Eglise et cimetière qui l'entoure

On trouve, dans le canton de Sartilly, beaucoup d'anciennes églises qui témoignent de la haute antiquité du culte de la mère de dieu dans la contrée. L'église de Genets est citée par le Gallia christiana, sous la date de 978, comme déjà existant depuis longtemps. C'est une église romane dans une de ses chapelles, gothique dans le chœur et le transept. L'évêque d'Avranches la consacra, vers 1180, sous le vocable de la sainte vierge (Notre-Dame de France ou Histoire du culte de la Sainte Vierge en France par André Jean Marie Hamon 1865).

Histoire

XIIe siècle

L'an 1157, l'abbé Robert fit dédier l'église actuelle de Genêts. Il l'avait fait rebâtir sur quelques-uns des fondements de l'ancienne église qui existait auparavant. Du côté du nord il laissa subsister quelques pans des murailles de la chapelle qui sont en pierres de petit appareil, avec des assises irrégulières (qui n'étaient plus en usage du temps de l'abbé Robert) , et entre lesquelles on aperçoit encore quelques briques, et cette partie est irrégulière, relativement au reste de ce monument.

Une bulle du pape Eugène III fait mention de l'ancienne église l'an 1149 ; et de même encore une autre bulle du pape Adrien, l'an 1155, adressée aux religieux de ce Mont, et vidimée par l'évêque de Dol.

L'abbé Robert donna en dot à la nouvelle église qu'il fit construire, une acre de terre auprès de la mer qui rapportait un quartier de froment. L'amiral Ruall donna la moitié d'une acre, et Gervais, fils d'Hélie, autant ; cela fut fait en présence de Herbert, évêque d'Avranches, de l'abbé Robert, de Guillaume Hairon, de Jean, fils de Bigot, de Durand, neveu de l'abbé Robert, de Roger du Bec et de plusieurs autres.

La même année l'abbé Robert concéda à Nicolas, curé, fils de Rainald, l'église de Genêts dont son père avait été aussi curé, mais avec une redevance nouvelle. Rainald avait coutume de payer chaque année dix sols à l'abbaye pour le produit des confessions des fidèles pendant le Carême. Nicolas s'obligea d'en payer quinze; en outre pendant toute sa vie, lui, son père et son frère Syméon s'obligèrent de céder la dîme des moissons de la ville de Genêts, et la sixième partie des sept fêtes annuelles.

Pendant le gouvernement de l'abbé Robert, les rois d'Angleterre et d’Écosse vinrent aborder au port de Genêts pour visiter le Mont-Saint-Michel et y prier. On pense que le roi d'Angleterre coucha à Brion (dans la paroisse de Gênez), où l'abbé Bernard venait d'établir un prieuré.

« Le prioré de Brion, dit Thomas le Roy, près de Genest, est basty et fondé soubz Bernard, 13e abbé de ce Mont.... Là il fit faire quantité de beaux bastimentz avec une gentille église propre le tout a servir a garder la régularité. »

XIIIe siècle

L'an 1223, l'archevêque de Rouen vint visiter le prieuré de la ville de Genêts. Dans le XIIe siècle, un Gilbert d'Avranches avait enlevé à Saint-Michel une portion de terrain auprès du monastère de Genêts. Sans doute ce monastère n'était autre que le prieuré. De même l'an 1231, il est encore question du même monastère de Genêts. L'archevêque ordonna à l'abbé du Mont-Saint-Michel de rappeler à l'abbaye ou d'envoyer dans un autre monastère le prieur de Genêts appelé G. Gelboe et son compagnon R. Gode pour se corriger. Il paraît qu'ils avaient une conduite peu régulière.

Une charte de ce temps fait mention de la léproserie de Genêts. On y voit que Guillaume de la Lande avait reçu l'autorisation de bâtir une chapelle, mais qu'il en accordait les revenus à la chapelle des lépreux de Genêts.

Cette dernière était située sur le mont Connin, et placée sous l'invocation de Sainte-Catherine.

Il y avait encore, mais dans la ville de Genêts, un Hôtel-Dieu, dont la chapelle était sous l'invocation de Sainte-Anne.

L'an 1223, un seigneur appelé Raoul de Teville, chevalier, donna aux religieux tout ce qu'il tenait d'eux en fief dans la paroisse de Genêts. Ceux qui avaient reçu de lui ces mêmes tenements furent obligés de rendre aux religieux les services dont ils étaient redevables envers lui. Il les nomme, c'étaient Richard de la Hése, Raoul de Charoles (caroles), Jordain , Guibert, Gervais Pâtre notre (pâtre nostre), Vital le Tocun et Gilbert Lache-Epée ; Raoul de Theville fit cette donation parce que son frère Henri se rendit religieux au Mont-Saint-Michel.

L'an 1231, Sibille , veuve de Hugues Frestellon, donna aux mêmes religieux une demi-acre de terre qu'elle possédait auprès de la cour de Genêts, entre les possessions domaniales des religieux. En outre, elle consentit à toutes les donations faites à cette même abbaye par son frère le clerc Raginald de Cantilly. Elle apposa son sceau à cette chartre.

Une charte de l'an 1261 fait mention d'un accord entre les moines du Mont et les paroissiens de l'église de Sainte-Marie de Genêts. L'abbé leur cédait le droit de boisselage et de salage, à charge de neuf livres, monnaie de Tours.

Une charte royale de Saint-Louis permet aux religieux du Mont-Saint-Michel de transférer à Genêts une foire qui avait coutume d'être tenue au Mont-Saint-Michel ; c'était en 1232 ; « et l'an 1265, fut faict vidisse de l'acte de permission donnée à l'abbé et aux moynes du Mont- Saint-Michel l'an 1232, par le roy Saint-Loys, de transferer la foire qui se tenait le dimanche des Rameaux , audit lieu du Mont par chacun an au bourg de Genetz pour la auer sa permission y être tenue. »

Jean, abbé du Mont-Saint-Michel, l'an 1291, s'obligea à rendre chaque année par les mains du prévôt de Genêts, à celui du roi, dans la ville d'Avranches, soixante sols, monnaie de Tours, que le prévôt d'Avranches percevait annuellement sur les hommes de Genêts. D'où cette rente était elle due au Roi de France ? Les rois de France avaient probablement conservé quelques droits dans la ville de Genêts, puisqu'ils y percevaient un impôt sur les habitants. Les religieux n'étaient donc pas les seuls seigneurs de cette ville et de ce port de mer.

XIVe siècle

« L'an 1311 , nous dit Thomas Le Roy, un an après que Phillippe, 4e du nom, surnommé le Bel, roi de France, eut donné permission de faire tenir une foire chacun an, au huitième jour du mois de may en ce mont, il y vint par dévotion. »

C'est ainsi que les seigneurs du Mont-Sant-Michel, après avoir fait transférer à Genêts une foire tenue en leur mont, eurent l'adresse d'en obtenir une autre. Ils finissaient toujours par attirer tout à eux. Genêts ne faisait que décroître tous les jours, à cause de l'importance de ce mont où il fallait, dit un manuscrit en vers de ce temps « des pourveances pour deux mille bouches sur ce mont aride qui ne rapporte rien. »

On sait aussi qu'alors les villes voisines prenaient toutes de l'importance et que plusieurs ports de Normandie et de Bretagne commençaient à se rendre célèbres par leur commerce et par leurs relations avec les royaumes voisins.

Les seigneurs moines du Mont-Saint-Michel ne jugeaient pas le commerce chose bien importante, et par là ne favorisaient pas celui de leur ancien port de Genêts. Néanmoins, malgré ces circonstances ruineuses, il y avait encore un reste de commerce, et beaucoup de bâtiments venaient aborder à Genêts.

Les poètes de ce temps chantaient :

Genêts tiens nef dromons et barges
Qui sont belles grandes et larges.

Plusieurs Chartres royales font mention du commerce de Genêts. Depuis le XIIIe siècle jusque dans le XVe, les rois de France furent obligés d'intervenir pour écarter les obstacles que l'on mettait à des droits et coutumes des religieux dans leur port et ville l'exercice de Genêts.

Ces divers titres nous prouvent que dans les XIIIe, XIVe et XVe siècles, tout ce qu'il y avait de plus grand dans le royaume de France, les rois, les baillifs du Cotentin , les vicomtes d'Avranches, plusieurs seigneurs français, s'occupaient de la ville et du port de Genêts, et entendaient par l'expression latine Villa et par celle de Portus (de Genesio) la ville et le port de Genêts, ce qui doit déterminer le sens du mot villa de Genesio dans les temps plus anciens.

On trouve aussi le mot de Genesio employé seul pour désigner Genêts, dans le temps que cette localité était appelée ailleurs port et ville ; cette expression doit donc indiquer la même chose dans les autres temps où elle est employée fréquemment.

Il ressort des paroles d'un roi de France, que les religieux du Mont-Saint-Michel avaient de tous temps le pouvoir, dans la ville et port de Genêts, d'arrêter les marchands prévenus de s'être livrés à des actes frauduleux.

Les chartes font aussi mention des droits et des franchises de cette ville et de ce port. On y voit qu'il y avait beaucoup d'affaires et de marchands dans la ville et « prinse et jauge de vins » dans le port.

Dans un aveu rendu), on lit : « Que Julien Valet et Julien Jouanne reconnaissent qu'ils sont tenuz aller querir les meules jusqu'à Genêts. »

Un vieux titre de la tour de Saint-Lo contient un dénombrement de quelques revenus des religieux dans Genêts, l'an 1350; il y avait sur ce rôle :

  • 2 sols pour la terre de Telleponche
  • 6 sols pour le clos Torgaire
  • 12 deniers pour le moulin Espallart
  • 12 deniers pour le pré des Vignes
  • 4 deniers pour la terre de Paignete à Porteoux, etc.

Une charte du XIVe siècle fait mention de la maison Dieu à Genêts et de la libéralité faîte à cet établissement religieux par un nommé Jourdan Gautier, « de la paroisse de Genez, qui donne une rente de deiz soulz tournois a prendre sur sa meson o toutes les appartenances dicelle tant devant que derriere assise en la dite paroisse entre la meson Pierre Robert dune part et la meson Dieu de Genez dautre et bute dun bout au chemin le Roy devant la coline et dautre a la grange de la dite meson Dieu... lan mil. ccc. soixante et quatorze. »

Une autre charte, mais elle est du XVe siècle (l'an 1402), fait aussi mention de la « fontaine es malades es plez du dit lieu de Genez. »

L'an 1356, la ville de Genêts fut brûlée : « Les ennemis, disait Charles fils du roi de France, ont pillez raconnez et ars et est assavoir les villes de Genetz et du Mont. »

On lit dans un autre manuscrit que l'an 1365 Bertrand Duguesclin fit relever les remparts de la ville de Genêts et y mit garnison pour intercepter entre Charles-le-Mauvais, comte de Mortain, et le roi d'Angleterre les communications qu'ils avaient par mer ; car c'était en ce port que les Anglais abordaient pour ravager l'Avranchin et faire des courses dans le Maine et dans la Bretagne. Bertrand Duguesclin établi dans Pontorson, était occupé journellement à repousser ces bandes ennemies, qui se succédaient pour ravager ce malheureux pays.

XVe siècle

Enfin un autre manuscrit nous raconte ainsi la dernière ruine de Genêts : « Nés à Saint-James et amis d'enfance Jean de Guiton et Thomas de la Paluelle firent leurs premières armes contre les Anglois et se distinguèrent au Mont-Saint-Michel en 1420 et 1423. Ils marchèrent ensuite au secours d'Orleans sous la banière du comte de Dunois. Sept ans après pendant que leurs femmes et leurs enfans étoient refugiés à Vitré en Bretagne, ils se concertèrent pour surprendre les Anglois qui étoient à Genets avec marchandises et grosses barges de pourveances au port. Guiton donna rendez-vous a ses gens au manoir de la Roussellière en Bacilly que Guillemette aux Espaules sa mere lui avoit conservé, et la Paluelle s'y partit du manoir de a Loupcel en Villiers prenant la grève et les gués. Les Anglois surpris endormis et réveillés à grands coups de hache et de lance furent mis en fuite, tués ou navrés ; deux de leurs nefs furent arses et les autres gagnèrent au large. Riche fut la détrousse, mais hélas! au retour qui se fit par les gués et le chemin Montais le pauvre Thomas de la Paluelle qui marchoit en avant des chevaux chargés tomba dans une embusche des Anglois de la Bretesche de Servon, qui l'occirent lui troisieme, puis voyant accourir la bataille se retirèrent en leur dit fort.
br/> « Les corps furent emportés a Loucey, et fut mené grand deuil de ce bon chevalier lune des plus roides lances de son temps. Guiton emmena sa prinze et son monde en Bretagne. Dans la suite les Anglois craignant toujours quelque nouvelle surprise au dit Genest ruinèrent la place et s'accomodèrent avec le sieur d'Argouges qui setoit rangé à eux, pour avoir son petit port de Granville qu'ils firent remparer ; mais Guiton hardi homme et vaillant ne lui pardonna cette félonie, surprit le manoir de Bonthon du dit Argouges, le fit piller et réduire en cendres; ce dont les d'Argouges qui avoient grandes accointances se vengerent dans la suite, ils se réunirent aux autres ennemis du fougueux partisant qu'ils firent mettre eu procès devant le contestable de France ; mais a la requeste de son fidèle escuyer le roi Charles VII arresta toute cette cabale par ses lettres données a Bourges en septembre 1447. »

C'est ainsi que les Anglais ruinèrent l'antique port de Genêts ; et celui de Granville, prenant tous les jours de l'accroissement, favorisé d'ailleurs par les rois de France dont il dépendait, par sa situation en avant de celui de Genêts, par les attérissements de l'entrée de la baie du Mont-Saint-Michel, enfin par sa commodité et les privilèges qu'on lui accorda, fit perdre à celui de Genêts toute son importance et fut la cause de sa ruine entière.

Enfin, l'an 1590, le prince de Dombres brûla encore Genêts, et cette localité ne figura plus dans l'histoire.

XVIe siècle

Au XVIe siècle, sous le pontificat de Louis Herbert, évêque d'Avranches, des sommes furent accordées au pape Léon X. Cet évêque était un des commissaires délégués par le souverain Pontife. L'évêché d'Avranches fut taxé à la somme générale de 8,000 livres. La contribution du curé de Genêts, pour sa part de cet impôt, fut de 4 livres ; celle de la Maison-Dieu, de 30 sols, et celle de la Léproserie de 4 sols 6 deniers.

XVIIe siècle

Au XVIIe siècle, l'Hôtel-Dieu et la Maladrerie ou Léproserie de Genêts furent réunis à l'hôpital d'Avranches.

Dans le même XVIIe siècle, Huet, évêque d'Avranches, fit une visite dans la paroisse de Genêts, accompagné de Julien Nicole, prêtre, curé de Carnet, son vicaire-général; et voici un extrait du registre de cette visite : « Avons d'abord entré dans la chapelle de Sainte-Anne pour la visiter dont la clef était entre les mains d'une femme voisine ce que ayant trouvé abusif avons ordonné quelle sera mise entre les mains d'un ecclésiastique ou notable habitant, attendu qu'il n'y a plus de titulaire et quelle est réunie à notre hôpital aux termes de la déclaration du Roi. Avons visité l'autel qui est d'une pièce de careau entière sur laquelle n'avons trouvé aucune marque de consécration. Avons trouvé dans la dite chapelle plusieurs images scavoir de Sainte Anne, de Saint Lunaire et de Saint Apolaine. Quant à l'état dicelle chapelle lavons trouvée en bonne réparation, bien close et bien couverte, mais il n'y a point de lambris sur lautel pourquoy avons ordonné qu'il y soit pourveu.

« Apres quoy avons été reçu a la porte de l'église par M. Antoine Aze prebtre curé dudit lieu avons trouvé les fonts baptismaux en bon état. Parce que nous n'avons trouvé qu'un seul confessionnal avons ordonné qu'il en sera fait un second aux frais du thrésor. En procédant a la visite des autels avons trouvé au haut autel deux images, l'un de la Sainte Vierge et lautre de Saint Sebastien. Il y a aussi deux autels a la nef scavoir du costé de levangile celui de Saint Laurens ou il y a trois images mutilés lesquels avons enjoins d'enterrer et ordonné qu'il y aura un crucifix et jusques a ce avons interdit ledit autel. Et du costé de lepitre est le second autel qui est en si mauvais estât que nous lavons interdit jusqu'à ce quil soit en meilleur estât et couvert, il est lautel de Sainte Catherine. Comme il y a plusieurs ailes à la dite église comme aux prieurés réguliers, il y a encore deux autres autels scavoir celui de Saint Jacques et celui de Notre Dame de pitié, au premier il y a deux images lesquels avons ordonné denterrer, et au second sera aussy limage osté et y sera placé un crucifix, et lautel de Saint Barthélémy interdit. Il ny a que deux prêtres dans la dite paroisse scavoir ledit curé et le sieur Bienvenu son vicaire lequel tient l'école pour les garsons.

« En visitant leglise avons trouvé quil y a beaucoup de réparations a faire a la couverture tant a la nef que sur les quatre chapelles. Pour quoy nous a esté remontré quil y a eu procès et contestation a ce sujet entre les sieurs religieux du Mont-Saint-Michel et le dit sieur curé pour lentretien desdites quatre chapelles.

« Plus demandé quelles chapelles il y a hors la dite eglise, nous a esté dit qu'il ny a que la chapelle Sainte Anne et celle de Sainte Catherine la quelle est tombée en ruine, et les quelles sont réunies a notre hopital et cependant avons ordonné au sieur curé d'empescher les bestiaux d'y entrer. »

XVIIIe siècle

Dans le XVIIIe siècle, avant la révolution, Genêts, ancien doyenné, comprenait plusieurs paroisses : Angey, où les abbé et religieux de la Luserne étaient présentateurs ; Bacilly ; Bouillon, où il y avait deux curés ; Caroles ; Champcé ; Champeaux (St. Vigor était patron en cette dernière paroisse ainsi que dans celle de Caroles) ; Champcervon, où l'abbé de Savigny était présentateur; Dragey; la Luserne; la Mouche, où les rentes des obits se montaient à 49 livres 13 sols pour lesquelles le sieur curé et ses prêtres étaient obligés de dire 86 messes hautes et 14 basses, faire plusieurs saints et prières retenues par les fondateurs ; la Rochelle; le Grippon; les Chambres; Lolif; Marcé; Montviron; Rothon, où Saint Nicolas était patron ; Saint-Jean-le-Thomas, prieuré-cure occupé alors par frère Louis Chrétien, chanoine de la Luserne (l'abbé de la Luserne était présentateur de ce dernier bénéfice ; la chapelle du château était annexée à ladite cure et rapportait au curé quarante-quatre razeaux de froment, et la réparation de cette chapelle était estimée quinze livres) ; Saint-Michel-des-Loups ; Saint-Pierre-Langer ; Sartilly, où l'abbé du Mont-Saint-Michel et le prieur de Saint-Léonard étaient gros décimateurs; Subligny, où le seigneur du lieu était présentateur; Vains et enfin Genêts.

XIXe siècle

Il y a aujourd'hui à Genêts 37 Salines, 8 moulins, 3 tanneries.
Pour le civil : 1 maire, 1 adjoint, 12 conseillers municipaux.
Pour la marine : 1 syndic, 1 suppléant.
Pour la douane : 1 contrôleur, 1 receveur, 1 lieutenant, 1 sous-lieutenant, 2 commis, 8 préposés.
Pour le culte catholique : 1 curé, 1 vicaire.
Population: 1020 habitants.

Source : Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie, par Société des antiquaires de Normandie 1844.

Voir aussi sur ce thème "Les Légendes du Mont Saint-Michel - 1926 - Etienne Dupont" avec notre partenaire Normandie Héritage.

photo pour Eglise et cimetière qui l'entoure

Localisation et informations générales

  • identifiant unique de la notice : 81098
  • item : Eglise et cimetière qui l'entoure
  • Localisation :
    • Basse-Normandie
    • Genêts
  • Code INSEE commune : 50199
  • Code postal de la commune : 50530
  • Ordre dans la liste : 1
  • Nom commun de la construction :
    • La dénomination principale pour cette construction est : église
  • Etat :
    • L'état actuel de cette construction ne nous est pas connue.

Dates et époques

  • Périodes de construction : 4 différentes époques marquent l'histoire du lieu.
    • 12e siècle
    • 14e siècle
    • 15e siècle
    • 18e siècle
  • Date de protection : 1959/06/13 : classé MH
  • Date de versement : 1993/11/22

Construction, architecture et style

  • Materiaux:
    • non communiqué
  • Couverture :
    • non communiqué
  • Materiaux (de couverture) :
    • non communiqué
  • Autre a propos de la couverture :
    • non communiqué
  • Etages :
    • non communiqué
  • Escaliers :
    • non communiqué
  • Décoration de l'édifice :
    • non communiqué
  • Ornementation :
    • non communiqué
  • Typologie :
    • non communiqué
  • Plan :
    • non communiqué

Monument et histoire du lieu

  • Eléments protégés MH (Monument Historique) :
    • Un élément répertorié fait l'objet d'une protection : cimetière
  • Parties constituantes :
    • non communiqué
  • Parties constituantes étudiées :
    • non communiqué
  • Utilisation successives :
    • non communiqué

Autre

  • Divers :
    • Autre Information : propriété de la commune 1992
  • Photo : 3077f7fcbb5859d9df62445c360e267c.jpg
  • Détails : Eglise et cimetière qui l' entoure (cad. C 547) : classement par arrêté du 13 juin 1959
  • Référence Mérimée : PA00110407

photo : Normandie Héritage

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