Ancienne abbaye de Brou

L'église de Brou est le dernier joyau du Moyen-Age. Rien ne manque à son histoire pas plus qu'à son architecture: ni les mystérieuses légendes, ni le motif pieux de son érection, ni la douleur des tombeaux, ni la renommée des artistes, ni la poésie, ni les lacs d'amour, ni les rosaces enflammées sous les feux du soir.

Il est dit dans l'histoire que, en l'année 1480, Philippe II, duc de Savoie eut le malheur de se casser un bras pendant une chasse. Sa vie étant en danger, Marguerite de Bourbon, son épouse, fit voeu que, s'il était rendu à la vie, elle élèverait sur le territoire de Brou, déjà célèbre par la piété de quelques cénobites, une église et un monastère.

Le prince revint à la vie ; mais la duchesse mourut peu après au château de Pont-d'Ain avant d'avoir accompli son voeu qu'elle confia à Philippe. Ce prince succomba à son tour au château de Pont-d'Ain en 1497. Il recommanda à Philibert II, son fils, l'accomplissement du voeu de Marguerite de Bourbon.

Philibert II, surnommé le Beau, épousa Marguerite d'Autriche, fille de Maximilien Ier, archiduc d'Autriche, petite-fille de Charles-le-Téméraire, tante de Charles-Quint, princesse célèbre par son esprit, sa politique et ses malheurs.

Tombeau de Philibert II surnommé le Beau

Dans les premiers jours de septembre de l'année 1504, Philibert-le-Beau, chassant près de Saint-Vulbas, s'arrêta tout en sueur devant une fontaine et s'y désaltéra imprudemment ; il fut atteint d'une pleurésie et expira, le 10 septembre 1504, dans ce même château de Pont-d'Ain où il avait reçu le jour.

Marguerite d'Autriche, dans son immense douleur, résolut d'accomplir le voeu de sa belle-mère et d'ériger à ses morts chéris un magnifique tombeau où elle viendrait reposer à côté de son époux. Telle est la touchante origine de l'église de Brou.

Marguerite fit donc appel aux artistes les plus célèbres de la France, de l'Italie et des Flandres, qui exécutèrent des travaux de premier ordre avec le cachet de leur nationalité.

Pendant long-temps la croyance populaire a désigné Colomban, de Dijon, comme architecte de l'église de Brou ; il s'était fait ermite ; il revenait la nuit dans les chantiers refaire ses dessins qu'on effaçait le jour ; il avait, même eu les yeux crevés pour qu'il ne fit plus jamais pareil monument.

Mais cette légende, qui ne manquait pas d'un certain charme, a disparu complètement depuis le savant travail de M. Jules Baux sur l'église de Brou : cet historien a patiemment étudié dans nos archives toutes les pièces qui éclairent l'intéressante origine de notre incomparable monument, et il a jeté une vive lumière sur l'histoire de sa construction.

En 1505, Marguerite d'Autriche confie à Jean Perréal, dit de Paris, peintre du roi Louis XII, ses projets de construction : les plans en sont dressés.

En 1500, Jean de Paris, de retour d'un voyage en Italie, achève les plans et patrons de l'église, dont les fondations avaient été jetées dès l'année 1506.

En 1512, maître Loys Van Boghen, le Flamand, arrive sur les lieux, substitue ses propres plans à ceux de Perréal, imprime à tous les travaux une marche active et régulière : c'est donc à Van Boghen que revient l'honneur d'avoir été l'architecte de Brou.

En 1521 l'église est élevée ; elle est achevée et consacrée en 1532.

Les frères Conrard Meyt, Suisses d'origine, furent les imagiers et les statuaires ; ils employèrent sept années à sculpter les statues des deux Marguerite, de Philibert-le-Beau et des génies qui les environnent.

De 1526 à 1532, on confectionna le beau retable de la chapelle de la Vierge, les verrières et les boiseries. Les stalles si ouvragées du chœur ont été dessinées par Van Boghen : cela se reconnaît à la colonne coudée qu'on retrouve dans presque toutes les parties de l'édifice. Des ouvriers de Bourg ont pris part à ce travail si varié dans les détails, si riche dans l'exécution.

Les marbres des mausolées ont été amenés de Carrare ; les autres marbres provenaient de la carrière de Vaugrigneuse (Jura) qui a été récemment retrouvée, et la pierre blanche de Ramasse, Gravelles et autres carrières qui sont au pied de nos premières montagnes.

L'église a exigé la dépense de sommes qui équivaudraient aujourd'hui à près de trente millions de notre monnaie.

Les caveaux placés sous les mausolées renferment les restes mortels du prince et des deux princesses, déposés dans des cercueils qui ont été récemment renouvelés.

En 1791, Brou fut rangé au nombre des monuments nationaux à conserver par l'Etat sur les sollicitations et à l'honneur de M. Thomas Riboud, alors procureur-général-syndic de l'administration départementale.

Le dôme et la flèche de Brou ont été démolis l'an II de la république par suite d'une mesure révolutionnaire.

Ce qui sauva l'édifice d'une destruction complète, c'est qu'il fut transformé en magasin à fourrages pour l'armée des Alpes. L'église était remplie jusqu'au jubé, admirable travail qui fut heureusement préservé.

Ornementation

La campagne et de beaux horizons entourent de toutes parts l'édifice.

La Façade est pleine d'élégance et chargée de figures qui garnissent le plein cintre de la porte. Les trois triangles qui sont au sommet présentent une image sensible de la Trinité ; le cercle de la rosace qui occupe le centre est le symbole de l'éternité et de l'infini : telle a été la pensée de l'architecte. Au milieu de la première galerie se voit saint André avec sa croix, patron de la Bourgogne : cette statue rappelle la nationalité, la naissance et la famille de la fondatrice, selon l'explication de M. Jules Baux.

Toute cette façade a reçu une restauration importante, il y a quelques années. La pierre, malgré les siècles, a conservé des teintes délicates, et rien n'est majestueux comme les dernières lueurs du soleil couchant se jouant sur les contreforts, dans les galeries, et dans les rosaces de ce splendide portique enrichi de statuettes et de feuillages.

Tombeau de Marguerite de Bourbon

Le premier mausolée placé à droite dans le choeur est celui de Marguerite de Bourbon, vêtue de son manteau ducal, la tête appuyée sur un carreau un peu enfoncé ; elle a les mains jointes, et la tête tournée du côté de Philibert-le-Beau comme pour lui recommander l'exécution du voeu qu'elle n'avait pu accomplir : une très-belle levrette est à ses pieds ; au-dessous se voient des pleureuses, et sous l'enfoncement de leur capuchon on découvre des larmes coulant sur des visages auxquels le ciseau du sculpteur a donné une incroyable finesse d'expression.

Au milieu de l'église est placé le mausolée de Philibert-le-Beau, vivant au-dessus, mort au-dessous : au-dessus le prince est environné de six génies qui tiennent le sceptre, le casque et le gantelet. Un lion repose aux pieds du prince. Ce bloc est du plus beau travail.

Au-dessous c'est l'image la plus frappante de la mort. Le prince est étendu sur un suaire ; le marbre lui-même représente dans ses teintes toutes les traces de la mort. La disposition de ce mausolée est de l'effet le plus saisissant.

Le troisième mausolée, qui est à gauche, représente Marguerite d'Autriche vivante au-dessus, morte au-dessous ; il est le plus riche en détails ; il se voit sur trois faces chargées de fleurs, de lacs, de chiffres et de devises.

Au-dessus, la princesse est représentée dans toute sa beauté et vêtue de riches ornements. L'oeil ne se lasse point d'admirer les fines broderies de son carreau, la richesse des draperies, l'expression de la figure : sa gracieuse levrette est à ses pieds : le chiffre de 1532 indique l'achèvement de ce beau morceau.

Au-dessous, c'est la princesse morte ; la tête est nue, les cheveux sont épars, les pieds découverts ; le marbre représente la mort dans toute sa vérité : rien n'égale l'efflorescence de ce mausolée, le plus élégant et le plus magnifique du genre. On sait que la princesse mourut à Malines en 153,. Ses restes furent apportés à Brou deux ans après.

La devise de la princesse était : Fortune Infortune Fort Une, que l'on retrouve partout dans l'église, et qui n'est que l'image de la vie de la princesse, soit que l'on fasse du second mot Infortuné un verbe Infortunat (le sort persécute beaucoup une femme) ; soit que l'on considère comme trois substantifs les mots : fortune, infortune, fortune.

Tombeau de Marguerite d'Autriche

Le cinquième dessin représente le retable de la chapelle de la Vierge, dans lequel se voient tous les mystères de la sainte Vierge jusqu'à l'assomption de Marie au Ciel ; elle repose sur un disque lunaire. Dans le fond des compartiments, on découvre des intérieurs fouillés avec le plus grand soin : tout cet édicule est en marbre blanc ; les figures sont animées. Au sommet, paraît dans un nuage le Père Eternel qui attend Marie. « Le luxe, l'élégance que l'on trouve dans l'ameublement de la Vierge, dit M. Jules Baux, forment un contraste frappant avec les habitudes de l'humble épouse du charpentier Joseph ; son lit, par exemple, est un véritable lit ducal, et les étoffes dont elle est revêtue rappellent le luxe des riches bourgeois de Gand et de Bruges, au XVIe siècle. Nous n'avons pas besoin de dire que la délicatesse des sujets, la variété des détails et des ornements s'unissent pour faire de ce morceau un chef-d'œuvre. »

Le Jubé est travaillé et fouillé avec une grande délicatesse ; il est semé d'une quantité d'ornements du plus beau détail ; il est tissé à jour comme la plus fine broderie, et la pierre revêt sous l'éclat de la lumière les teintes les plus délicieuses ; il a 11 mètres 65 centimètres de largeur sur 8 mètres de hauteur. C'est comme un voile de dentelles jeté entre le sanctuaire et l'intérieur de l'église réservé aux fidèles.

Des boiseries en chêne qui ornent le chœur ; elles sont travaillées à jour avec la plus grande finesse ; ce sont des miracles de sculpture. Il y a d'un côté les scènes de l'Ancien-Testament, et de l'autre celles du Nouveau-Testament et de l'Histoire-Sainte.

Outre la devise que nous avons citée plus haut, on trouve fréquemment les lettres PM (Philibert et Marguerite) enlacées de mille manières élégantes, puis des devises, des marguerites, puis enfin une plume, qui rappelle la femme auteur et diplomate. Il y a encore les lettres F E R T plusieurs fois inscrites sur le marbre ou la pierre. Leur sens a reçu une nouvelle explication dans la dernière édition de l'Histoire de Brou par M. Jules Baux, qui a découvert sur un doublon d'or du duc Victor-Amé cette légende: Foedere et religione tenemur. D'autres historiens avaient pensé que ces lettres correspondaient à d'anciennes devises de chevalerie, comme celles-ci : Frappez, Entrez, Rompez tout, ou bien encore : Fortitudo ejus Rhodum tenuit, devise des chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem et qui se lit sur quelques tombeaux des princes de Savoie.

Dans les vitraux, riches de sujets religieux, qui tamisent doucement la lumière, Philibert et Marguerite sont représentés de grandeur naturelle, à genoux, sous la garde de leurs patrons saint Philibert et sainte Marguerite, et enfin de saint Nicolas avec une riche chape d'or. Au-dessus de l'éclatant vitrail de la chapelle de l'Assomption, on aperçoit le Triomphe du Christ, composition très-originale, très-remarquable, qui mérite une étude toute particulière. Dans les vitraux de l'abside sont les armes de Savoie, de Bourgogne, de France et d'Allemagne, au milieu d'encadrements du plus éclatant coloris.

Il existe deux chapelles destinées spécialement à la princesse. Dans chacune d'elles il y a une cheminée sobre d'ornements, mais gracieuse encore. Au moyen d'une sorte de prie-dieu en pierre, surmonté d'une arcature en biais très-singulière, l'œil pouvait apercevoir le prêtre au maître-autel pendant les cérémonies religieuses.

Chapelle de la Vierge

L'église de Brou avait été placée sous le vocable de saint Nicolas de Tolentin pour lequel Marguerite avait une dévotion toute particulière ; et à peine sortie des mains des ouvriers elle excita la plus vive admiration ; un auteur contemporain écrivait déjà dans son naïf langage : C'est le plus superbe bastiment et la plus plaisante structure ; on le peut compter entre les miracles de beauté. Elle a deux portails latéraux ornés de belles statuettes, l'un au nord, dit de Saint-Augustin ; l'autre au midi, appelé de Sainte-Monique.

Elle est située à environ 525 mètres du centre de la ville de Bourg (chef-lieu du département de l'Ain), sur la route qui conduit à la rivière d'Ain, en Savoie et en Italie.

Ce monument était jadis presque complètement isolé de la vieille capitale de la Bresse, sur un plateau fertile et presque à l'entrée de forêts séculaires ; mais bientôt le faubourg Saint-Nicolas va prolonger ses maisons et ses trottoirs jusqu'à l'édifice même dont la perspective sera loin d'y gagner (L'église de Brou n'est qu'une église conventuelle. L'église paroissiale de Bourg se trouve au centre de la ville ; elle est plus simple, mais vaste et majestueuse dans ses lignes. Elle fut commencée avant Brou, suspendue pendant la construction de cette dernière, et achevée après 1545 comme l'indique la date que l'on voit sur une de ses portes : son architecture se ressent des transitions de l'art du XVIe au XVIIe siècle. Elle mérite d'être visitée. On peut étudier aussi son histoire et son architecture dans l'intéressant ouvrage que lui a consacré M. Jules Baux).

La basilique de Brou a la forme d'une croix latine ; elle mesure 70 mètres de longueur dans œuvre (Saint-Pierre de Borne, la plus grande du monde, en a 190), 55 mètres de largeur à la croisée, 30 à la grande nef et 20 sous voûte ; elle a une grande nef au milieu, deux nefs latérales, deux bas-côtés. Une tribune règne dans l'intérieur de l'église au-dessus des arcs en ogive.

Lorsqu'on se place au centre de l'église, on est frappé de la forte base des piliers, de la multiplicité des nervures, de la légèreté des voûtes et de cette blanche fraîcheur qu'a conservée l'église après plus de trois cents ans.

On reconnaît évidemment que le choeur est un sanctuaire de douleur où Marguerite d'Autriche a voulu enfermer ses tombeaux chéris. « Brodeuse et fileuse, dit un historien moderne, la princesse semble avoir, en rêvant ses devises, filé son église au fuseau des fées, filé infatigablement. C'est un enchantement, ajoute-t-il encore, de guipures et de broderies de blanche pierre et d'albâtre. » Un monumentaliste a appelé Brou un Musée vivant.

Les briques même du sanctuaire étaient jadis couvertes de beaux dessins en émail qu'ont usés les pieds des fidèles ; mais on peut en retrouver encore quelques fragments.

Il règne dans tout l'ensemble de l'édifice quelque chose de calme, de suave, de mystérieux qui saisit l'âme et la laisse longtemps sous le charme de ce qu'elle a vu. La pensée de Dieu, les ardentes aspirations vers la béatitude céleste, ont pu seules faire éclore toutes ces incroyables sculptures. Au milieu de ce sanctuaire, éclairé par de somptueuses verrières, où la pierre parle, où le bois est découpé en mille festons, on est saisi d'une contemplation ineffable.

On ne peut donc s'empêcher de répéter avec M. Edgar Quinet :

« Ah! que la vieille société se couche ici sans regret dans son tombeau ! Elle n'en trouvera point qui soit mieux ciselé et qui porte mieux son deuil. C'est ici que s'enfouit sans retour le long rêve du Moyen-Age. Qu'il s'endorme pour jamais sur ce dur oreiller de marbre, et qu'il le creuse jour et nuit sous son poids. Son lévrier fidèle à ses pieds ne se relèvera pas. Son éperon de pierre ne pressera plus son cheval dans la vallée de Roncevaux ni sur le chemin des croisades. Son gantelet ne serrera plus l'épée de la féodalité. Sa visière ne se lèvera plus sur le monde d'amour d'Arioste et de Pétrarque. Sa main ne puisera plus dans son casque aux eaux fraîches de l'abîme. C'en est fait, un monde est mort. »

Les bâtiments qu'on voit au midi de l'église étaient, dans le principe, destinés à un monastère de l'ordre de Saint-Benoît. Au moment de la révolution de 1793 ils étaient habités par des Augustins qui en furent expulsés, et aujourd'hui ils sont occupés par le Grand-Séminaire du diocèse de Belley. Il y a, dans l'intérieur, de très-beaux cloîtres où se croisent d'harmonieux arceaux.

Le Jubé

Après Brou, nous sommes en pleine Renaissance. Les amis des arts et de l'architecture qui voudront connaître d'une manière plus complète ce monument si précieux, le dernier du gothique fleuri, devront l'étudier dans l'Histoire de l'Eglise de Brou par M. Jules Baux, archiviste du département de l'Ain. Cet ouvrage important se compose de trois parties distinctes : Vie de Marguerite d'Autriche, Monographie de l'église de Brou, Histoire de cette église avec documents authentiques. Ce travail est aussi exact que complet, et a valu à son auteur les approbations les plus distinguées.

On voit au musée de l'hôtel-de-ville de Bourg un tableau de grande dimension peint par Mathieu et donné par le gouvernement ; il représente la visite de François Ier à l'église de Brou en 1541 . Ce prince qui s'y connaissait, disait: « N'avoir veu aucun temple de telle excellence pour ce qu'il contenoit. »

Au printemps de l'année 1805, l'empereur Napoléon Ier, lorsqu'il allait à Milan se faire couronner roi d'Italie, voulut aussi voir l'église de Brou. La relation de cette visite est spirituellement écrite dans un petit ouvrage publié par M. Ph. Le Duc, sous le titre de : Passage de la Reyssouze par Napoléon. Le même auteur vient de publier (1857) sous le titre de : L'Eglise de Brou et la devise de Marguerite d'Autriche, un opuscule intéressant qui contient des documents sur les oeuvres d'art de Brou, de gracieuses poésies et des stances dans lesquelles les divers sens de la devise de la princesse sont heureusement commentés.

Les statues des sépultures de Brou ont été moulées, dans leur grandeur naturelle, par ordre du gouvernement, pour le musée de Versailles.

Notre province doit religieusement conserver, avec le souvenir de Marguerite d'Autriche, la basilique qu'elle a élevée au milieu de nous, et dont elle a voulu faire, suivant une belle expression, la maison de son âme.

Et. MILLIET

photo pour Ancienne abbaye de Brou

Localisation et informations générales

  • identifiant unique de la notice : 63
  • item : Ancienne abbaye de Brou
  • Localisation :
    • Rhône-Alpes
    • Ain
    • Bourg-en-Bresse
  • Code INSEE commune : 1053
  • Code postal de la commune : 01000
  • Ordre dans la liste : 1
  • Nom commun de la construction :
    • La dénomination principale pour cette construction est : abbaye
  • Etat :
    • L'état actuel de cette construction ne nous est pas connue.

Dates et époques

  • Périodes de construction :
    • Nous n'avons aucune informlation sur les périodes de constructions de cet édifice.
  • Dates de protection :
    • 1862 : classé MH
    • 1862 : classé MH
    • 1862 : classé MH
    • 1935/01/16 : classé MH
    • 1950/03/13 : classé MH
  • Date de versement : 1993/12/03

Construction, architecture et style

  • Materiaux:
    • non communiqué
  • Couverture :
    • non communiqué
  • Materiaux (de couverture) :
    • non communiqué
  • Autre a propos de la couverture :
    • non communiqué
  • Etages :
    • non communiqué
  • Escaliers :
    • non communiqué
  • Décoration de l'édifice :
    • Le décor est composé de : 'ferronnerie'
  • Ornementation :
    • non communiqué
  • Typologie :
    • non communiqué
  • Plan :
    • non communiqué

Monument et histoire du lieu

  • Interêt de l'oeuvre : Site archéologique : 01 153 2 AH
  • Eléments protégés MH (Monument Historique) :
    • Notre base de données ne comprend aucun élément particulier qui fasse l'objet d'une protection.
  • Parties constituantes :
    • non communiqué
  • Parties constituantes étudiées :
    • non communiqué
  • Utilisation successives :
    • non communiqué

Autre

  • Divers : 2 informations diverses sont disponibles :
    • propriété de l'etat
    • propriété de la commune 1992
  • Photo : 9352e43176c4a12f256ed254628f24be.jpg
  • Détail :
    • Eglise : classement par liste de 1862
    • Premier cloître : classement par liste de 1862
    • Deuxième cloître : classement par liste de 1862
    • Troisième cloître : classement par décret du 16 janvier 1935
    • Grille d' entrée en fer forgé du château de la Moussière à Biziat, déposée dans le troisième cloître : classement par arrêté du 13 mars 1950
  • Référence Mérimée : PA00116318

photo : pierre bastien

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