la guerche

Outre l'église paroissiale, il y avait une collégiale, fondée en 1166 par Guillaume II, seigneur de la Guerche. Son chapitre avait douze chanoines, une commanderie de Malte , de la langue de France et du grand prieuré d'Aquitaine.

Le territoire produit seigle, sarrasin, grosses avoines, orge et lin : les prairies e t les pâturages y sont communément bons. Le beurre faitl 'objet d'un très-grand commerce pour les babitants : les moutons, petite race , sont excellents, ainsi que le porc ; le gibier y est commun ; les cidres y sont abondants et de bonne qualité.

Il y a aux environs quelques bois taillis. Ce qui forme la principale branche de commerce de la Guerche, ce sont les lins et les chanvres, qui sont très favorables aux filatures et aux manufactures de toiles fines, et autres toiles pour la marine, qui existent dans cette ville.

Il y a aussi des chapelleries et des tanneries.

C'est la résidence d'une brigade de la gendarmerie à cheval, et d'une autre à pied.

Source : Dictionnaire universel, géographique, statistique, historique et politique ... Par Louis Marie Prudhomme en 1804

Eglise paroissiale Saint-Marcellin

Patrimoine classé, étudié ou inscrit dit 'Eglise paroissiale Saint-Marcellin' à la guerche (indre et loire 37350). Outre l'église paroissiale, il y avait une collégiale, fondée en 1166 par Guillaume II, seigneur de la Guerche. Son chapitre avait douze chanoines, une commanderie de Malte, de la langue de France et du grand prieuré d'Aquitaine.