Abbaye Saint-Jean-Baptiste (ancienne)

Saint-Jean-D'Angely, Angeriacum, Angeliacum, ou Ingeliacum, et encore, S. Johannes Baptista in pago Santonico et Angeriacense monasterium (Charente-Inférieure, France). Ville et abbaye de l'ordre de Saint-Benoît, fondée vers la fin du VIIIe siècle ou au commencement du IXe, par Pépin, roi d'Aquitaine, qui, de l‘avis de Louis, son père, convertit en un monastère un palais situé dans ce lieu.

La vieille basilique qui était sous l'invocation de la Vierge Mère de Dieu, reçut le nom de Saint-Jean-Baptiste, par l'ordre de Pépin, à cause de la translation du chef du saint précurseur faite dans son enceinte, comme on le croyait alors, dit le Gallia christiana. Ce monastère fut entièremeut détruit par les Normands, l'an 867, et reconstruit avant le milieu du Xe siècle, par le comte Ratgaire, et Ebles, avec l'assentiment de Louis d'Outremer, et de Guillaume Tête-d'Etoupe, duc d‘Aquitaine, dont le Gallia christiana rapporte les chartes relatives à cette restauration.

Après avoir essuyé divers autres désastres, l'abbaye de Saint-Jean d'Angély s'unit à la congrégation de Saint-Maur, en 1623, et continua de fleurir sous cette nouvelle réforme.

Source : Dictionnaire des Abbayes et Monasteres par Maxime de Montrond 1856.

L'abbaye de Saint-Jean-d'Angeli doit son origine à la piété de Pépin, roi d'Aquitaine, et à celle de son père, roi de France. Au milieu d'Angeli, on voyait un château dont la magnificence répondait aux progrès de l'architecture de ces temps-là et dont l'origine nous est aussi inconnue que celle du nom de la forêt qui le renfermait. Ce château ou plutôt ce palais qui, depuis sa construction, avait toujours été possédé par les ducs d'Aquitaine, appartenait en 837, à Pépin, fils de Louis le Débonnaire. L'empereur et le roi de France, dont la piété égalait la bonté et la bienfaisance, ordonna à son fils de fonder une abbaye dans ce palais, de la dédier à Saint-Jean-Baptiste, et de la concéder à des bénédictins. Les fréquentes incursions, que firent en 867, les Normands dans toute la Saintonge, furent fatales à cette abbaye, elle fut pillée, dévastée par ces barbares, et ses religieux ou maltraités ou mis en fuite, se retirèrent dans d'autres monastères. Entièrement rétablie en 942 par les soins et la piété des comtes Ebbon et Ratgaire, elle redevint plus importante et plus célèbre qu'elle ne l'avait été dans le siècle précédent ; mais elle acquit encore plus de célébrité en 1010, lorsqu'un de ses abbés eut fait la découverte de la tête de Saint-Jean-Baptiste.

Les auteurs ne sont point d'accord sur la manière dont cette tête fut apportée à Saint-Jean-d'Angeli. Les uns prétendent qu'un jeune homme nommé Félix, avait apporté cette relique d'Alexandrie à Angeli, sous le règne de Pépin, roi d'Aquitaine, fondateur de l'abbaye ; d'autres pensent que ce même roi d'Aquitaine l'avait reçue de quelques religieux qui revenaient de la terre Saintes, et que ce fut en son honneur qu'il bâtit l'abbaye. Ducange qui a écrit pour montrer que le véritable chef de Saint-Jean-Baptiste était dans l'église d'Amiens, sa patrie, où il fut apporté de Constantinople, soutient que celui qu'on avait trouvé à Angeli, était celui de Saint-Jean-d'Edesse. Quoiqu'il en soit, on trouve, dans la chronique de Maillezais, dans celle d'Ademar de Chabanais et dans les annales de Mabillon, une relation exacte et succincte de la translation de cette tête à Angeli, sous Pépin, de la découverte qu'en fit Alduin, dans l'église de son abbaye en 1010, et des événements qui s'en suivirent. La voici traduite littéralement :

« Pépin, roi d'Aquitaine, après avoir reçu le chef de Saint-Jean-Baptiste qui, dit on, lui fut apporté d'Orient, fit, par l'avis de son père, du palais qu'il avait à Angeli, un monastère qu'il voulut dédier au précurseur. Mais ce monastère, 30 ans après sa fondation, subit le même sort que tous ceux de l'Aquitaine qui furent ruinés de fond en comble par les Normands Dans la suite on ignora longtemps le lieu où cette tête avait été déposée. Cependant quelques années après le rétablissement de cette abbaye par les comtes Ebbon et Ratgaire, Alduin, abbé de ce monastère trouva, dans une petite chasse de pierre taillée en forme pyramidale, un reliquaire d'argent qui renfermait cette tête. Guillaume, duc d'aquitaine, revenant après pâques d'un pèlerinage qu 'il avait fait à Rome, satisfait de la découverte d'un trésor si précieux voulut qu'on exposât, à la vénération du peuple, le reliquaire qui contenait le chef de Saint-Jean-Baptiste, et sur lequel on lisait cette inscription : hic requiescit caput prœcursoris domini. Ayant indiqué le jour de cette cérémonie, Théodelin, abbé de Maillezais, se chargea, d'après l'ordre des prélats qui s'étaient rassemblés à Angeli pour cette solennité, d'exposer pendant deux heures aux regards des fidèles, le chef du précurseur ; mais en le replaçant dans son reliquaire il sut adroitement en soustraire une dent, aussitôt il fut privé de la vue qu'il ne put recouvrer qu'après avoir avoué sa faute et restitué la dent. Dès que cet événement fut connu, on vit accourir à l'abbaye d'Angeli, une multitude d'étrangers d'Italie, d'Espagne et de toutes les parties de la France. Robert, roi de France, et la reine ; Sanche, roi de Navarre, un autre Sanche, duc de Gascogne ; Eudes, comte de Champagne, ainsi que plusieurs autres comtes et princes vinrent à Angeli faire de riches présents. Le roi donna une coupe d'or du poids de trente livres, et des étoffes d'or et de soie pour l'ornement de l'église. Les évêques de plusieurs diocèses accompagnés de leurs moines et de leurs clercs, et suivis d'un grand nombre de fidèles, se rendirent aussi au monastère d'Angeli, apportant avec eux les reliques de leurs patrons Après que la tête de Saint-Jean-Baptiste eut été suffisamment exposée aux regards et à la vénération du peuple, le duc Guillaume ordonna qu'elle fût replacée dans la chasse de pierre où elle avait été trouvée, et que cette chasse fût recouverte d'une autre en bois qu'il fit argenter avec le présent que Sanche, roi de Navarre, avait fait au précurseur. »

Les religieux de cette abbaye étaient de l'ordre de Saint-Benoît, au nombre de 60 à 80 ; ils vivaient et habitaient ensemble sous la direction et l'autorité d'un abbé qui avait la nomination de neuf officiers claustraux. Le sacristain, l'aumônier, le chantre, le sous-chantre, l'infirmier, le cellerier, le chambrier, le prévôt et le pitancier, étaient les officiers à qui la gestion et l'administration des affaires de l'abbaye étaient confiées et qui avaient leur domicile dans les maisons que l'on voit devant l'église paroissiale, excepté l'aumônier qui habitait auprès de son aumônerie dans la maison appelée abbaye, après la scission qui se fit entre l'abbé et ses religieux. Quoi qu'externes, ces officiers étaient tenus de reconnaître l'abbaye comme leur église mère, de s'y réunir annuellement à un chapitre-général où il était fait des règlements qu'ils étaient obligés d'observer, de se trouver chaque jour au chœur pour l'office et de manger au réfectoire de l'abbaye, à qui ils payaient quelques redevances pour prouver leur dépendance, in signum superioritatis et obedientiae. Cette abbaye fut ainsi administrée et gouvernée jusqu'en 1623, que la réforme de Saint-Maur s'y introduisit. Alors les offices claustraux et les revenus qui y étaient attachés furent remis à la mense des réformés suivant les bulles d'érection de leur congrégation données par Grégoire X et Urbain VIII. Quelques années après, en 1630, sous Claude de Vivonne, il s'éleva entre cet abbé et les religieux des dissensions pour lesquelles il intervint plusieurs arrêts de différentes cours. L'abbé ennuyé des débats et des contestations qui, journellement avaient lieu entre ses religieux et lui, voyant que cette discorde qui régnait entre eux scandalisait les fidèles et craignant qu'elle ne portât atteinte à la religion, surtout dans un temps et dans une ville où les principes de Calvin avaient fait et faisaient tant de progrès et de ravages, résolut d'y mettre fin en demandant et en obtenant un partage auquel les religieux avaient paru s'opposer jusqu'alors. Enfin, après plusieurs discussions entre eux et plusieurs démarches et réclamations de la part de l'abbé, on transigea le 21 Juillet. La transaction contient un partage entre l'abbé, d'une part, et les religieux de l'autre, de tous les droits, revenus et émoluments de l'abbaye. A l'abbé, dit cet acte, appartiendront la maison de l'aumônier, (Celle ou l'on voit Aujourd'hui le palais de justice) les lots et ventes de la ville, de ses faubourgs et dépendances. Après une énumération de ce qui est attribué à l'abbé, le surplus, ajoute le même acte, appartiendra aux religieux. Chaque objet n'y est point détaillé, mais dans une autre transaction du même jour on voit ce qui échoit à ces religieux. Ce partage fait l'abbé se retira dans sa maison dite de l'aumônerie et les moines restèrent dans l'abbaye sous la conduite et la direction d'un prieur claustral dont les fonctions et l'autorité étaient les mêmes que celles des précédents abbés.

Cette abbaye qui s'était enrichie des donations que lui avaient faites les ducs d'Aquitaine, les princes et autres seigneurs qui étaient venus à Angeli honorer la tête de Saint-Jean-Baptiste, jouissait, avant la révolution, de cent cinquante mille livres de revenu. Cependant ce n'est pas seulement à la libéralité de ces princes et à la piété du grand nombre de pèlerins qui se rendaient à Angeli, que cette abbaye fut redevable, dans le principe, de ses richesses, mais à l'économie, à la frugalité, à la tempérance et à l'amour du travail de ses premiers religieux. En effet, quand on considère que le lieu d'Angeli était une forêt de 7 à 8 lieues de circonférence, que les champs qui l'environnaient, étaient sans culture par le défaut de cultivateurs, que les religieux avant la découverte du chef de Saint-Jean-Baptiste, n'avaient point ressenti les effets de la munificence des princes et que, conséquemment, ils n'avaient aucun revenu fixe ; on conçoit facilement que, pour pourvoir à la subsistance et à l'entretien de 60 à 80 religieux, aux frais du culte et aux réparations de leur église et de leur maison qui, l'une et l'autre étaient très-vastes, ils devaient être nécessairement économes, sobres et laborieux, ils devaient eux-mêmes exploiter une grande partie de cette forêt, défricher et fertiliser les terres incultes qui l'environnaient. Mais l'éloignement des villes circonvoisines et la difficulté d'entretenir avec elles des relations exactes et fréquentes, rendaient très-modique le revenu qu'ils retiraient des travaux auxquels Ils se livraient journellement. Ils ne commencèrent à augmenter ce revenu que lorsqu'un concours extraordinaire d'étrangers et de pèlerins arrivant de toutes les parties de la France pour rendre honneur à la tête de Saint-Jean-Baptiste, et ne pouvant se loger à l'abbaye fut forcé de construire un grand nombre de cabanes et de maisons Alors ces religieux cédèrent, à ceux de ces étrangers qui voulurent s'établir à Angeli, certaines parties de cette forêt et quelques unes des terres qu'ils avaient défrichées. Mais comme cette cession se fit à un prix inférieur à la valeur des objets cédés, les acquéreurs s'engagèrent à payer à l'abbaye, soit en nature, soit en argent, une redevance annuelle. L'emplacement même sur lequel ils construisirent leurs maisons fut chargé d'un droit qui était payé chaque année, la veille de la fête de Saint-Jean. Telle est l'origine de la maille d'or et des droits seigneuriaux qu'avant la révolution, l'abbé et les Bénédictins percevaient à Saint-Jean-d'Angeli et sa banlieue. Ainsi, cette abbaye s'enrichit :

  1. du travail et de l'économie de ses premiers religieux ;
  2. de la cession, moyennant un droit, d'une partie de la forêt et des terres qui l'entouraient, aux étrangers qui fixèrent leur demeure à Angeli ;
  3. des donations que firent dans la suite, en sa faveur, les seigneurs d'Aquitaine, du Poitou, de la Saintonge, etc.

Nous pourrions rapporter ici les principaux actes de ces donations, si le cartulaire de l'abbaye qui les contenait tous eût pu échapper au vandalisme révolutionnaire.

Les armes de cette abbaye comme celles de la ville de Saint-Jean-d'Angeli. étaient d'azur pote de France à fleurs de lis d'or, sans nombre, franc quartier de gueules chargé du chef de Saint-Jean-Baptiste, dans une coupe d'or, crossé et mitre d'or.

L'abbaye de Saint-Jean-d'Angeli et ses religieux obtinrent, en plusieurs circonstances, de nos rois, des lettres de sauve-garde. Par ces lettres le souverain leur accordait sa protection pour les garantir des insultes, du logement et du pillage des troupes, dans le cas où la ville deviendrait le théâtre de la guerre. Ces lettres furent accordées notamment en 1351 par Jean Ier, et en 1373, par Charles V.

église détruite par les Calvinistes en 1568

L'église qui, comme l'abbaye, avait été fondée par Pépin, était, ainsi qu'on peut en juger par la description que nous allons donner, une des plus belles du royaume. L'élégance et la hardiesse de son architecture gothique, la faisaient admirer des étrangers et des curieux. Elle fut démolie en 1568, par les calvinistes qui, de ses matériaux, construisirent un temple dont la destruction fut ordonnée par Louis XIV, après la révocation de ledit de Nantes.

Cette église avait, dans œuvre, trois cents pieds de longueur et cent cinquante de largeur, non compris les collatéraux qui avaient trente six pieds de large, de sorte que la nef et les collatéraux avaient cent quatre-vingt-six pieds de large dans œuvre.

La voûte de la grande nef et les deux principales croisées avoient cent pieds de hauteur. Les quatre grands vitraux des extrémités de l'église étaient séparés par des colonnes et avaient soixante pieds de haut et trente de large.

Les autres vitraux que l'on voyait autour de l'église, étaient aussi divises par colonnes et avaient cinquante pieds de hauteur depuis la galerie jusqu'à la grande voûte.

Les galeries qui étaient au-dessus et par le moyen desquelles on pouvait faire le tour de l'église, avaient dix pieds de haut.

Les voûtes des collatéraux étaient de quarante pieds de haut.

Le portail était flanqué de deux tours où l'on voyait des cloches énormes qui, après la démolition de cette église, furent envoyées à Malte. Le portail s'ouvrait à trois grandes portes dont les battants étaient de fer.

On comptait dans cette église treize chapelles dont voici les noms :

  1. Chapelle de Notre-Dame, à la croisée du côté septentrional
  2. Chapelle de Saint-Jean, à la croisée du côte méridional, où était la paroisse.
  3. De Saint-Michel.
  4. Des Changeurs.
  5. De Dornac.
  6. Des Fradins.
  7. Des Martyrs.
  8. Des Forêts.
  9. De Laleigne.
  10. Des Saulniers.
  11. D'Epernon.
  12. De Saint-Benoît.
  13. Des Boulites.

Les autels étaient :

  1. Le grand autel, sur lequel il y avait une impériale en pierre où était le chef de Saint-Jean-Baptiste enchâssé dans une coupe d or.
  2. Derrière le grand autel était celui de la Sainte-Hostie.
  3. Autel de la Sainte-Trinité.
  4. Autel d'Orléans.
  5. De Narbonne.
  6. De la Croix.
  7. De Saint-Maur.
  8. De Saint Louis.
  9. De Saint-Martial.
  10. De Saint-Nicolas.
  11. De Sainte-Même.
  12. De Saint-Biaise.

Le pavé de cette église était de briques et de marbre vernissé. La grosse horloge était au dessus de la chapelle de la paroisse, et on voyait dans le pignon de la tour où était cette horloge un escalier fort delicat qui y conduisait.

Source : Recherches topographiques et historiques sur la ville de Saint Jean d'Angeli par L. F. Guillonnet-Merville 1830.

photo pour Abbaye Saint-Jean-Baptiste (ancienne)

Localisation et informations générales

  • identifiant unique de la notice : 21021
  • item : Abbaye Saint-Jean-Baptiste (ancienne)
  • Localisation :
    • Poitou-Charentes
    • Charente-Maritime
    • Saint-Jean-d'Angély
  • Code INSEE commune : 17347
  • Code postal de la commune : 17400
  • Ordre dans la liste : 1
  • Nom commun de la construction :
    • La dénomination principale pour cette construction est : abbaye
  • Etat :
    • Etat courrant du monument : vestiges (suceptible à changement)

Dates et époques

  • Périodes de construction : 3 différentes époques marquent l'histoire du lieu.
    • 14e siècle
    • 17e siècle
    • 18e siècle
  • Dates de protection :
    • 1985/12/31 : classé MH
    • 1985/12/31 : inscrit MH
  • Date de versement : 1993/10/27

Construction, architecture et style

  • Materiaux:
    • non communiqué
  • Couverture :
    • non communiqué
  • Materiaux (de couverture) :
    • non communiqué
  • Autre a propos de la couverture :
    • non communiqué
  • Etages :
    • non communiqué
  • Escaliers :
    • non communiqué
  • Décoration de l'édifice :
    • non communiqué
  • Ornementation :
    • non communiqué
  • Typologie :
    • non communiqué
  • Plan :
    • non communiqué

Monument et histoire du lieu

  • Interêt de l'oeuvre : Construite par les frères Mauristes
  • Eléments protégés MH (Monument Historique) :14 éléments font l'objet d'une protection dans cette construction :
    • tour
    • escalier
    • salle
    • porche
    • communs
    • cour
    • réfectoire
    • bâtiment conventuel
    • chevet
    • église
    • sol
    • salle capitulaire
    • bâtiment
    • parvis
  • Parties constituantes :
    • non communiqué
  • Parties constituantes étudiées :
    • non communiqué
  • Utilisation successives :
    • non communiqué

Autre

  • Divers :
    • Autre Information : propriété de la commune 1992
  • Photo : 9b0af49ee5a54469d7c8dbc7fdc88159.jpg
  • Détail :
    • Ancienne église abbatiale gothique : restes bâtis dont le chevet, les arcs-boutants et le sol
    • église abbatiale du 18e siècle : totalité des parties construites, y compris les tours et le sol du parvis
    • porche de la cour d' honneur
    • grand bâtiment Nord-Sud donnant sur la cour d' honneur
    • ancien réfectoire
    • escalier à balustres au Nord-Est du réfectoire
    • sols de la cour du réfectoire et de la cour du cloître (cad. AE 169 à 171) : classement par arrêté du 31 décembre 1985
    • Ancien bâtiment de communs à l' Ouest de la cour d' honneur et bordée par la rue de l' abbaye
    • aile au Nord de la cour dite du réfectoire, en retour du bâtiment principal
    • aile Est-Ouest du réfectoire entre la cour dite du réfectoire et l' ancienne cour du cloître
    • bâtiment Nord-Sud en retour du bâtiment du réfectoire à l' Est de la cour dite du réfectoire, avec escalier à balustres
    • aile Nord-Sud a l' Est du bâtiment de l' ancienne cour du cloître, y compris la salle capitulaire (cad. AE 169) : inscription par arrêté du 31 décembre 1985
  • Référence Mérimée : PA00105178

photo : pierre bastien

photo : pierre bastien

photo : pierre bastien

photo : pierre bastien