Chaque siècle, du Ier au XXe, a voulu donner sa part de génie à la cathédrale de Tours. Elle a parcouru toutes les phases du roman et toutes celles du gothique, pour recevoir à la fin les gracieuses inspirations de la Renaissance. Elle est même tombée à la merci des entrepreneurs de « style noble » qui, au XVIIIe siècle et au commencement du XIXe, ne comprirent rien aux oeuvres de foi et les massacrèrent.