Eglise et crypte

Le diocèse de Nevers offre des monuments chrétiens de toutes les époques. On place parmi ceux si rares en France de la période primordiale, la crypte parfaitement conservée de Saint-Parize-le-Chatel, don les six lourdes et courtes colonnes présentent à l'érudit des chapiteaux du plus grand intérêt. A la base du pourtour intérieur, un double degré probablement destiné à servir de siège aux fidèles, parcourt l'hémicycle prolongé de cet antique sanctuaire.

Notice de M. Chartron, curé de Saint-Parize-le-Châtel

L'église a 25 mètres de long sur 9 de large ; elle est d'architecture romane, sans doute de la fin du douzième siècle. La pierre tumulaire du curé sert aujourd'hui de marche pour monter à l'autel de la crypte. Cette crypte est haute de 3 mètres et large de 10 ; elle est partagée dans sa largeur, qui est de 7 mètres, par trois nefs à peu près égales. L'extrémité de la voûte est posée sur huit petites colonnettes, tout unies, adossées à la muraille ; l'autre extrémité, comme la voûte du milieu, porte sur six colonnes hautes de 2 mètres environ. Quatre de ces colonnes n'ont rien de bien remarquable ; leur soubassement est carré et tout uni ; le chapiteau est orné d'animaux entrelacés, de figures grimaçantes, ou seulement de feuilles d'acanthe, de fruits du pin, etc.

Mais le premier chapiteau de droite et le second de gauche sont ornés de figures assez grossièrement travaillées ; c'est ici que je voudrais exposer ma pensée. Sur les quatre faces du premier de ces chapiteaux, on voit d'abord un centaure perçant de sa flèche un daim, puis deux êtres humains exécutant certains tours de force, et au-dessus de deux angles une chouette et une tortue. Sur le second, c'est une sirène tenant dans ses mains ses deux queues recourbées ; un homme revêtu d'une robe à ceinture s'occupant d'une espèce de chaudière suspendue par un anneau ; un cochon jouant de la lyre, et un singe du violon ; une espèce de poisson ; enfin un homme accroupi, serrant dans ses deux mains des bourses fermées, et écoutant ce que lui dit à l'oreille un petit monstre, à dos et queue de poisson. Ces figures, on les rencontre souvent ; mais je doute qu'elles se montrent ainsi réunies dans la même enceinte. Or c'est cette réunion qui m'a fait penser que l'auteur de ces sculptures avait voulu personnifier les sept péchés capitaux. Voici comment j'explique sa pensée.

L'avarice peut-elle être mieux peinte que par cet homme qui a si grande peur de perdre ces bourses qu'il tient à deux mains ; le démon qui lui parle ne nous rappelle-t-il pas le intravit in eum Salarias de l'Évangile ? L'orgueil qui porte l'homme à s'élever au-dessus des autres ne serait-il pas représenté ici, et par ces hommes exécutant ces prodigieux tours de force évidemment au-dessus de la puissance humaine, et par ce singe et ce cochon qui, pour s'être emparés d'instruments réservés à l'être intelligent, n'en sont pas moins des animaux ? L'envie serait figurée par la chouette, qui, ne pouvant comme les autres oiseaux supporter la lumière du soleil, cherche à troubler leur repos par ses cris si tristes, si lugubres.

La luxure serait sans conteste personnifiée dans la sirène ; la gourmandise dans cette espèce de cuisinier occupé de sa marmite ; la colère par le centaure, et la paresse par la tortue. Quelques uns de ces emblèmes sont loin sans doute d'être frappants ; mais ne nous est-il pas dit qu'on peut aller à l'inconnu par le connu ? Or presque toutes ces figures sont sans contredit très caractéristiques. J'ai bien lu aussi quelque part qu'on ne doit pas chercher le symbolisme partout et toujours ; que souvent les artistes cédaient tout bonnement aux caprices de leur imagination, sans avoir de plan arrêté ; que parfois même ces figures grotesques étaient des traits de malice que se lançaient le clergé séculier et régulier par suite de rivalités. Cependant je persiste à croire que souvent aussi l'artiste chrétien avait un plan bien arrêté, un dessein bien formel, une pensée bien fixe (et vous pourriez en citer plus d'un exemple), surtout quand ces sculptures sont dues au même ciseau. Or, ici l'auteur de ces deux chapiteaux est évidemment le même ; c'est le même dessin, le même faire ; sa pensée ne serait-elle donc pas celle que je viens d'indiquer ?

L'interprétation proposée par M. l'abbé Chartron est assez plausible ; mais cependant il est probable que le sculpteur s'est livré à sa pure fantaisie en exécutant ces ornements. Dans toutes les époques, on préfère certains ornements à d'autres, en vertu du goût esthétique régnant, et la morale n'est pour rien dans ce choix. D'ailleurs il est possible que le sculpteur de Saint-Parize, guidé par une idée morale, ait représenté vaguement les vices ; mais il est fort douteux qu'il ait caractérisé chaque vice un à un, la luxure par une sirène, la colère par un centaure, etc., comme le croit M. Chartron. Du reste, dans l'état actuel de nos connaissances en iconographie chrétienne, il n'est pas possible de donner une explication positive des divers sujets sculptés à Saint-Parize ; il faut faire avec soin de nouvelles observations et contrôler les œuvres d'art par les traités de morale contemporains de ces œuvres. C'est par les monuments comparés entre eux et expliqués au moyen des textes qu'on pourra seulement arriver à une solution légitime.

Source : Bulletin archéologique 1842 / 1843

Le sarcophage de Saint-Parize-le-Chatel par Massillon Rouvet

Actuellement, l'église de Saint-Parize-le-Châtel semble relever plutôt de l'effet pittoresque que d'une étude archéologique. Cependant, l'abbé Bourrasse considérait ce monument comme « le plus précieux pour l'archéologie chrétienne du diocèse de Nevers. » Il rapportait sa construction à l'épiscopat de Hugues IV (de 1110 à 1120).

Si nous ajoutons qu'au XVe siècle l'abside a été remaniée extérieurement ; qu'en 1874 et 1875, la nef a été entièrement démolie, l'église reconstruite et agrandie d'un transept disproportionné ; que, vers cette même date, le Comité des Monuments historiques a heureusement pris en main la remise en état delà crypte ; qu'enfin, sa vieille façade a recouvré sa physionomie première, nous aurons dit du monument tout ce qu'il y a d'historiquement utile à la présente communication.

La partie la plus intéressante du travail a été exécutée sous ma direction. Les fouilles avaient amené la découverte d'un certain nombre d'objets qui m'ont paru curieux et dignes d'être signalés à votre attention.

C'est clans les fouilles des murs du transept sud, sur l'emplacement d'un cimetière, remontant à une haute antiquité et qui existe de ce côté seulement, que furent trouvés les objets suivants :

  1. Trois vases en terre ronge.
  2. Un fragment de brigantine de la fin du XIVe siècle; son mince intérêt ne nous invitait pas à le reproduire.
  3. Une custode en bronze doré, décorée de quatre médaillons occupés par des anges nimbés aux ailes éployées, que séparent des rinceaux. La gravure en semble indiquer la fin du XIIIe siècle.
  4. Une monstrance du XIVe. La figure ci-jointe la présente sous une de ses faces : elle était fermée par un verre à la face antérieure ; l'autre est décorée d'une ornementation d'ensemble sur laquelle s'enlève le dessin d'une main bénissante. D'ailleurs, nulle trace d'émaux sur ces deux derniers débris du mobilier sacré.

Outre ces objets que nous avons recueillis et déposés au musée de Nevers, on avait mis à nu un groupe de trois sarcophages. C'est sur l'un d'eux que je me suis proposé d'appeler plus particulièrement votre attention.

L'orientation de ces sarcophages présentait une particularité qui me frappa tout d'abord : deux d'entre eux étaient légèrement déviés vers l'est-sud-est ; le troisième, d'orientation tout à fait insolite, était dirigé du nord-est au sud-ouest.

Le sarcophage est lisse, plus étroit aux pieds qu'à la tête.

Au pignon de tête, le parement est décoré de sept croix sur le même plan, enlevées par un maigre défoncement (à peine quelques millimètres) et une opposition de taille rugueuse à une taille unie et lisse ; trois grandes croix dominent ; aux deux tiers de leur hauteur, les croisillons accusent un ruban horizontal en trois sections égales, leurs arêtes restant vives. Aux pieds, elles se soudent en lancette à deux croix moyennes inscrites dans deux rectangles intérieurs formés par les trois montants et les traverses des grandes croix. Au-dessus des croisillons, deux autres petites croix sont disposées symétriquement avec les moyennes. Elles forment par la réunion de leurs parties supérieures avec les grandes croix une série d'arcatures plein cintre. La tête de chacune des deux grandes croix extrêmes rejoint les arêtes en formant demi-arcature, et leur pied, de ce même côté, n'a qu'un simple évasement. Dans les compartiments déterminés par les bras extérieurs, se découpent quatre feuilles cordiformes de grande dimension.

Deux palmettes adossées et contiguës épousent en silhouette la forme des cintres intérieurs formés par la réunion des petites aux grandes croix. Enfin, dans les quatre petits carrés formés par les croisillons des trois grandes croix et des deux moyennes, se trouvent autant de feuilles cordiformes de petite dimension.

Cet ensemble, dont le caractère emblématique n'est pas douteux, est couronné d'un couvercle de forme prismatique et en saillie.

L'operculum du premier sarcophage n'est pas cintré, il est prismatique ; il n'est pas encadré d'une bordure enrichie de figures géométriques : il est simplement traversé par trois bandes ; les stries dont il est question n'ont jamais existé. Dans l'autre sépulture où M. Crosnier signale des formes de dés, ce sont de simples pierres sans taille; l'orientation vraie n'est pas du nord au sud, mais du nord-est au sud-ouest. Impossible, d'autre part, d'admettre qu'une grille aurait entouré le monument, et l'excommunication sous le poids de laquelle serait tombé le personnage enseveli, est une de ces affirmations en l'air qui échappent à tout contrôle.

Le dessus est à deux pentes comme un véritable toit, et les lignes mêmes des pureaux s'y trouvent bien accusées. Ces lignes sont interrompues au milieu et arrêtées à chaque extrémité par trois bandes formant ceinture de dix et douze centimètres. Son faîtage plat est formé d'une gaine s'évasant inégalement des deux bouts et d'une largeur de douze centimètres au départ de l'évasement supérieur, de dix centimètres au départ de l'inférieur.

A la tête est une première ceinture ; vers le milieu, à un mètre de la première, une seconde est décorée d'une ligne brisée, dans les redans de laquelle sont gravées des palmettes d'ornement ; de chaque côté, une ligne à grain d'orge forme bordure. Au pied, la troisième bande est unie et passe, comme les deux autres, sous le faîtage. Ainsi que la bande de tête, le faîtage est bordé par une ligne en creux et décoré d'un système de lignes brisées parallèles, remplissant tout l'espace entre les deux bordures. A la partie supérieure du faîtage, la décoration est interrompue et se termine par une palme de trente centimètres de haut sur dix-huit de large. A la base de la palme, forme saillie une sorte d'applique, limitée par des lignes légèrement concaves, encadrées de dents de scies bordées elles mêmes par des lignes à grain d'orge ; au milieu, se détache une croix.

Tous ces dessins sont gravés en creux d'un trait ferme et plein de style.

Pour tenter l'interprétation de ce monument, il nous a semblé utile de recourir à des similaires.

Notre attention fut appelée d'abord sur deux sarcophages figurant au Musée de la Ville, l'un provenant des fouilles de l'église Saint-Genest, l'autre de celles de l'ancienne abbaye de Saint-Martin, où il occupait le troisième rang inférieur des sépultures superposées. Ces deux sarcophages, présentaient avec celui de Saint-Parize les caractères d'une parenté indéniable.

Cette parenté, nous l'avons encore retrouvée dans des sarcophages décrits par M. Ed. Le Blant dans son savant ouvrage sur les Sarcophages chrétiens de la Gaule. Il reproduit, d'après le Recueil de l'abbé Gibault, le dessin d'une crypte où se trouvent trois tombeaux avec couvercles à double versant : « Sur la face formant pignon du premier de ces couvercles, figurent une vigne et des raisins ; le dernier, en partie brisé, porte une colombe et un vase. Au bas du dessin est écrit : Tombeau de saint Thaumaste, trouvé dans la cave de Saint-Barthélemy, près Saint-Hilaire. »

L'un de ces trois cercueils passait donc pour être celui dont parle Grégoire de Tours, et dont nos pères détachaient de la poudre pour guérir les maux de dents et la fièvre : « On recherche avec tant d'ardeur ce remède béni, dit l'historien, qu'un point du sarcophage est déjà perforé. » L'auteur des Annales d'Aquitaine, Jean Bouchet, qui écrivait en 1644, pense que le tombeau mentionné par Grégoire de Tours est « un de ceux de la chapelle de Saint-Barthélémy, où l'on voit les dits pertuis, et encore, ajoute-t-il, les femmes le raclent avec un couteau et en font manger a leurs petits enfants, pour guérir du mal et passions du ventre. »

La chapelle qui le renfermait a été démolie en 1851 ; la crypte et ses trois sarcophages ont sans doute péri avec elle.

D'autres termes de comparaison nous sont fournis par des sarcophages provenant des fouilles du P. Camille de la Croix, et reproduits au Bulletin du Comité des Travaux historiques.

Le P. de la Croix pense pouvoir assigner à ces sarcophages une date analogue à celui de Boëtius, septième évêque de Carpentras et de Venasque, mort en 604 ; ils les compare aussi aux sarcophages signalés par MM. de Lasteyrie, Frédéric Moreau et Robault de Fleury. Mais mieux qu'aucun des sarcophages dont il vient d'être question, le sarcophage de Saint-Arigle, à Nevers même, qu'a décrit l'abbé Lebeuf, nous semble présenter un précieux repère.

Au témoignage de l'abbé Crosnier, Lebeuf nous a laissé la forme du tombeau de Saint-Arigle, qui subsistait avant 1793 dans l'église qui portait son nom ; il fait remarquer que ce sarcophage avait pour ornement sept croix en bosse.

Sur la même planche, Lebeuf en reproduit deux autres, dont l'une porte trois croix et l'autre cinq, faisant remarquer, fort judicieusement, que le nombre de croix n'avait pas été établi sans motif, qu'il devait être en rapport avec la dignité du personnage ...

D'autre part, l'abbé Crosnier a soin de nous dire que quelques années avant 1858, années où il publiait son Hagiologie, ce tombeau avait été retiré des décombres de l'église et déposé dans une cour d'une rue voisine. Nous l'avons cherché en vain. L'Album du Nivernais, d'après l'abbé Crosnier, en conserve pourtant le souvenir. Notre dessin le reproduit ci-dessus dans sa primitive indécision. Que lui manque-t-il pour concorder de tous points avec la description de Lebeuf ? D'isoler les croix par une section des plus simples. C'est ce que fait voir le dessin ci-contre. Tous ces rapprochements nous autorisent à assigner une date à notre sarcophage. Rappelons les dates des similaires invoqués par nous :

Le P. Camille de la Croix place les sarcophages cités vers l'an 604. Les nécropoles de l'Aisne, explorées par M. Frédéric Moreau, sont mérovingiennes. Le tombeau de saint Thaumaste, décrit par Grégoire de Tours, ne saurait dépasser 594, date de la mort de ce saint évêque.

Enfin, saint Arigle est mort, le 26 février 594.

Que conclure ? Sinon que le sarcophage de Saint-Parize leur est contemporain.

Et maintenant, de quel grand chrétien était-ce la tombe ?

En effet, « Aux grands chrétiens les belles tombes, dit M. Le Blant, telle était la règle. »

Le nombre de croix témoignerait-il, comme le prétend Lebeuf, de la dignité du personnage ? Leur disposition identique, et sur le tombeau de saint Arigle et sur le sarcophage de Saint-Parize, serait-elle un indice de son caractère ?

Dans d'assez larges limites, cela ne semble guère douteux.

Ce personnage était-il saint Patrice, duquel le martyrologe d'Auxerre nous apprend qu'il a été inhumé dans l'église en 555 ?

Sur ce point, nous devons à la vérité de dire que nulle part, dans l'église actuelle, nous n'avons rencontré trace de construction antérieure au XIIe siècle.

Et, pourtant, particularité curieuse et encore inexpliquée pour nous, en explorant la crypte, nous y avons découvert, mystérieusement enfermé dans le vide d'une crédence, muré sur lui après coup, un fragment de colonne et son chapiteau, le tout pris dans la même masse.

La colonne est de forme octogonale irrégulière, à faces concaves, comme le seraient de larges cannelures ; le relief de la sculpture est peu saillant : il consiste en un système alternant de feuilles et de baies opposées et se raccordant de deux en deux cannelures. Feuilles et baies sont d'une nature indéterminable.

Le diamètre de la colonne est de treize centimètres ; elle est fortement usée comme par un frottement à la partie inférieure.

Le chapiteau est de dix-huit centimètres et demi de diamètre et de plan irrégulier; son profil peut être inscrit dans un quart de rond allongé. Comme son fût, il est décoré de feuilles et de fruits, supportés par des tiges en partie sarmenteuses, et de même usé a sa partie supérieure.

A coup sûr, on trouve dans cet ensemble un morceau de sculpture, curieux dans sa facture si rudimentaire. Se rattache-t-il d'une façon quelconque a la première Eglise ? C'est encore probable. Des fouilles seules nous édifieraient sur ce point.

Localisation et informations générales

  • identifiant unique de la notice : 96631
  • item : Eglise et crypte
  • Localisation :
    • Bourgogne
    • Nièvre
    • Saint-Parize-le-Châtel
  • Code INSEE commune : 58260
  • Code postal de la commune : 58490
  • Ordre dans la liste : 2
  • Nom commun de la construction :
    • La dénomination principale pour cette construction est : église
  • Etat :
    • L'état actuel de cette construction ne nous est pas connue.

Dates et époques

  • Périodes de construction :
    • Nous n'avons aucune informlation sur les périodes de constructions de cet édifice.
  • Date de protection : 1862 : classé MH
  • Date de versement : 1993/11/26

Construction, architecture et style

  • Materiaux:
    • non communiqué
  • Couverture :
    • non communiqué
  • Materiaux (de couverture) :
    • non communiqué
  • Autre a propos de la couverture :
    • non communiqué
  • Etages :
    • non communiqué
  • Escaliers :
    • non communiqué
  • Décoration de l'édifice :
    • non communiqué
  • Ornementation :
    • non communiqué
  • Typologie :
    • non communiqué
  • Plan :
    • non communiqué

Monument et histoire du lieu

  • Interêt de l'oeuvre : 18 04 1914 (J.O.)
  • Eléments protégés MH (Monument Historique) :
    • Notre base de données ne comprend aucun élément particulier qui fasse l'objet d'une protection.
  • Parties constituantes :
    • non communiqué
  • Parties constituantes étudiées :
    • non communiqué
  • Utilisation successives :
    • non communiqué

Autre

  • Divers :
    • Autre Information : 1992
  • Détails : Eglise et crypte : classement par liste de 1862
  • Référence Mérimée : PA00113009

photo : Pascal-Jean Rebillat Photographies

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