Prieuré

Abbaye de Bénédictins dédiée à Saint-Martin de Tours, fondée en 505, agrégée au début du Xe siècle à l'Ordre de Cluny et réduite au rang de prieuré en 1101. L'église actuelle du 15e siècle remplace l'église romane détruite par un incendie vers 1441, reconstruite par Antoine de Balzac d'Entragues, prieur entre 1445 et 1490.

La Loire historique

La commune d'Ambierle, du canton de Saint-Haon, renferme un des monuments religieux les plus anciens du Forez: c'est l'abbaye dont cette localité tient son nom. Une charte de l'année 902, longtemps conservée dans les archives de la maison, et donnée par Louis IV, empereur et fils de Boson, roi de Bourgogne, apprend que l'abbaye d'Ambierle, remontait à des temps bien antérieurs : cette charte la désignait ainsi : abbatiam in honore Sancti Martini dicatam, quae nominatur Ambierta, pertinetur ad archiepiscopatum lugdunensem, conjacente in pago Rodanensi. Nous devons faire remarquer à cette occasion que, géographiquement, cette partie du Roannais appartenait au comté de Forez, alors dépendant du royaume de Bourgogne, pour le temporel, tandis qu'elle relevait du Lyonnais pour le spirituel : ce qui souvent causa de longs conflits entre ces deux pouvoirs ; heureux quand les débats ne devenaient pas sanglants.

En 938, c'est-à-dire trente-six ans après la date du titre ci-dessus mentionné, l'abbaye d'Ambierle fut soumise à celle de Cluny, dont Saint Odo II était alors abbé. Cent ans plus tard, cette maison devint un simple prieuré ; mais il ne fut donné depuis lors qu'à des ecclésiastiques de haute noblesse : l'abbé de Larochefoucauld en a été le dernier titulaire. L'église d'Ambierle, aujourd'hui érigée en succursale, fut reconstruite en entier, durant la période ogivale ; elle est vaste, d'une architecture assez noble, et renferme la sépulture des seigneurs de Pierre Fitte. Mais c'est abusivement que quelques visiteurs ont cru reconnaître ici l'architecture du XIe siècle : tout le monument est gothique. On y remarque des vitraux précieux, bien conservés et des boiseries délicatement sculptées : les uns et les autres ont le caractère des dernières années du XVe siècle.

Source : La Loire historique, pittoresque et biographique par Georges Touchard-Lafosse.

Prieuré (ancien) à Ambierle Loire

Chronologie

  • On ignore complètement à quelle époque remonte la fondation première de l'abbaye d'Ambierle (Amberta); seulement il résulte d'une charte de l'empereur Louis IV, dit l'Aveugle, qu'en 902, cette abbaye dédiée à saint Martin, et sise dans le Roannais (elle a depuis fait partie du Lyonnais) possédait 30 maz ou villages, dépendants de sa directe. L'empereur, sur la recommandation du duc Willelme, en donna l'investiture à deux seigneurs séculiers nommés Bernard et Tbeutbert.
  • Trente-six ans après (938), saint Odo, abbé de Cluny, toucha si vivement la conscience de ces deux seigneurs, qu'ils lui relâchèrent cette abbaye ; elle fut par lui unie et soumise à l'ordre de Cluny.
  • En 939, le roi Louis IV, approuvant ce relâche, donna des lettres de protection et de sauve-garde à cette abbaye ; cette approbation fut confirmée par le concile tenu à Anse, en 990
  • Il résulte d'une autre charte que saint Odile, abbé de Cluny, avait l'abbaye d'Ambierle sous son gouvernement, en l'année 1038.
  • C'est de son temps (994-1049), et par ses soins, que celte abbaye fut entièrement construite ; déjà elle était célèbre et renommée.
  • Depuis lors, elle subit le sort de toutes-les autres abbayes qui étaient sous le régime et la subordination de l'ordre de Cluny, et fut réduite en prieuré par saint Hugues, abbé (1049-1109).
  • Par une charte datée de l'année 1161, Louis VII confirma en faveur de l'ordre les droits qu'il avait sur Ambierle et ses possessions.
  • En 1169, le même roi mit ce prieuré sous sa domination, in suam tulelam suscepil.
  • En 1180, Artaud-le-Blane, qui portait le titre de vicomte, renonça, pour la remission de ses péchés, et en expiation de tous les maux qu'il avait faits à l'église de Cluny, renonça, disons-nous, en faveur de cette église, aux droits de garde et autres qu'il prétendait sur le prieuré d'Ambierle et ses dépendances.
  • Anciennement le monastère d'Ambierle renfermait vingt moines ; ils furent réduits plus tard à dix-huit. « Debent ibi cetebrari tres missae cum nota et debet ibidem fieri eleemosyna generalis ter in hebdomada et omni die, transeuntibus ».
  • En 1783, on n'y comptait plus que six moines et le prieur, qui était M. l'abbé de la Rochefoucauld.

Le triptyque d'Ambierle

Le triptyque d'Ambierle

Au fond de l'abside de ce monument remarquable, et derrière le maître-autel, se trouve placé un triptyque qui offre, sous le rapport de l'histoire et de l'art, un puissant intérêt.

Ce triptyque forme, dans sa partie intermédiaire, une sorte de niche principale subdivisée, elle-même, en plusieurs compartiments, et présentant, dans son ensemble, un calvaire en bois sculpté et peint sur lequel s'étagent divers groupes qui reproduisent les scènes de la Passion. Ces groupes, également sculptés sur bois et rehaussés de dorure et de couleurs, sont exécutés d'un façon assez grossière, bien que très-caractéristique ; chacune des subdivisions dont nous venons de parler, est surmontée de dais ornés de clochetons finement découpés et pareils à ceux que reproduisent les vitraux.

De chaque côté de cette niche centrale s'ouvrent des volets destinés à la clore ; chacun de ces volets, composé de deux panneaux, est intérieurement enrichi d'admirables peintures, deux autres petits volets supérieurs contiennent des armoiries (Les grands volets ont 50 centimètres île largeur, sur 1 mètre 28 centimètres de hauteur. Les petits volets supérieurs 37 centimètres de largeur, sur 74 de hauteur.).

Au bas des grands panneaux, se lit en beaux caractères gothiques l'inscription suivante:

Cette table eu ce lieu présent
Donna, pour faire à Dieu présent,
Messire Michel de Chaugy,
Conseiller, Chambellan aussi ;
Et le premier maisire d'hôtel
Du noble prince dont n'est tel,
Philippe, bon duc de Bourgoigne,
En Tan que l'église témoigne,
Mil quatre cent soixante-six
Dieu voillo qu'en sa gloire sit.

Michel de Chaugy, dont le nom figure dans cette inscription dédicatoire, appartenait à une noble et ancienne famille qui rattachait son origine aux premiers ducs de Bourgogne, et possédait, depuis la fin du IXe siècle, la terre et châtellenie de Roussillon (depuis baronnie dans le baillage d'Autun) par le mariage de la fille unique de Gérard de Roussillon avec Michel de Chaugy dont les descendants avaient religieusement conservé le nom.

Gérard de Roussillon a joué un trop grand rôle dans notre histoire pour qu'il soit nécessaire d'en parler d'une manière plus détaillée ; rappelions seulement ici qu'il est, avec Berthe d'Aquitaine, sa femme, reconnu le fondateur de l'église d'Avalon, de l'abbaye de Vezelay et de celle de Poutières-sur-Seine. Une tradition, attestée par les vieux annalistes de notre province, attribue aussi à Gérard de Roussillon et à Berthe d'Aquitaine la fondation de l'abbaye d'Ambierle.

(...)

J'ai déjà dit que les volets formant les parties latérales du triptyque d'Ambierle, se divisaient en quatre panneaux, deux de chaque coté ; chacun de ces panneaux renferme la figure d'un personnage agenouillé, accompagné de son saint patron debout derrière lui.

Au premier aspect, on pourrait supposer que les deux volets reproduisent la représentation des mêmes individus (les donateurs), tant ces figurent semblent d'abord avoir de ressemblance entre elles, si grande est l'identité des poses et des costumes. Mais un examen plus attentif fait bientôt reconnaître :

  • Sur le panneau de la niche centrale, à droite, Michaud de Chaugy ; St-Michel.
  • Sur le deuxième panneau, du même coté, Laurette de Jaucourt ; St-Laurent, martyr.
  • Sur les panneaux de gauche, Jean de Chaugy, père de Michaud ; St-Jean-Baptiste.
  • Et Antoinette de Montagu, femme de Jean ; St Antoine, ermite.

Michel de Chaugy, à genoux, soutenu par un prie-Dieu, et la main posée sur un livre, est représenté armé de toutes pièces, moins la tête qui est nue et rasée suivant l'usage adopté à la cour de Philippe-le-Bon. Une cotte blasonnée de ses armes (écartelées de Chaugy et de Roussillon) recouvre sa cuirasse.

Auprès de lui se trouve Laurette de Jaucourt sa femme, également placée sur un prie-Dieu blasonné des armes de Jaucourt, et les mains jointes.

Son costume se compose d'une robe noire montant jusqu'au col et serrée par une ceinture rouge, bouclée au dessous de la poitrine ; sa coiffure assez extraordinaire consiste dans une sorte de voile blanc coupé carrément sur le front et retombant de chaque côté de la tête, en longs plis qui forment des tuyaux ou cornets et se prolongent jusqu'aux épaules.

J'ai déjà dit que les personnages peints sur les deux autres panneaux, étaient revêtus d'un costume absolument pareil à celui que nous venons de décrire.

Quand on examine la vérité des attitudes, le naturel avec lequel sont rendues les figures, le soin minutieux, la patience miraculeuse qui ont présidé à leur reproduction, il est impossible de ne pas être convaincu que ce sont là des portraits et des portraits de la plus scrupuleuse ressemblance.

Les saints patrons, distingués par leurs attributs caractéristiques, ne sont pas traités avec moins de talent et de bonheur.

Il est surtout impossible d'exprimer avec quelle perfection est rendue l'image de l'archange Michel qui se groupe, ainsi que je l'ai déjà expliqué, avec celle du personnage principal ; un manteau, richement brodé d'or et de perles, est jeté sur ses épaules et flotte sur une armure étincelante dont la forme est empruntée au moyen-âge ; ses pieds chaussés de longues poulaines foulent un monstre difforme que menace sa lance ; la main droite étendue vers le donateur, il semble au contraire le protéger et le défendre. Encore une fois rien ne saurait donner une idée de la beauté, de la noblesse et du calme que respire cette admirable figure.

Si le tableau que nous examinons ici n'est pas tout-à-fait exempt des défauts de composition et de dessin qui caractérisent les productions de cette époque, il est facile de reconnaître combien ils sont atténués et de mesurer le pas immense qu'un grand maître a fait faire à l'art ; ainsi les lignes sont moins sèches et moins raides ; les formes moins grêles et effilées ; déjà les extrémités n'affectent plus une longueur démesurée etc.... Tout révèle dans le triptyque d'Ambierle une des plus précieuses pages de la peinture au XVe siècle.

Les figures des autres saints patrons donnent lieu aux mêmes observations.

Saint Laurent, en costume de diacre, une palme à la main, est appuyé sur le gril, instrument de son supplice.

Saint Jean-Baptiste à demi-nu soutient l'agneau divin.

En reproduisant saint Antoine, le peintre semble s'être préoccupé de l'ordre militaire qui fut créé, selon quelques légendaires, vers la fin du IVe siècle (370), sous l'invocation de ce saint ; ainsi il lui a donné le teint d'un Éthiopien et l'a revêtu d'une armure complète que recouvre la robe brune de l'ermite.

Je ne parlerai point des accessoires ; ils attestent cette précision, ce uni, cette merveilleuse exactitude qui distinguent l'école à laquelle appartient l'œuvre qui fait l'objet de cette notice. Il est toutefois nécessaire de remarquer la manière dont sont exécutés les paysages qui forment le fond de chaque panneau : on est frappé de prime-abord d'une entente de la perspective peu ordinaire à cette époque de l'art, les dégradations de terrain y sont assez scrupuleusement observées, les chemins, les cours d'eau qui sillonnent les plans intermédiaires et se perdent dans les lointains, assez heureusement rendus, les fabriques d'une disposition originale et pittoresque.

Sur les petits volets supérieurs sont peintes deux charmantes figures d'anges vêtus de tuniques blanches et soutenant deux écussons aux armes des donateurs.

Ces armes sont pour l'un des écus :

Ecartelé au 1er et 4e, contre-écartelé d'or et de gueules, qui est de Chaugy ; au 2e et 3e de sinople à une croix d'or cantonnée de 20 croisettes de même, 5 à chaque canton, posées en sautoir, qui sont les armes de Roussillon.

Complétons ici, d'après Paillot, le blason du brave Michaud de Chaugy :

Casque d'or, taré de front, couronné d'une couronne royale ;

Cimier, une tête de léopard d'or;

Supports, un lion d'or a dextre et à senestre, un sauvage tenant une massue de même.

Devise : Vous M'avés, Vous M'avés.

L'autre écu est partie des mêmes armes et de celles de Jaucourt qui sont d'or à 2 lions léopardés de sable, lampassés de gueules.

Les volets du triptyque d'Ambierle ont déjà été décrits, quoique d'une façon fort incomplète, par le P. Montfaucon (Antiquitè de la monarchie française, tome IV, page 146). Une gravure déplorablement inexacte est jointe au texte ; le dessin en avait été tiré des portefeuilles de M. Gagnières.

Si je ne parle pas des peintures en grisaille, sur fond rouge, qui recouvrent la face extérieure de ces mêmes volets, c'est qu'elles me paraissent bien inférieures en mérite à celles que nous venons d'examiner, qu'elles sont évidemment d'une époque beaucoup plus récente et ne se recommandent par aucune des qualités que nous venons de signaler.

Les détails dans lesquels nous sommes entré nous serviront peut-être à reconnaître l'artiste éminent auquel on peut attribuer une œuvre aussi remarquable.

Au premier coup-d'œil, il est facile de s'assurer que ce maître appartient à la vieille école flamande ; les ducs de Bourgogne, comtes de Flandre, et, par suite, les seigneurs attachés à leur cour durent effectivement recourir de préférence aux peintres de cette école, l'une des plus plus avancées au temps où ils vivaient.

Une autre observation importante c'est que les peintures du triptyque d'Ambierle sont exécutées à l'huile. Or, sans nous préoccuper ici de la question de savoir si ce procédé a été découvert ou seulement remis en usage dans les premières années du XVe siècle, il nous semble qu'il ne fut vulgarisé et ne devint, pour ainsi dire, du domaine public qu'assez longtemps après cette époque.

Van Eyck, né en 1370, finit ses jours dans un âge fort avancé et lors même que l'on reporterait, ainsi que l'ont fait la plupart de ses biographes, sa mort à l'année 1450, il ne faudrait point en conclure, en comparant cette date à celle qui figure au bas du triptyque (1466), qu'il ne peut être l'auteur des peintures dont ce triptyque est orné, car cette dernière date est celle de sa dédicace et non celle de son exécution. En d'autres termes, ce triptyque a pu, a dû même, être peint longtemps avant d'avoir été donné a l'église d'Ambierle et placé dans l'endroit où nous le voyons aujourd'hui.

L'âge qu'accuse le portrait du donateur serait aussi un argument en faveur de l'hypothèse que nous présentons.

Mais ce qui donne plus de force encore à celte hypothèse c'est que ces peintures se font remarquer par tous les caractères qui distinguent essentiellement les ouvrages du maître auquel nous aimons a les attribuer.

Ainsi la régularité, ou, pour mieux dire, la symétrie de la composition, la sagesse un peu froide, des mouvements, l'expression et le beau type des têtes, le jet déjà assez facile des draperies, le fini des accessoires, la perfection des détails, le style des paysages où se manifeste, comme nous l'avons dit, un sentiment assez vrai de la perspective, enfin la fraîcheur et l'harmonie encore prodigieuse des couleurs, tout nous confirme dans cette opinion que c'est au pinceau de Van Eyck que nous devons le chef-d'œuvre sur lequel nous appelons l'attention de tous les amis des arts.

Ajoutons, d'après un des auteurs qui se sont occupés de la vie de Van Eyck, « qu'il n'y avoit guères de princes en Europe qui ne voulut avoir quelques uns de ses ouvrages ; et qu'en particulier il peignit quelques tableaux pour Philippe le-Bon qui le combla des marques de son estime et lui donna, dit-on, place dans ses conseils.... »

Qu'il nous soit permis d'observer, en finissant, que les conjectures que nous hasardons dans cette notice, car, de notre part, il ne peut s'agir que de conjectures, ont acquis pour nous une valeur réelle au moment où il nous a été permis de comparer les peintures du triptyque d'Ambierle avec le tableau récemment découvert dans l'hôpital de Beaune, tableau généralement attribué à Van Eyck et qui représenté Philippe-le-Bon, sa famille et les principaux personnages de sa cour.

Si maintenant l'on se demandait comment ce triptyque se trouve placé dans l'église d'Ambierle, il nous serait facile de donner l'explication de ce fait en rappelant qu'un des premiers parmi nos anciens comtes de Forez, se rencontre ce Gérard de Roussillon duquel, ainsi que nous l'avons vu, la famille de Chaugy lirait son origine ; une tradition constante, attestée par les historiens de notre province, indique ce même Gérard de Roussillon et Berthe d'Aquitaine, sa femme, comme les fondateurs de l'abbaye d'Ambierle ; rien de moins étonnant que leurs descendants aient voulu, lors de la dernière reconstruction de l'église dépendant de cette abbaye, consacrer par un don commémoratif de si honorables souvenirs.

Source : Revue du Lyonnais, 1845.

Localisation et informations générales

  • identifiant unique de la notice : 69222
  • item : Prieuré
  • Localisation :
    • Rhône-Alpes
    • Ambierle
  • Code INSEE commune : 42003
  • Code postal de la commune : 42820
  • Ordre dans la liste : 1
  • Nom commun de la construction :
    • La dénomination principale pour cette construction est : prieuré
  • Etat :
    • L'état actuel de cette construction ne nous est pas connue.

Dates et époques

  • Périodes de construction :
    • La construction date principalement de la période : 15e siècle
  • Dates de protection :
    • 1840 : classé MH
    • 1975/05/12 : inscrit MH partiellement
  • Date de versement : 1993/12/03

Construction, architecture et style

  • Materiaux:
    • non communiqué
  • Couverture :
    • non communiqué
  • Materiaux (de couverture) :
    • non communiqué
  • Autre a propos de la couverture :
    • non communiqué
  • Etages :
    • non communiqué
  • Escaliers :
    • non communiqué
  • Décoration de l'édifice :
    • non communiqué
  • Ornementation :
    • non communiqué
  • Typologie :
    • non communiqué
  • Plan :
    • non communiqué

Monument et histoire du lieu

  • Interêt de l'oeuvre : 18 04 1914 (J.O.)
  • Eléments protégés MH (Monument Historique) :
    • Notre base de données ne comprend aucun élément particulier qui fasse l'objet d'une protection.
  • Parties constituantes :
    • non communiqué
  • Parties constituantes étudiées :
    • non communiqué
  • Utilisation successives :
    • non communiqué

Autre

  • Divers :
    • Autre Information : propriété de la commune 1992
  • Détail :
    • Eglise Saint-Martin : classement par liste de 1840
    • Façades et toitures du prieuré bénédictin
    • galeries et salles voûtées du rez-de-chaussée
    • pièce du premier étage avec son décor de l' aile Est
    • façades et toitures de l' aile Sud, y compris la porte de ville
    • galerie du cloître accolée à l' église
    • grand escalier situé dans l' aile séparant les deux cours (cad. A 200 à 203) : inscription par arrêté du 12 mai 1975
  • Référence Mérimée : PA00117423

photo : pierre bastien

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