Ancienne abbaye

La propriété de l'abbaye (anciennement propriété de l'Etat, ministère de la culture) a été transférée au département le 1er janvier 2007.

Ruines de l'abbaye de Jumièges

Lorsque vous descendez la Seine et que vous avez dépassé Duclair, chef-lieu de canton situé à quarante kilomètres de Rouen et renommé dans toute la Seine-Inférieure pour son poisson, ses fruits et ses canards, vous rencontrez les ruines de la fameuse abbaye de Jumièges, dont le nom, suivant les uns, vient de ce que les religieuses y gémissaient sans cesse, et selon les autres, de ce qu'on l'avait appelée Gemma, pierre précieuse de la chrétienté.

On a parfois comparé, dit M. Edouard Frère dans son excellent Guide du voyageur en Normandie, l'architecture de l'église de Jumièges à certaines églises romanes des bords du Rhin, en raison de la simplicité et de la noblesse de sa façade occidentale, accompagnée de deux tours carrées, lesquelles, aux deux tiers de leur hauteur, changent de forme et se terminent en tours octogones. Le portail s'avance d'une manière inusitée entre ces tours. L'extrémité orientale n'est plus qu'un monceau de débris ; au centre, les restes encore subsistants de la lanterne laissent deviner la grandeur des dimensions de la tour. Les tours sont privées de leurs clochers ; le toit de la nef et celui des parties latérales n'existent plus. Le pavé du sanctuaire a fait place aux herbes sauvages ; les statues historiques qui décoraient cette église, le mausolée où fut déposé le coeur d'Agnès Sorel, tout, en fait d'ornementation, a disparu dans cette illustre abbaye. Que de regrets ne doit-on pas éprouver aujourd'hui à la vue de ces immenses débris, en songeant que ces tristes mutilations auraient pu être évitées si l'on eût donné à l'église abbatiale de Jumièges la même destination qu'à celles de Saint-Georges de Bocherville et de Saint-Ouen de Rouen, qui, toutes deux, sont devenues églises paroissiales.

Le propriétaire actuel de ces ruines veille heureusement à leur conservation, et manifeste hautement ainsi son respect pour les vieux souvenirs.

De l'ancienne maison du concierge, il a fait une résidence d'été et presque un musée d'antiquités. La place où reposait le coeur d'Agnès Sorel est indiquée par une plaque de marbre noir. La dame de beauté mourut au Mesnil-sous-Jumièges ; on y montre encore un vieux manoir qu'elle a, dit-on, habité et où se retrouvent des cheminées du quinzième siècle assez curieuses. Agnès Sorel fut une des bienfaitrices de l'abbaye de Jumièges et les moines réclamèrent son coeur, tandis que ses dépouilles mortelles furent transportées à Loches, en Touraine.

L'abbaye de Jumièges fut fondée en 654 par saint Philibert, sur les ruines d'un château romain brûlé par les barbares. Les premières religieuses, au nombre de soixante-dix, adoptèrent la règle de Saint-Benoît, et devinrent célèbres par leur piété. Sous Clovis II, un miracle ajouta encore à la réputation de leur maison. Ce roi, dit la légende, était parti pour la terre sainte, laissant à ses fils le soin de gouverner le royaume, sous la surveillance de leur mère Bathilde. Mais les deux jeunes princes s'insurgèrent contre leur mère. Clovis II, averti par un songe, revint sur ses pas, combattit les deux révoltés et, les ayant faits prisonniers, les condamna à l'énervement. Ce supplice consistait à avoir les nerfs ou plutôt les muscles des jarrets cuits ou coupés ; les antiquaires n'ont pu se mettre d'accord sur ce point. Quoiqu'il en soit, les deux malheureux princes ainsi mutilés, devinrent pour leurs parents un objet de perpétuelle douleur. Chaque fois qu'il les voyait, Clovis II ne pouvait s'empêcher de répéter à Bathilde :

« Ah ! dame, comment pourrons nous voir toute notre vie et endurer la tribulation de nos enfants ? » La reine, qui avait le coeur également déchiré par ce spectacle, conseilla enfin au roi de placer les deux énervés dans un bateau que l'on abandonnerait au cours de la Seine, afin que Dieu les conduisît où ils devaient trouver le repos. Clovis consentit à cet essai ; les princes furent déposés dans nue barque, en présence d'un peuple immense, et le fleuve les conduisit à Jumièges où les moines les reçurent et en prirent soin. Un monument récemment découvert au milieu des décombres de l'abbaye semblerait, au premier abord, confirmer celte légende : il consiste dans les effigies mutilées de deux jeunes hommes en costume royal, la tête ceinte d'une couronne et que l'on suppose être les énervés. Mais, le style de ce tombeau appartient au troisième siècle, et les costumes sont du temps de saint Louis taudis que le fait raconté par la légende se rapporte au septième siècle ! On objecte de plus que Clovis II n'eut que trois fils, Clotaire, Thierry et Childéric qui ne furent point énervé, et qu'il laissa encore enfants lorsqu'il mourut à l'âge de vingt-six ans. Nous abandonnons aux érudits le soin de résoudre ces difficultés et de faire concorder la légende, l'histoire et le monument récemment découvert.

L'abbaye de Jumièges subit toutes les vicissitudes auxquelles le royaume lui-même fut exposé, et son histoire se lie aux principaux événements de la monarchie.

L'abbaye de Jumièges subit toutes les vicissitudes auxquelles le royaume lui-même fut exposé

Histoire de l'abbaye de Jumièges

Les religieux de Jumièges, enrichis par les dons qui leur avaient été faits, employèrent une portion de cette richesse au rachat des captifs. Ceux-ci, ramenés en France, s'attachaient, pour la plupart, à leurs libérateurs, soit en se faisant moines, soit en restant au monastère comme travailleurs libres. De cette manière, la population de Jumièges alla toujours croissant et s'éleva, dans le VIIe siècle, jusqu'à neuf cents moines et quinze cents frères convers !

On cultivait les lettres à Jumièges, et surtout les langues dont les religieux avaient besoin dans les voyages qu'ils entreprenaient pour délivrer les captifs.

Filibert, auquel on devait principalement la prospérité du monastère, s'étant trouvé compromis, à tort ou à raison, dans une sorte de conspiration contre l'evêque saint Ouen, celui-ci le fit arrêter et emprisonner dans la tour d'Alvarède, à Rouen. Sa captivité se prolongea assez longtemps, et lorsqu'il recouvra enfin la liberté, il ne fit, pour ainsi dire, que traverser Jumièges, et alla fonder un nouveau monastère à Villiers, dans le pays de Caux. Cet établissement terminé, il retourna dans le Poitou, et mourut à Noirmoutier le 20 août 681.

Il eut pour successeur saint Ayehadre. Celui-ci, devenu vieux et sentant sa fin prochaine, s'effraya de laisser tant de frères, qu'il avait eu le bonheur de maintenir en état de grâce, exposés à tous les dangers de la tentation. Il pria, en conséquence. Dieu avec une grande ferveur, et, la nuit suivante, comme il veillait encore, il aperçut un ange qui parcourait les dortoirs, touchant d'une baguette certains moines. Il en toucha ainsi trois cents, et saint Ayehadre lui ayant demandé quelle était la signification de ce qu'il venait de faire, l'ange lui répondit que ceux qu'il avait touchés étaient murs pour le ciel et qu'ils mourraient dans quatre jours. Saint Ayehadre avertit le lendemain les élus, qui reçurent le saint viatique avec grande allégresse, et moururent tous au jour indiqué.

On voyait autrefois, dans l'abbaye de Jumièges, une fresque et un bas-relief qui rappelaient le souvenir de cet événement.

M. Deshayes, auteur d'une Histoire de l'abbaye de Jumièges, explique ce miracle en disant que les moines furent attaqués de la peste, qui en enleva quatre cent quarante-deux en trois jours.

Parmi les successeurs de saint Ayehadre, on distingua saint Hugues, qui enrichit l'abbaye ; l'abbé Landric, qui eut à garder le duc de Bavière, Tassillon, et son fils Théodore, que Charlemagne avait condamnés à se faire moines ; enfin Rodolfe, sous lequel le couvent fut détruit par les Danois que commandait Hasting.

Les Normands continuèrent à ravager le pays, jusqu'à ce qu'on leur eût abandonné la Neustrie. Alors deux religieux, qui avaient échappé au premier massacre des Danois, Baudouin et Gondouin, revinrent habiter les ruines de Jumièges. Ils retrouvèrent, au milieu des décombres, un autel qu'ils recouvrirent d'un toit de feuilles et sur lequel ils célébrèrent l'office divin. Le duc Guillaume Longue-épée, fils de Rollon, ayant un jour conduit sa chasse de ce côté, rencontra les deux religieux, apprit d'eux l'histoire du monastère, puis se retira, refusant dédaigneusement l'eau et le pain d'orge qu'ils lui avaient offerts ; mais peu d'instants après, s'étant trouvé en face d'un sanglier, celui-ci le renversa , et, au moment où tout espoir semblait perdu, se retira sans le blesser. Guillaume pensa que Dieu avait voulu lui donner un avertissement ; il retourna sur-le-champ près des deux moines, accepta leur grossière nourriture et leur donna assez d'argent pour relever une partie de l'abbaye. Il voulut même, peu après, y entrer comme religieux ; mais le nouvel abbé l'en détourna et se contenta de lui donner un froc, un scapulaire et une discipline, que le duc renferma dans une cassette dont il avait toujours la clef sur lui.

Dans le Xe siècle, l'abbé Annou fit composer un poème latin de deux cents vers sur l'origine, la destruction et la restauration de Jumièges. Cette histoire fut gravée pur fragments sur des lames de cuivre, que l'on scella dans les murailles du cloître.

Sous Thierry, les études fleurirent à Jumièges. Il y existait des écoles intérieures pour les moines et extérieures pour les laïques. Les pauvres recevaient, outre l'instruction , la nourriture.

Richard II, duc de Normandie, protégeait beaucoup l'abbaye ; toutes les fois qu'il y venait, il déposait, dans le plat aux oblations, un marc d'or ou d'argent ; un jour, il y jeta un morceau d'écorce d'arbre, et comme les spectateurs s'étonnaient du présent, il dit que cette écorce était un symbole, qui désignait le bois et le manoir de Vimoutiers dont il faisait présent à l'abbaye.

Edouard le confesseur, roi d'Angleterre, fut élevé à Jumièges.

Godefroy agrandit la bibliothèque du monastère et institua un service pour le repos de l'âme de tous les auteurs, copistes ou donateurs de livres.

Un des moines, connu sous le nom de Guillaume de Jumièges, écrivit une histoire intitulée : de Ducibus Normanniae, qui nous est restée, et où se trouve un grand nombre de documents précieux.

Guillaume le Conquérant voulut que le monastère de Jumièges eût part à la curée de l'Angleterre, et il lui lit don de l'île d'Helling, dans le Norfolk, qui rapportait onze cents écus d'or.

Quelques historiens ont prétendu que le serment extorqué à Harold, par lequel il promettait à Guillaume le Conquérant de l'aider à monter sur le trône d'Angleterre, fut prêté à Jumièges; mais le fait paraît peu probable.

A cette époque, beaucoup de mourants tenaient à rendre le dernier soupir en habit de moine, et plusieurs se faisaient transporter à Jumièges dans cette intention ; s'ils guérissaient, ils devaient entrer dans le monastère, à moins que le malade ne fût une femme ; dans ce dernier cas, on lui assignait une habitation dans le village, où la moinesse (c'était le nom consacré), recevait chaque jour sa pitance, comme les autres religieux.

Certains seigneurs, prétendant qu'ils avaient le droit de gîte à Jumièges, forçaient les religieux à nourrir leurs meutes et leurs veneurs ; ce droit fut enfin aboli dans le XIIIe siècle. A la même époque, ou voit pour la première fois les abbés pourvus d'un écuyer. L'écuyer devait suivre l'abbé dans ses voyages, manger à sa table et coucher dans sa chambre. En temps de guerre, il enrôlait, exerçait et commandait les soldats destinés à défendre l'abbaye.

Celle ci n'avait plus que soixante religieux et possédait, entre autres richesses, une argenterie considérable. Elle consistait, pour l'usage du réfectoire seulement, en deux arbres ou chandeliers à langue de serpent, soixante-trois tasses d'argent, vingt coupes de madré ou pierre d'onyx, onze pots et trois pintes, cinquante-neuf écuelles, quatre-vingt-dix-huit cuillers, cinquante petits plais à portions, deux grands bassins à laver, dix corbeilles à mettre le fruit, deux drageoirs avec leurs cuillers, deux huiliers et trente-quatre amarres ou chaînes d'or pur.

La défaite du roi Jean à Poitiers amena de grands malheurs pour l'abbaye de Jumièges. Elle fut prise, en 1358, par huit cents hommes, qui la pillèrent pendant six jours. Les religieux s'enfuirent et les terres restèrent en friche. Enfin l'abbé Nicolas ramena les moines au monastère. Cet abbé s'était mis sous la protection des Anglais et participa à la honteuse condamnation de Jeanne d'Arc à Rouen. Après le cardinal de Winchester et Cauchon, évêque de Beauvais, l'abbé Nicolas fui celui qui montra le plus d'acharnement contre la libératrice de la France.

Lorsque Charles VII eut reconquis son royaume, les moines de Jumièges revinrent à des sentiments plus patriotiques et reçurent le roi dans leur abbaye. Agnès Sorel habitait non loin de celle-ci, au Mesnil, un château nommé le Manoir, et ce fut là qu'elle mourut. Elle légua, par testament, à l'abbaye de Jumièges, huit cents saluts d'or fin de soixante-deux au marc, et demanda que son coeur fût conservé dans le monastère, tandis que son corps devait être envoyé à Loches. Ses dernières volontés furent accomplies. On lui éleva, au milieu de la chapelle de la Vierge, à Jumièges, un tombeau de marbre noir surmonté d'une statue qui représentait la dame de beauté offrant sou coeur à la mère du Christ.

Ce monument fut détruit pendant la révolution.

Simon Dubosc abbé de Jumièges au XVe siècle.

Au XVe siècle , les religieux de Jumièges étaient dans l'usage de donner à dîner aux vieilles femmes le jour de sainte Pétronille, appelé la fêle aux vieilles. Il s'en présentait quelquefois jusqu'à cent. On leur donnait de la soupe et du pain à discrétion, deux oeufs, un plat de poisson et une bouteille de bière ou une pinte de vin de Conihout.

On ne trouve rien de remarquable dans l'histoire de l'abbaye jusqu'aux guerres de religion. A cette époque, les protestants attaquèrent Jumièges et pillèrent le monastère. Les religieux, qui s'étaient enfuis, revinrent après leur départ et lâchèrent de réparer leurs pertes ; mais la continuation de la guerre les exposant à des déprédations constantes, ils obtinrent enfin une sauvegarde des deux partis, ce qui acheva de les ruiner, car tous les gens du pays, sachant que Jumièges était un asile sûr, s'y réfugièrent.

La même cause amena les mêmes résultats lors de la guerre de la Fronde.

La conduite des moines s'étant relâchée, avait amené, à deux reprises différentes, des réformes toujours difficilement introduites et toujours abandonnées, au bout de quelque temps. Ce relâchement n'empêchait pas l'intolérance et la superstition. Un des moines de Jumièges, Pierre Barré, fut, avec le père Joseph, le juge et l'accusateur d'Urbain Grandier, condamné comme sorcier. Un abbé de la même abbaye avait déjà aidé, comme nous l'avons dit, à la condamnation de Jeanne d'Arc pour le même motif, et, eu 1606, les moines firent encore mettre en jugement un malheureux qu'ils accusaient d'avoir fait monter les eaux de la Seine par sorcellerie.

Bien qu'il reste peu de chose de cet immense établissement, les ruines qui ont résisté aux ravages du temps et des hommes, suffisent encore pour donner une idée de ce que fut ce monastère. Les murailles de la nef de la grande église subsistent encore. Elles sont construites dans le style saxon, et leur fondation remonte à Guillaume le Conquérant. En 1820, on voyait encore, au haut des murailles, des sculptures du dix-septième siècle, parmi lesquelles se faisait remarquer un ange adorateur qui était un chef d'oeuvre ; ces précieux échantillons de l'art français oui été descellés du mur et transportés en Angleterre.

Le tombeau d'Agnès Sorel qui se trouvait, comme nous l'avons dit, dans la chapelle de la Vierge, fut détruit à l'époque de la révolution. Le marbre qui le recouvrait a été transporté à Rouen pour former le perron d'une maison placée au haut de la rue Saint-Maur, près le Mont aux Malades. On peut encore y lire ce fragment d'épitaphe:

DAME DE BEAUTÉ, DE ROQUE PERRIERE, D'ISSOUDUN ET DE VERNON SUR SEINE ; PITEUSE ENTRE TOUTES GENS, ET QUI LARGEMENT DONNOIT DE SES DENIERS AUX ÉGLISES ET AUX PAUVRES : LAQUELLE TRÉPASSA

De toutes les statues que renfermait l'église de Jumièges, on n'a sauvé que celle de saint Valentin, qui se trouve à l'entrée du choeur de l'église de Guerbeville, et un Saint-Sépulcre en marbre, porté à Caudebec. Les décorations les plus curieuses de la petite église, dédiée à saint Pierre, ont été transportées en Angleterre.

Source : La Mosïque de l'Ouest et du centre par Émile Souvestre

Localisation et informations générales

  • identifiant unique de la notice : 155597
  • item : Ancienne abbaye
  • Localisation :
    • Haute-Normandie
    • Seine-Maritime
    • Jumièges
  • Code INSEE commune : 76378
  • Code postal de la commune : 76480
  • Ordre dans la liste : 4
  • Nom commun de la construction :
    • La dénomination principale pour cette construction est : abbaye
  • Etat :
    • L'état actuel de cette construction ne nous est pas connue.

Dates et époques

  • Périodes de construction :
    • Nous n'avons aucune informlation sur les périodes de constructions de cet édifice.
  • Type d'enregistrement : parc naturel régional
  • Dates de protection :
    • 1918/01/15 : classé MH
    • 1921/12/26 : classé MH
    • 1947/10/21 : classé MH
  • Date de versement : 1993/09/15

Construction, architecture et style

  • Materiaux:
    • non communiqué
  • Couverture :
    • non communiqué
  • Materiaux (de couverture) :
    • non communiqué
  • Autre a propos de la couverture :
    • non communiqué
  • Etages :
    • non communiqué
  • Escaliers :
    • non communiqué
  • Décoration de l'édifice :
    • non communiqué
  • Ornementation :
    • non communiqué
  • Typologie :
    • non communiqué
  • Plan :
    • non communiqué

Monument et histoire du lieu

  • Interêt de l'oeuvre : Classement 1862 (Liste) (abbaye), déclassement 21 03 1888.
  • Eléments protégés MH (Monument Historique) :11 éléments font l'objet d'une protection dans cette construction :
    • escalier
    • salle
    • cellier
    • parc
    • TERRAIN
    • souterrain
    • sous-sol
    • église
    • sol
    • salle capitulaire
    • ARC
  • Parties constituantes :
    • non communiqué
  • Parties constituantes étudiées :
    • non communiqué
  • Utilisation successives :
    • non communiqué

Autre

  • Divers :
    • Autre Information : propriété du département 1992
  • Détail :
    • Eglise abbatiale
    • église Saint-Pierre
    • salle capitulaire
    • grand cellier occidental
    • caves
    • souterrains
    • escalier conduisant au potager : classement par arrêté du 15 janvier 1918 - Les terrains d' une superficie d' environ trois hectares environnant les ruines de l' abbaye : classement par décret du 26 décembre 1921 - L'ensemble de l'ancienne abbaye et le parc attenant : classement par arrêté du 21 octobre 1947
  • Référence Mérimée : PA00100726

photo : joel.herbez

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