréation après le disne, il mena l'abbé sur un petit tertre, ou colline, qui était dans l'enclos du Monastère, d'où il lui fit voir distinctement toutes les églises, les Palais, Amphithéâtres, Obélisques et autres raretés de cette grande Ville, laquelle ils contemplèrent à leurs aises, depuis une heure jusques à trois heures après midi, que le son de la cloche les appela à Vêpres. L’abbé Guymarch entendit, par cette merveille, que la volonté de Dieu était qu'il se desistât de ce voyage et demeurât en son Monastère, et ayant tendrement embrassé son disciple Suliau, ils rendirent grâces à Dieu de cette faveur ; et, quelque temps après, l'abbé tomba malade, et, voyant qu'il tirait à sa fin, il fit appeller ses Religieux en sa chambre, et, après leur avoir donné plusieurs belles instructions, il leur dit : « Mes Frères et chers Enfants, je ne mourrais pas en bon Père, si, en ce dernier temps de ma vie, je ne me mettais en souci de vous trouver un bon Pasteur ; et encore bien qu'il vous soit libre de choisir votre Abbé, si est-ce que la connaissance que j'ai de la Sainteté et probité de notre Confrère Suliau me convie de vous le recommander ; vous confessant franchement que je le reconnais très-capable de cette Charge. » Ayant dit cela, il leur donna sa Bénédiction, et, ayant dévotement reçu ses Sacrements, il passa à meilleure vie, l'an 558.

VI

Les funérailles de Guymarch célébrées, les Religieux élurent unanimement saint Suliau et le menèrent vers l’évêque de Kerleon, ou Menevie, pour être béni ; puis, il s'en retourna en son Monastère, lequel il gouverna six ans, jusqu'à l'an 564, que son Père étant tombé malade, il le fut voir et l'assista pendant la maladie dont il mourut ; et son second frère, nommé Jacob, recueillit la succession, ayant été reconnu par ses sujets pour leur légitime Prince ; mais il ne régna que deux ans et mourut l'an 566, laissant sa femme veuve et sans enfants. Néanmoins, d'autant qu'elle était femme d'esprit et de courage, elle s'empara du gouvernement de l'état de son défunt mari, du consentement des Barons et Seigneurs, auxquels elle promit d'épouser le Prince Suliau, Abbé de Meibot, qui seul restait du sang de son dit mari. Elle vint au Monastère en cette intention, et, ayant fait venir l'abbé Suliau, lui déclara sa résolution, qui était de le prendre pour époux, offrant d'obtenir dispense du Pape, puisque c'était pour l'utilité publique et repos de l'état. Saint Suliau fut bien étonné de ce discours de sa belle Sœur et lui remontra: « Que c'était peine perdue à elle de parler de cela ; qu'il était Religieux Profez et Prêtre ; de dispense, qu'il n'en voulait, ni n'en pouvait avoir ; que, s'il eut voulu demeurer au Siècle, il eut succédé aux états de son Père, comme Fils aîné ; mais que, pour l'amour de Jésus-Christ, il avait renoncé aux vanités du monde et ne s'en voulait plus mêler, la suppliant de ne lui plus parler de cela, ni interrompre sa solitude par des propositions qui ne pourraient sortir leur effet. »

Intérieur de l'église

VII

Cette Princesse, prenant ce refus pour un affront, tourna son amour en haine et sortit du Monastère en colère, résolue de persécuter, à toute outrance, saint Suliau et ses Religieux ; et, s'étant confirmée en sa Régence ; elle fit saisir en sa main tous les revenus du Monastère de Meibot, qui, par ce moyen, fut réduit en une extrême nécessité. Saint Suliau, prenant pitié de l'affliction de ses Religieux, persécutés pour son sujet, quitta le Monastère, pour un temps, et se retira au Prieuré de l'isle Suliau, mais voyant que sa belle sœur, au lieu de s'apaiser, grevait de plus en plus son Monastère, il se résolut de quitter tout à fait son Pays et de passer la Mer, avec quelques uns de ses Religieux, lesquels il choisit ; et, ayant pris congé des autres, monta sur un vaisseau, lequel passa heureusement la mer britannique et vint aborder à la Cité de Guicaleth, à l'embouchure de la rivière de Rance, où il visita saint Malo, évêque d'Aleth, qui le reçut bénignement et le retint, quelque temps, au monastère de saint Aaron ; mais le Saint, désirant vivre plus solitairement, demanda permission à saint Malo de se retirer : ce qui lui fut permis, et ainsi, sortant de la Cité de Guicaleth, avec quelques uns de ses Confrères, il marcha deux lieues, côtoyant la rivière de Rance, et s'arrêta en un canton désert et solitaire, fort propre à son dessein, pour être retiré et séquestré du bruit et de toute humaine conversation. Il s'informa à qui appartenait ce lieu, et, ayant appris que c'était à un Seigneur qui demeurait là auprès, il le fut trouver et obtint de lui autant de terre qu'il lui en fallait pour bâtir un Hermitage pour lui et pour ses Confrères.

VIII

Ayant obtenu ce don, il commença à travailler, et, en peu de jours, édifia une petite chapelle et quinze petites Cellules pour se loger lui et ses Religieux ; et, ayant labouré de ses propres mains une pièce de terre qui lui restait du dit don, il y sema du blé, lequel crût fort beau ; mais le bétail qui, d'ordinaire, passait les proches marais, se jeta une nuit, dans ce champ qui n'était pas fermé et en gâta une partie ; le matin, on en vint avertir saint Suliau, lequel ne s'en émeut pas beaucoup ; seulement, il se mit en prière, et puis prit son bâton, dont il traça une ligne tout à l'entour du champ, et, aux quatre coins d'iceluy, planta quatre petites houssines pour toute haie et fossé ; priant Dieu de ne permettre que le bétail outrepassât ces bornes, pour endommager les semailles de ses serviteurs. Dieu exauça son oraison, et, la nuit suivante, les mêmes animaux, sortants des marais et pâturages, se voulurent jeter sur ledit champ ; mais, chose merveilleuse ! si-tôt qu'ils touchèrent cette ligne que le Saint avait tracée tout à l'entour de son champ, ils devinrent tous immobiles, sans se mouvoir, ni remuer, non plus que s'ils eussent été de marbre ou de bronze. Le matin, les Paysans du voisiné, ne trouvant plus leur bétail dans les marais, le trouvèrent en cette posture tout à l'entour du champ de saint Suliau ; et le bruit de cette merveille ayant couru par le pays circonvoisin, une grande multitude de peuple se rendit en l'ermitage pour voir une chose si étrange. Le saint Abbé, craignant que cette affluence de monde n'interrompît les exercices de ses Religieux, s'en allant devers le champ, donna sa bénédiction à ces animaux, et leur défendit désormais de plus venir ravager son blé : ce qu'ils observèrent inviolablement et se retirèrent dans les marais.

IX

Le Seigneur qui avait donné au saint Abbé cette terre, ayant vu de ses propres yeux ce miracle, lui fut plus affectionné, et, voyant que son ermitage était trop petit, il lui permit de prendre autant de terre qu'il voudrait, et offrit de lui fournir de l'argent pour bâtir un Monastère plus ample et spacieux, qui fut accompli en peu de temps, moyennant l'aide du peuple des villages circonvoisins, qui n'y épargnèrent rien de ce qu'ils y pouvaient contribuer ; et, en ce Monastère, il reçut un grand nombre de jeunes hommes, qui y vivaient comme des Anges incarnés. L'heureux prélat saint Samson, visitant son diocèse, se divertit expressément pour venir voir saint Suliau, lequel le reçut dans son monastère et l'y logea trois jours, le traitant, à l'ordinaire du Monastère, de pain, légumes et laitages. Il y avait, en la compagnie du saint archevêque, un certain délicat, lequel, ne trouvant bon le pain du Monastère, cacha sa portion dans son sein, laquelle, incontinent, fut convertie en un serpent, qui lui ceignit le corps ; toute l'assistance s'émeut de cet accident ; mais saint Suliau, faisant le signe de la Croix, lui fit lâcher prise et lui commanda de se retirer au lieu le plus écarté d'une montagne, appelée le Mont-Garutz : ce qu'il fit sur le champ, obéissant au commandement du saint Abbé, duquel saint Samson prit congé et se retira fort édifié et content de ses Religieux.

X

Pendant que saint Suliau ravissait un chacun en admiration de sa Sainteté, sa belle Sœur, qui avait persécuté, à cause de lui, ses religieux, vint à mourir ; et, incontinent après, les religieux du Monastère de Meibot députèrent deux des plus anciens, nommez Pellibesten et Caramanien, pour l'aller trouver en Bretagne Armorique et l'emmener en son pays ; saint Suliau les recueillit fort gracieusement et s'accordait volontiers à aller avec eux ; mais ses religieux n'y voulaient consentir. Sur ces entrefaites, le saint Abbé alla à l'église et pria nôtre Seigneur de lui révéler sa volonté, de laquelle il ne se voulait aucunement éloigner ; son oraison fut exaucée, et lui fut révélé qu'il ne sortît pas de ce Monastère, parce qu'il n'avait plus guères à vivre ; mais, pour ne mécontenter les députés de ses Religieux de Meibot, qu'il leur donnât quelque chose pour emporter en leur Monastère. Le Saint, ayant achevé son oraison, les fit appeler et leur déclara quelle était la volonté de Dieu, à laquelle il ne voulait contrevenir, leur donna le livre des évangiles qu'il portait, d'ordinaire, sur soi et le bâton duquel il s'appuyait quand il allait par pays ; puis, les conduisit au port d'Aleth, où ils montèrent sur le vaisseau et furent portés, d'un bon vent, à la côte de Walles. Quelque temps après, saint Suliau tomba malade ; et, apercevant bien qu'il en mourrait, il appela tous ses Religieux, les exhorta à l'observance de la Règle, et, ayant reçu les Sacrements, rendit son Âme à Dieu, le premier jour d'octobre l'an de grâce 606, le soixante seizième de son âge. Son corps fut enseveli dans son église abbatiale, à présent Paroisse et Prieuré, nommé saint Suliau sur Rance, distant de Saint Malo de deux lieues, cinq de Dol, trois de Dinan et demie lieue de Château-neuf. Dieu a fait plusieurs miracles à son Tombeau, lequel est dévotement visité des pèlerins, qui y reçoivent de grandes faveurs par l'intercession de ce Saint.

Cette vie a été par nous recueillie des anciens légendaires MSS. des Eglises Cathédrale de Léon et Collégiale du Folgoët, qui en ont amplement l'Hist. oire en 9 leçons, conforme à l'original de sa vie, gardé en son église de saint Suliau sur Rance, dont copie a été envoyée, par le prieur et Recteur du dit saint Suliau, à Noble et Discret Mre. Rolland Poulpiquet, Chanoine de Léon et alors recteur de la Paroisse de Sizun audit diocèse, dédiée à saint Suliau. Le Brev. de Léon en a 9 leçons, le 29 Juillet, et le Proprium du Diocèse de Saint Malo 3 leçons, le 1 Octobre.

Source : La vie des saints de la Bretagne-Armorique par Albert Le Grand 1837.

photo pour Eglise Saint-Suliau, chapelle mortuaire, ancien cimetière et arc de triomphe

Localisation et informations générales

  • identifiant unique de la notice : 45337
  • item : Eglise Saint-Suliau, chapelle mortuaire, ancien cimetière et arc de triomphe
  • Localisation :
    • Bretagne
    • Finistère
    • Sizun
  • Lieu dit : le Bourg
  • Code INSEE commune : 29277
  • Code postal de la commune : 29450
  • Ordre dans la liste : 15
  • Nom commun de la construction : 2 dénomiations sont utilisées pour définir cette construction :
    • église
    • cimetière
  • Etat :
    • L'état actuel de cette construction ne nous est pas connue.

Dates et époques

  • Périodes de construction : 3 différentes époques marquent l'histoire du lieu.
    • 16e siècle
    • 17e siècle
    • 18e siècle
  • Années :
    • 1638
    • 1643
    • 1665
    • 1723
  • Date de protection : 1943/03/23 : classé MH
  • Date de versement : 1993/08/24

Construction, architecture et style

  • Materiaux:
    • non communiqué
  • Couverture :
    • non communiqué
  • Materiaux (de couverture) :
    • non communiqué
  • Autre a propos de la couverture :
    • non communiqué
  • Etages :
    • non communiqué
  • Escaliers :
    • non communiqué
  • Décoration de l'édifice :
    • Le décor est composé de : 'sculpture'
  • Ornementation :
    • non communiqué
  • Typologie :
    • non communiqué
  • Plan :
    • non communiqué

Monument et histoire du lieu

  • Eléments protégés MH (Monument Historique) :4 éléments font l'objet d'une protection dans cette construction :
    • chapelle
    • chapelle funéraire
    • arc de triomphe
    • ARC
  • Parties constituantes :
    • non communiqué
  • Parties constituantes étudiées :
    • non communiqué
  • Utilisation successives :
    • non communiqué

Autre

  • Divers :
    • Autre Information : propriété de la commune 1992
  • Photo : 799c8bcc164b132813b155d332b9bd78.jpg
  • Détails : Eglise Saint-Suliau, chapelle mortuaire, ancien cimetière et arc de triomphe (cad. AC 35) : classement par arrêté du 23 mars 1943
  • Référence Mérimée : PA00090450

photo : Lumière du matin

photo : Lumière du matin

photo : Lumière du matin

photo : Lumière du matin

photo : Lumière du matin

photo : Lumière du matin

photo : Lumière du matin

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg

photo : gerardgg