Le premier objet qui attire l'attention, quand on approche d'Anzy, c'est l'élégante tour octogone qui s'élance au-dessus du prieuré et se détache sur l'azur du ciel. Ce n'est pas, sans doute, le Campanile de Florence, ce bijou que Charles-Quint aurait voulu renfermer dans un étui d'or. La tour d'Anzy, toutefois, est admirable par sa forme et ses proportions, et encore il lui manque sa flèche d'autrefois, détruite par le feu du ciel le 22 mai 1652. Aujourd'hui, le toit octogone à tuiles creuses est presque plat.