Fondé vers 1200, le prieuré bénéficie aussitôt des bienfaits de Philippe Auguste : bois, terres et deux foires annuelles ; après sa décrépitude à peu près totale à la fin du 16e siècle, le prieuré va connaître un second souffle avec les feuillants, en 1603, qui y mènent d'actives réparations ; de l'ensemble : église (13e siècle) , hallettes, cloître, dortoir etc... il ne reste que le logis, reconstruit en 1739 après un incendie, des bâtiments (1761) et quelques fragments du mur de clôture.