photo : Bruno Bisanti
Soutenues par un arrière-pays à forte population bovine, les tanneries de Maringues travaillaient différentes sortes de peaux ; celles-ci étaient soumises au travail de rivière dans l'eau courante, traitées dans les cuves, apprêtées et séchées dans les étendoirs en essentages de planches à l'étage. Les bâtiments, construits en pierre volcanique et à ossature de bois possèdent une couverture de tuiles et ne présentent pas d'éléments de datation précis (peut-être du 17e siècle). Sont conservés les ateliers de tanneur et de cirier ; un éco-musée présente de travail du cuir en rivière.