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Les besoins electriques des usines du Pied Selle, assurés en 1900 par trois machines à vapeur fournissant 150 chevaux (puissance insuffisante), le projet de construction d'une usine hydroélectrique sur l'île artificielle du barrage dit de Saint-Joseph, distant de l'usine d'environ 1,5 km, est formulé.
La centrale est alors construite sur une île artificielle faisant la frontière entre le passage de l'écluse et la retenue, on peut aussi y voir un canal d'amenée d'eau, construit dans l'enrochement qui assure l'alimentation en eau des turbines. La hauteur de chute est de 2,30m. Le bâtiment à turbine est fabriqué en brique.
Les turbines ont été construites par MM. Teisset, veuve Brault et Charpon à Chartres.
Encore en fonction de nos jours, cette centrale est placée sous le contrôle les services de VNF (Voies navigables de France).