Eglise paroissiale Saint-Médard

Diocèse de Thérouaime, puis Boulogne. Commune du canton d'Ardres, arrondissement St-Omer. Chapitre de six chanoines, fondé dans l'église paroissiale St-Médard pour Antoine, grand bâtard de Bourgogne, décédé en 1504 ; probablement disparu avec la ruine de la ville en 1542. (Revue Mabillon : archives de la France monastique)

Histoire

Autrefois ville et chef-lieu d'une des quatre châtellenies du comté de Guines, actuellement réputé bourg, est situé dans la ci-devant province d'Artois, à 16 minutes de longitude occidentale du méridien de Paris et 50 degrés 48 minutes de latitude septentrionale, dans une vallée étroite que parcourt de l'ouest-sud-ouest à l'est-nord-est la rivière de Hem ou de Saint-Louis.

Tournehem est distant de deux lieues sud-est d'Ardres, deux lieues sud-sud-ouest d'Audruicq, trois lieues est-sud-est de Guines, quatre lieues ouest-nord-ouest de Saint-Orner, six lieues sud-est de Calais et une demi-lieue de la grande route de Saint-Orner à Calais.

Ce lieu existait lorsque les légions romaines pénétrèrent dans la Morinie, l'an de Rome 697, ou 57 ans avant l'ère vulgaire et consistait alors en un château fort garni de tours, d'où est venu, selon Malbrancq, la dénomination de Tournehem, du latin à Turribus.

César s'empara de ce château et y fit quelque séjour pour l'avantage de sa cavalerie. Environ deux siècles et demi après, c'est-à-dire en 218, Septime-Sévère, autre empereur romain, fit camper dans le voisinage de Tournehem (sur la montagne de Saint-Louis), une partie de son armée destinée pour une expédition contre la Grande-Bretagne, qu'il effectua glorieusement la même année.

Peu après la retraite des Romains et à leur imitation, les rois francs établirent dans les provinces des chefs auxquels ils donnèrent les titres de ducs et de comtes. En 447 Clodion nomma Flandbert, son neveu, gouverneur des frontières maritimes de la Morinie, depuis la Canche jusqu'à l'Escaut. Ce dernier ayant été tué en 451, en combattant Attila, roi des Huns, dans les plaines de la Champagne, laissa deux fils, Léger Ier et Chararic. Le premier succéda à son père dans le gouvernement des frontières maritimes de la Morinie, épousa Gania, fille d'Arthur, roi de la province de Cornouailles, en Angleterre, et devint 1er comte de Boulogne. Le second fut établi roi de la Morinie par Childéric Ier, en 458. Son successeur, Clovis Ier, trop jaloux de son autorité pour la voir partagée, songea à se défaire de ces petits rois, auxquels le nom de comtes aurait peut-être mieux convenu ; Ragnacaire, roi du Cambresis et de l'Atrebatie, et Chararic, roi de la Morinie, devinrent en 510, les malheureuses victimes du violent despotisme de ce premier roi chrétien. Après cet acte de sévérité, exercé dans un temps où l'on ignorait les procédures juridiques, il s'empara de leurs états, et les gouverneurs qu'il établit dans l'Atrebatie et la Morinie, avec le titre de ducs ou de comtes, furent ses tributaires. A la mort de Clovis, en 511, ses quatre fils partagèrent ses états : la Picardie, la Normandie et la Flandre firent partie du royaume de Soissons, où régnait Clotaire Ier ; la Morinie, qui était incorporée dans ce royaume, avait pour sa défense quatre places fortes, désignées par les historiens dans l'ordre suivant : Boulogne, Amiens, St-Pol et Tournehem. Arthur, sans avoir égard aux dispositions testamentaires de Clovis Ier, revendiqua en faveur de son Neveu Leger II, les possessions qui formaient le patrimoine de ses ancêtres : il débarqua aussitôt à Boulogne (en 511), s'empara de cette ville, marcha ensuite sur Amiens, s'en rendit également maître, ainsi que de Saint-Pol et de Tournehem. Clotaire, sentant probablement la justice des prétentions que l'on formait, ou craignant de s'engager dans une guerre avec un ennemi redoutable, céda ce pays à titre de fief relevant de sa couronne, avec la qualité de comte de Boulogne. En 628, la Morinie fut annexée à ce comte, et en 917, Charles-le-Simple réunit le comté de Boulogne à celui de Flandre.

En 928, Sifrid, seigneur danois, s'empara de Guines, le fit fortifier, et en fut reconnu premier comte par Arnoul Ier, comte de Flandre, qui lui donna ensuite en mariage sa fille Elstrude. Alors Guines, Ardres, Audruick et Tournehem, principaux endroits de ce comté, furent érigés en châtellenies.

En 1117, Manassès, sixième comte de Guines, donna celle de Tournehem en fief à son neveu Arnoul de Gand, qui devint dans la suite neuvième comte de Guines.

Vers l'an 1170, Arnoul d'Ardres fit réparer le château de Tournehem, et Baudouin II, comte de Guines, décédé en 1205, en fit renouveler les murailles.

En 1346, les Anglais, après avoir pris Thérouane, se présentèrent devant Saint-Omer ; Gui de Nesle, qui s'y était enfermé pour le défendre, sortit de cette place accompagné de la noblesse du Boulonnais et d'Aire, mit les ennemis en fuite, s'empara de Tournehem et fit passer au fil de l’épée 600 Anglais qui s'y étaient réfugiés.

En 1350, après la mort violente de Raoult II, seizième et dernier comte de Guines, le roi Jean réunit Tournehem au domaine de sa couronne.

En 1352, les Anglais, maîtres de Calais et de Guines, après avoir fait inutilement le siège d'Ardres, qu'ils prirent peu après, poussèrent leurs ravages jusqu'à Audruick et Tournehem, dont ils s'emparèrent. Dès lors, le pays ne cessa d'être en proie aux irruptions des garnisons anglaises de Calais, de Guines et d'Ardres jusqu'en 1377, que le roi Charles V réprima ces hostilités par de sages mesures, qui eurent pour résultat la reprise d'Ardres, d'Audruick et de Tournehem, et de resserrer en outre les Anglais dans Calais.

En 1479 Louis XI donna Tournehem à Antoine, fils naturel de Philippe-le-Bon duc de Bourgogne, qui y fut inhumé en 1504.

Par une des dispositions du traité de paix conclu à Cambrai, le 5 août 1529, François Ier céda Tournehem et sa dépendance à l'empereur Charles-Quint.

En 1542, la guerre ayant éclaté de nouveau entre ces deux souverains, le duc de Vendôme pénétra en Artois, s'empara du château de la Montoire, dont la garnison espagnole incommodait celle française d'Ardres, et fit ensuite raser cette antique forteresse, désignée du temps de Jules-César sous le nom de Promontorium (Promontoire), à cause de sa situation sur le bord du golfe ltius.

Le comte de Rœux, commandant pour les Espagnols, essaya vainement de s'opposer aux succès de l'armée française en Artois : ayant joint le duc de Vendôme près de la Montoire, on en vint à un combat. Outre 3 à 400 prisonniers qu'on fit aux Espagnols, ceux-ci perdirent encore un grand nombre des leurs, qui, en cherchant leur salut dans la fuite par Ruminghem et Watten, se noyèrent dans les rivières et canaux dont le pays est entrecoupé.

Tel a été le résultat de cette action, appelée par les historiens la journée des Plongeons.

Le duc de Vendôme fit ensuite le siège de Tournehem, que l'on regardait alors, suivant l'histoire, comme une des fortes places du pays, possédée par le seigneur de Bevre. La garnison, malgré sa résistance, fut obligée de se rendre, après avoir essuyé pendant cinq jours le feu des assiégeants, et le château fut détruit. Les Espagnols étant rentrés en possession de ces deux forteresses, en vertu du traité de paix conclu à Crespy, le 18 septembre 1544 les firent rétablir, pour garantir leurs frontières des incursions des garnisons d'Ardres et de Calais.

En 1595, le 17 janvier, la France ayant déclaré la guerre à l'Espagne, au mois de mai suivant, le maréchal d'Humieres, après avoir pris et fait démolir le château de la Montoire, investit Tournehem. Le 7 du même mois il fît sommer la garnison espagnole de se rendre ; celle-ci ayant manifesté l'intention de se défendre, il fit établir le lendemain 8, une batterie composée de trois pièces de canon, qui tira pendant trois heures avec tant de succès, que les assiégés, convaincus sans doute de l'inutilité d'une plus longue résistance, demandèrent à capituler, ce qui leur fut accordé. Pendant qu'on était à parlementer, les assiégeants entrèrent par la brèche et passèrent au fil de l'épée tout ce qui se présenta. Un sergent, nommé Coubronne, que M. de la Motte avait établi chef du poste, fut pendu à la porte du château ; ensuite le maréchal fit raser cette forteresse avec plusieurs maisons, et transporter les objets les plus précieux à Ardres. Il ne reste aujourd'hui de ce château que la majeure partie des remparts et de la porte d'entrée, qui indiquent son ancienne importance.

On prétend, d'après la tradition, qu'il existe un souterrain par lequel on communiquait de cette forteresse à celle de la Montoire, qui en était distante d'une lieue au nord-nord-ouest ; mais on n'a jamais pu découvrir cette prétendue communication.

On voit encore plusieurs souterrains très-bien voûtés qu'on ne peut pas entièrement parcourir à cause du défaut d'air, dans lesquels on a trouvé des cheminées, des chambres, des fours, des ferrailles de toute espèce, un petit canon, des bombes, des boulets, un petit baril rempli de poudre, des dards, des flèches, des clous à quatre pointes pour empêcher l'approche de la cavalerie, et une infinité d'autres objets.

Il n'y a à Tournehem qu'une seule église paroissiale, autrefois collégiale, dédiée à S. Médard, qui est assez belle.

La ville et châtellenie de Tournehem avait une coutume particulière en huit articles, décrétée par lettre-patente du roi, du 26 septembre 1743, registrée au conseil provincial d'Artois, le 7 mai 1744, à laquelle les habitants furent obligés de se conformer ; et pour les cas imprévus, à celle du bailliage de St-Omer, ou à celle générale d'Artois, jusqu'à l'adoption du code civil eu 1804. Antérieurement à cette coutume locale, il en existait une autre contenant cinquante-cinq articles, divisés en quatre titres, suivie de plusieurs statuts et ordonnances faits par le seigneur de Bevre, dont j'ai parlé, contenant cinquante-sept articles, divisés en deux chapitres, suivant la copie que j'ai vue, certifiée par le greffier sous la date du 20 mai 1625.

Elle avait aussi un bailliage, un échevinage et une maîtrise des eaux-et-forêts. Le bailliage était composé d'un bailli, d'un lieutenant-général, d'un procureur du roi, de quatre hommes de fief et d'un greffier. Il connaissait des matières civiles et criminelles dans toute l'étendue de la châtellenie, sous le ressort et par appel au bailliage de Saint-Omer.

La maîtrise des eaux et forêts, créée par édit du mois d'août 1693, et par déclaration du roi du 5 février 1694, était composée d'un maître particulier, d'un lieutenant, d'un procureur du roi, d'un garde-marteau, d'un greffier et d'un receveur des amendes. Elle connaissait dans l'étendue de sa juridiction des cas royaux en matières civiles et criminelles, sous le ressort immédiat du conseil provincial d'Artois, sauf l'appel, en matière civile seulement, à la table de marbre du palais à Paris, jugeant au souverain avec les officiers de la cour du parlement.

Les bourgeois et habitants de la ville et banlieue de Tournehem, suivant l'article 5 de la coutume locale, avaient part au bois communal, nommé le Carnoy, et ne pouvaient vendre cette part, sous peine d'amende et d'en être en outre privés pour un an.

D'après la nouvelle organisation administrative et judiciaire établie en France en 1790, et la création des conservations forestières en 1801, Tournehem fut privé de son bailliage, de son échevinage et de sa maîtrise des eaux et forêts. Par sa position topographique, il devint chef-lieu de canton de douze communes, qui étaient Tournehem, Audrehem, Clerques, Guémy, Herbinghem, Journy, Nordausque, Mentque, Nortleulinghem, Nortbécourt, Rebergues et Recques. Comme commune, il eut une municipalité chargée de l'administration locale sous le ressort de celle du district de Saint-Omer; et comme chef-lieu de canton, une justice de paix qui connaissait, en dernier ressort, des causes purement personnelles et mobilières jusqu'à la valeur de cinquante francs, et jusqu'à celle de cent francs, sujettes à appel au tribunal du district.

Vers la fin de 1795, les administrations de districts furent supprimées avec leurs tribunaux et remplacées par des administrations cantonales et un tribunal civil par département ; Tournehem devint alors le siège d'une administration municipale, subordonnée à celle centrale du département, composée de la réunion des maires ou agents municipaux des communes, d'un président et d'un commissaire du gouvernement chargé de requérir et surveiller l'exécution des lois. Quant aux jugements susceptibles d'appel rendus par le juge de paix, ils ressortirent par attribution au tribunal civil du département, séant à Saint-Omer.

Les choses restèrent en cet état jusqu'au commencement de l'an 1800, que l'on divisa les départements en arrondissements communaux ; de celui du Pas-de-Calais on en forma six, qui eurent pour chefs-lieux Boulogne, Saint-Omer, Béthune, Arras, Saint-Pol et Montreuil. On confia à un préfet l'administration de chaque département, et à un sous-préfet celle de chaque arrondissement communal : enfin on remplaça chaque tribunal civil de département par un tribunal de première instance dans chaque chef-lieu d'arrondissement ; par ce changement, Tournehem se trouva être du ressort administratif et judiciaire de Saint-Omer, et réduit à une administration locale composée d'un maire et d'un adjoint, comme toutes les communes dont la population est inférieure à 2500 habitants.

En 1801, d'après une nouvelle délimitation de cantons, ceux de Tournehem et d'Ardres furent réunis, et le chef-lieu fut fixé à Tournehem, point central, qui se trouva alors composé de 24 communes, dont la désignation suit :

Tournehem, Ardres, Audrehem, Autingues, Balinghen, Bayenghem-lez-Eperlecques, Boningues-lez-Ardres, Brèmes, Clerques, Eperlecques, Guémy, Journy, Landrethun, Louches, Mentque, MuncqNieurlet, Nielles-lez-Ardres, Nortdausque, Nortbécourt, Nortleulinghem, Rebergues, Recques, Rodelinghem et Zouafques. *

En 1803, les habitants d'Ardres, par leurs sollicitations motivées sous des prétextes plus spécieux que réels, obtinrent l'établissement du chef-lieu en leur ville, quoiqu'elle soit située à l'extrémité septentrionale du canton, dès lors Tournehem perdit son tribunal de paix.

Ce bourg avait anciennement un marché public fixé au mercredi de chaque semaine, maintenant il n'a plus qu'une foire assez renommée qui se tient le 22 juillet de chaque année, où l'on vend toute espèce de bestiaux, et principalement des chevaux.

Son territoire inégal, difficile et peu fertile, lui fournit peu de ressources, malgré le voisinage de sa forêt.

Deux voies romaines, qui subsistent encore en partie, assuraient à Tournehem des communications faciles et constantes pour la marche des troupes, le transport des denrées et des munitions de guerre. L'une de ces voies, attribuée à César, partait directement de Thérouane, et l'autre, que l'on prête à Agrippa, gouverneur de la Gaule belgique, partait de Cassel (Castellum Morinorum), passait par Wattên (Vaganum), à l'endroit le plus étroit du golfe Itius, défendu sur la rive orientale par le château de Watten, et sur celle occidentale par le fort Wich, dont il reste encore quelques vestiges; de là elle venait joindre la première à Tournehem. Après cette jonction, ces deux routes n'en formèrent plus qu'une vulgairement nommée chemin de Leulene, qui allait aboutir directement à Sangatte, village situé sur la côte, à une lieue ouest de Calais, où Malbrancq prétend qu'était l'embouchure du port Itius, quoique tout porte à croire qu'elle était au fort Nieulai, entre Calais et Sangatte, comme je l'ai précédemment exposé dans la notice historique de Saint-Omer.

Tournehem renferme 150 maisons et 742 habitants. Sa superficie totale est de 1452 hectares (ou 4066 arpens à peu près) ancienne mesure locale, et ses contributions étaient en 1815, de 4631 francs, y compris les centimes additionnels, mais sans les augmentations dont les circonstances ont exigé la perception ce qui présente une contribution de 6 francs 24 centimes un huitième par tête.

Année commune, prise sur une période de six ans, le nombre de naissances est de 25 ; celui des mariages de 6 ; et celui des décès de 19. On voit donc que la proportion des naissances est à la population de 1 à 30 à peu près ; celle des mariages de 1 à 124 ; et celle des décès de 1 à 39.

Peu sert maintenant à Tournehem d'avoir été un lieu notable avant l'érection des villes voisines ; d'avoir été le séjour momentané du plus grand capitaine de Rome, et d'avoir été, dès le commencement du Xe siècle, sous Sifrid-le-Danois, chef-lieu d'une des quatre châtellenies du comté de Guines : ces vieux souvenirs sont si peu partagés, qu'on peut les rappeler sans exciter l'envie.

Source : Notice historique de saint-Omer, suivie de celles de Thérouane et Tournehem par Pierre Jean M. Collet

photo pour Eglise paroissiale Saint-Médard

Localisation et informations générales

  • identifiant unique de la notice : 161551
  • item : Eglise paroissiale Saint-Médard
  • Localisation :
    • Nord-Pas-de-Calais
    • Pas-de-Calais
    • Tournehem-sur-la-Hem
  • Code INSEE commune : 62827
  • Code postal de la commune : 62890
  • Ordre dans la liste : 8
  • Nom commun de la construction :
    • La dénomination principale pour cette construction est : église
  • Etat :
    • L'état actuel de cette construction ne nous est pas connue.

Dates et époques

  • Périodes de construction : 3 différentes époques marquent l'histoire du lieu.
    • 15e siècle
    • 17e siècle
    • 18e siècle
  • Date de protection : 1974/08/28 : inscrit MH
  • Date de versement : 1993/11/03

Construction, architecture et style

  • Materiaux:
    • non communiqué
  • Couverture :
    • non communiqué
  • Materiaux (de couverture) :
    • non communiqué
  • Autre a propos de la couverture :
    • non communiqué
  • Etages :
    • non communiqué
  • Escaliers :
    • non communiqué
  • Décoration de l'édifice :
    • non communiqué
  • Ornementation :
    • non communiqué
  • Typologie :
    • non communiqué
  • Plan :
    • non communiqué

Monument et histoire du lieu

  • Eléments protégés MH (Monument Historique) :
    • Notre base de données ne comprend aucun élément particulier qui fasse l'objet d'une protection.
  • Parties constituantes :
    • non communiqué
  • Parties constituantes étudiées :
    • non communiqué
  • Utilisation successives :
    • non communiqué

Autre

  • Divers :
    • Autre Information : propriété de la commune 1992
  • Photo : 1743efff9a1ff66c428b3263ac5bd567.jpg
  • Détails : Eglise paroissiale Saint-Médard (cad. A 337) : inscription par arrêté du 28 août 1974
  • Référence Mérimée : PA00108434

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